Platon Liberté

Justice commutative 2.2.2.2 Justice distributive 2.2.3 Autres types de justice 2.3 Modèles modernes de justice : politiques pénales 3 Philosophie de la justice 3.1 La justice comme une harmonie : Platon et Aristote 3.2 La justice divine et la justice humaine 3.2.1 Des stoïciens à la justice chrétienne 3.2.2 Deux traditions : Duns Scot et saint Thomas d'Aquin 3.2.3 Pascal et Leibniz 3.3 La justice

présente un idéal esthétique ? Selon Platon, « Le mot idéal joint au mot beau, exprime cette beauté que l’art sans doute rend visible mais plus particulièrement encore l’âme, à l’entendement, au sentiment et aux yeux de l’esprit, qu’à l’organe matériel ; il exprime cette beauté dont aucun modèle isolé ne peut être le type, dont aucun individu ne peut fournir l’image complète et à laquelle l’artiste n’arrive que par la puissance d’idéer ». [C. Lévêque, Platon considéré comme fondateur de l'esthétique

homme à éduquer b) Une cité de l’Homme Nouveau 6) Les lignes thématiques de l’utopie a) b) c) d) L’accès à l’utopie L’insularité Utopie et uchronie Urbanisme de l’utopie 7) Les institutions utopiennes : a) l’obsession de la pureté 1. Texte de Platon, La République 2. Texte de More, L’Utopie 3. Texte de A. Huxley, Le Meilleur des Mondes b) L’économie des utopies 1. La mise en commun des biens 2. La joie du travail 3. La fin de l’argent 2 Philosophie 4 Semestre I Jérémie Francfort

consisté à délimiter le sujet. J’ai opté pour une présentation du “terreau intellectuel” dans lequel s’enracine la naissance de la philosophie occidentale marquée par l’émergence de la pensée socratique ainsi que par ses héritiers les plus directs, Platon et Aristote, eux-mêmes à la source des deux grands courants de pensée qui vont influencer directement la tradition philosophique jusqu’à la fin du moyen âge pour le moins. Il resterait bien entendu à traiter entre autre des courants de pensée qui

médecine, ou d'analyse en politique, peuvent devenir criminelles (en théorie / en pratique). B - L'illusion ° Si l'erreur manque la vérité, l'illusion lui tourne franchement le dos : elle se trompe de monde, à l'image des prisonniers de la caverne de Platon (République, VII, 514a) qui restent fascinés par les reflets qu'ils voient danser sur la paroi qui leur fait face. En ce sens l'illusion est plus un problème psychologique que logique. Pour se débarrasser d'une erreur, il suffit souvent de la constater

la vie avec vos propos abstraitement métaphysiques. Vous cherchez la vie bonne? Je vous en livre le secret : ce vin, ce pain, ces quelques olives suffisent amplement à guérir nos âmes. Pourvu, bien sûr, que nous en fassions un usage raisonnable. Platon : Bien que toutes ces choses soient agréables pour nos sens et notre corps, elles n’ont que peu d’utilité quant à la satisfaction et la guérison de notre âme. Pour qu’un être humain puisse se considérer comme accomplie, il doit aussi satisfaire sa

« perdu toutes ses illusions », son désespoir (qui parvient à la grandeur d'âme du sage stoïcien, changeait ses désirs plutôt que l'ordre du monde, le destin) ? Et comment « désillusionner » l'illusionné ? La célèbre allégorie de la Caverne, par Platon se clôt paradoxalement : celui qui est sorti de la Caverne a vu des reflets de la vérité (on ne peut pas regarder la vérité en face), s'il retourne voir des anciens compagnons, toujours prisonniers du monde des illusions figuré par la caverne, risque

u Apostrophe du début : identifie les lecteurs à des "buveurs" défigurés => élite sous le signe du vin, de la laideur => impression de moquerie, public choisi tourné en ridicule
u figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques. 
u Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. Mélange de registres : décalage entre Socrate et la pelure.
u Fatrasie (énumération) • Enumération des chimères sur les Silènes

être l’expression de la justice, n’est-il en fait que le droit du plus fort ? Dans une première partie nous verrons l’apologie de la force qui est véhiculé par Thrasymaque et Calliclès, puis dans une seconde partie nous approfondirons la pensée de Platon, pour enfin aborder la généalogie de la morale de Nietzsche. I) L’apologie de la force selon Thrasymaque et Calliclès A travers ce passage, Thrasymaque et Calliclès développe l’idée selon laquelle la véritable justice serait celle de la nature

à s’enrichir et de pousser son réflexion pour comprendre l’autre. Malgré que la philosophie n’appuie pas l’opinion et prenons par exemple Parménide qui affirme que les opinions sont basées sur les sens alors trompeuses et mènent vers l’erreur, Platon lui, affirme que les fausses opinions proviennent du monde sensible , et à partir de cette affirmation On présume l’existence des vraies opinions qui proviennent du monde réel , le vrai monde celui de la vérité ,donc les opinions peuvent êtres vraies