Point de vue narratif

décrire surtout une caractéristique particulière. Car les notations descriptives peuvent être fondamentales, par exemple dans une nouvelle fantastique dans laquelle le narrateur décrira un objet/être/paysage incroyable, inhabituel  le rythme narratif est rapide, l’action généralement unique, intense ; l’action s’organise autour d’un événement apparemment banal (qui prendra, au cours du récit, des proportions inattendues) ou d’emblée extraordinaire. La nouvelle se déroule dans un temps relativement

associe « la vraie vie » ( II ). I – Description d'une ville : Dans cet extrait, la narratrice évoque une demi-journée de la « vraie vie », elle fait la description d'une partie de sa ville Paris et de ses habitants. Son récit est narratif et argumentatif, le point de vue ,interne c'est à dire que c'est l'autrice elle même qui a vécut ces choses ;et la focalisation, zéro c'est à dire que la narratrice connaît tout aussi bien tout, et du personnage et de ce qui va arriver. L'autrice emploie la première

femme du pasteur, n’apprécie pas la présence de la jeune fille, et soupçonne son mari d’avoir des sentiments plus que paternels envers cette dernière, de laquelle est également amoureux son fils Jacques. A la suite d’une opération, Gertrude recouvre la vue et découvre ses sentiments pour Jacques. Elle décide, comme lui, de se convertir au catholicisme. Cependant, Jacques étant entré dans les ordres, elle ne peut l’épouser et décide de se suicider. Au travers de cette histoire, l’auteur peint les souvenirs

page 4 Un récit, des récits…………………………………………. ........ page 8 La littérature en couleur…………………………………… ........ page 14 L’instance narrative en « je »…………………………….. ......... page 25 Le genre policier……………………………………………......... page 31 Points de vue sur la mère………………………………… ......... page 38 Le motif de la rencontre…………………………………… ........ page 45 La notion d’approche historique………………………….. ........ page 52 Lecture en réseaux : pourquoi, comment ? Le document d’accompagnement des

UN EXEMPLE. Note bac: 17 Le montage parallèle. Le thème de ce dossier à été pour moi évident et très facile à choisir. En effet, voulant allier, dans mon court métrage, deux thèmes très différents à première vue, j’ai décidé d’utiliser le montage parallèle afin de comparer les deux personnages principaux. Ainsi, je me suis beaucoup interrogée sur cet aspect que j’avais abordé en seconde de façon très vague. J’ai donc étudié quelques films réalisés en montage parallèle. C’est alors que j’ai découvert

récit que nous apprenons le motif hypothétique de ce crime : le besoin de vivre un amour absolu qui ne peut s’accomplir que dans et par la mort. Le lecteur est invité à assister à l’événement avec le personnage principal Anne Desbaresdes (c’est son point de vue qu’adopte le narrateur) qui, après avoir quitté avec son fils l’appartement de Mlle Giraud, professeur de piano, observe un spectacle étrange pendant lequel un homme qui vient de tuer une femme s’allonge auprès d’elle tout en couvrant de baisers

avons axé notre étude sur Mustafa Tlili et sur deux de ses romans intitulés Le Bruit dort et La rage aux tripes. Cet ouvrage écrit en 1978 met en scène, dans une fiction généralisée, les destins différents d’une poignée d’être mais qui ont tous le point commun d’être en quête d’un ancrage impossible. Mustapha Tlili est né en Tunisie en 1937. C’est un auteur discret dont on parle peu et pourtant son œuvre littéraire est des plus intéressantes. Après avoir réalisé ses études secondaires en Tunisie

de chose près identiques. Cependant ces répétitions, ces infimes variantes, ces coupures, ces retours en arrière, peuvent donner lieu à des modifications - bien qu'à peine sensibles - entraînant à la longue fort loin du point de départ. » (p. 101) L'intrigue et le choix narratif Dans La Jalousie, Robbe-Grillet revisite les topos du triangle amoureux. À la lecture du titre, le lecteur, rompu à la lecture de romans traditionnels, s'attend à être plongé dans une intrigue passionnelle pleine d'effusions

veut que le narrateur s’efface et donne l’impression que les faits sont livrés en toute objectivité. Cette ouverture accorde beaucoup de place à la description : elle marque l’effacement du narrateur pour laisser place à une transmission de point de vue du personnage. I. L’incipit romanesque Le roman commence par "Gervaise" pour attirer l’attention du lecteur sur le personnage principal. Zola ne fais que par l’appelé par son prénom . On parle aussi de " Lantier " pour le rendre familier

focalisation : point de vue qui permet de préciser d’où et comment, dans une oeuvre littéraire, les faits, les personnages, les objets... sont perçus. Le narrateur peut être extérieur au récit et en même temps analyser le caractère des personnages comme un Dieu qui voit tout et sait tout ou il peut être intérieur au récit. Dans le premier cas il s'agit d'un narrateur témoin extérieur au récit qui se contente de décrire ce qu’il voit sans rien analyser; dans le deuxième cas il s'agit d'un narrateur