Platon La République

nous allons analyser leurs différents courants de penser, et enfin nous donnerons notre point de vue, nos avis sur les différentes questions posées sur l’amour et la beauté dans l’œuvre. LES DIX PHILOSOPHES DU POINT DE VUE CHRONOLOGIQUE 1. PLATON (428 avant J.C) 2. ARISTOTE (384 avant J.C 3. THÉODORE (fin du 4 ème siècle avant J.C) 4. CICÉRON (106 avant J.C) 5. LUCRÈCE (98 avant J.C) 6. SÉNÈQUE (4 avant J.C) 7. PLUTARQUE (46 après J.C) 8. ÉPICTÈTE (50 après J.C) 9. MARC-AURÈLE

AVERROES, Ibn Rushd, est un penseur arabe andalou du XIIè siècle. Il contribue notamment à la redécouverte et la diffusion des textes de Platon et Aristote dans le Moyen-Age tardif, et développe une philosophie centrée sur l'exigence de rationalité. Dans son commentaire du texte de la République, de Platon, il s'interroge sur le rôle de la femme au sein de la Cité. Son point de vue est étonnamment moderne, à l'opposé des conceptions de l'Antiquité et de son temps. « Il convient de savoir s'il

arbitraire ; lorsque que l'oligarchie se divise et donne lieu à des luttes de factions où tous les coups sont permis ; quand la démocratie devient corrompue. 4) Quel est le problème de fond abordé par Platon en matière de régime politique et comment le règle-t-il ? Pour Platon, la masse populaire est assimilable par nature à un animal esclave, victime de ses passions et de ses caprices, manipulable, inconstant ; accepter le gouvernement du peuple, c'est accepter la tyrannie d'un animal

comprends les hommes comme Diderot ,voltaire ,rousseau ,Platon qui avaient une idée sur la république noble ,ou la cité idéale selon Platon ,au sens le plus beau qu’on connaisse ,au sens ou elle serait l’expression de tous ,au nom de intérêt général ,cet intérêt qui ne laisse personne au bord de la route sous prétexte qu’il n’est pas de bonne famille ,une société ou les individus vivraient en se préoccupant d’abord de intérêt des autres ;comme le dit Platon : «  une cité qui ne doit être laissé ni a l’immortalise

point de sujet sur lequel un homme qui sait la rhétorique ne puisse parler devant la foule d'une manière plus persuasive que l'homme de métier, quel qu'il soit. Voilà ce qu'est la rhétorique et ce qu'elle peut." Ainsi parle Gorgias dans le dialogue de PLaton qui porte son nom (Gorgias, 456 b-c). Devant l'assemblée du peuple, celui qui sait user de la parole peut rassembler les suffrages, même s'il ne dispose d'aucune compétence. C'est la menace qui pèse sur toute démocratie. Si la parole est libre, le

transgresser cette loi selon condamné à mort ». Antigone fait un acte de désobéissance civile et décide d’obéir à d’autres lois, des lois divines, supérieures au droit humain, intemporelles et morales. Elle est condamnée à mort par Créon. Platon, Le Politique : Platon distingue les lois qui sont trop générales, ne tenant pas compte des cas particuliers, et souvent erronées et l’art de la politique qui consiste à appliquer la Justice ; il faut que le dirigeant soit lui-même juste et vise le bien commun

départ de l'indépendance de l'esprit. Bien que confiant dans la nature humaine, il se montre sévère envers les opinions générales et toute forme d’excès de pouvoir. De ses dialogues, il ne reste aucune trace écrite. C'est grâce à deux de ses élèves, Platon et Xénophon que l'on connaît sa pensée. Socrate est souvent considéré comme le père de la philosophie politique, de l’éthique, et comme étant à l’origine des thèmes principaux de la philosophie occidentale.  Démocrite vers 460-380 av.J.-C. est un matérialiste

Dans le livre VII de la république de Platon, l’allégorie de la caverne est le sujet. Dans cette allégorie très célèbre, il est question d’éducation, sur l’importance du partage de la connaissance. L’image que le prisonnier se fait n’est-il pas biaisées? Est-ce que le monde réel existe vraiment? Est-ce que les ombres dont je perçoit est réel? Tout d’abord, pour répondre à la question, le prisonnier devra essayer de se libéré de la caverne et d’allé voir ce que le vrai monde, car se qui est projetés

que l'un et l'autre ont plus à voir que le supposé eugénisme de Platon avec celui de Galton). Jusqu'au XIXème siècle et jusqu'à Galton lui-même, j'avancerais que parler d'eugénisme est un contre-sens et pas seulement parce que Galton est l'inventeur du mot. On verra plus loin pourquoi. Pourtant la quasi-totalité des textes critiques qui ont traités, à posteriori, de l'eugénisme, évoquent en premier lieu La République de Platon, puis Thomas More, Tommaso Campanella, Claude Quillet, Charles-Augustin

La politique I/Platon 1) La république: la cité idéale La question posée dans la Republique est la question de la justice càd de l’ordre, de l’efficacité et de la rationalité. Il s’agit de savoir à quels types de conduites individuelles ou politiques et religieuses l’homme doit se conformer pour que se réalisent l’ordre, la raison, la bonne correspondance entre l’organisation du cosmos, celle de la cité et la hiérarchie de l’âme. Le dialogue sur la justice a donc pour centre la constitution