Points de suspension

nettement par ces autres marques de l'oralité, «Eh !» et «donc». Le qualificatif «extraordinaire étranger» fait écho à l’«homme énigmatique» du début. Et voilà qu’enfin, dans une longue phrase marquée syntaxiquement par le point d'exclamation et par des points de suspension, qui indiquent l’émotion, l’enthousiasme, est donnée une réponse positive, qui pourrait être la réponse à la première question, qui est signifiée par le verbe «aimer», la répétition du mot «nuages», le qualificatif «merveilleux»

assez brèves, traduisant bien un échange entre Cyrano / Christian et Roxane, Signe que la passion va le dominer. déséquilibre des répliques  (v.1 : question « Quels mots me direz-vs » ?). Puis 2 brèves interventions : 1er hémis du v.16 (pts de suspension car interrompue par les propos de Cyr qui enchaîne à partir de sa remarque : « certes » v.16, « ce sentiment » répondant à « amour ») et 1 vers et demi (v.37-38). : Roxane provoque la déclaration de Cyr plur « mots » v.1 « Ts ceux, ts ceux

 Il l'interroge comme un enfant maltraité.  C'est le sens de la réplique : « Et on ne t'a pas battu ?  Vladimir introduit par l'interro­négative un doute sur ce qu'il a subi mais Estragon  le confirme par  un si hésitant sous entendu par les points de suspension « si... ».  Ces tortionnaires qui s'acharnent  sur lui restent eux aussi indéfinis.C'est le ressassement des deux stichomythies qui le sous entend .Il  y a un rythme poétique.Même est répété au début de la réplique  suivante créant une anadiplose

observer qu'Antony est un héros romantique dans le sens où c'est un héros orphelin, « bâtard », trait spécifique d'une majorité de héros romantiques notamment comme Figaro, dans le Mariage de Figaro de Beaumarchais. Le parallélisme « je n'ai point de famille, je n'ai point de patrie » exprime le sentiment d'exclusion d'Antony, « seul » face aux « autres ». Le fait qu'il n'ai « pas de nom », « pas de parents » fait de lui un héros romantique unique, seul, et sujet à une angoisse existentielle et sociale.

La ponctuation : clavier Signes Point Virgule Points de suspension Points de conduite Point-virgule, point d’exclamation, point d’interrogation, deux points Règles Pas d’espace avant, un espace après Exemples mot. Xxxxxxxxx Mot, xxxxxxxxxx Mot… Mot Mot…………….. p 1 Mot ; mot ! Mot ? Mot : xxxxxx Espace avant et après L Les signes et symboles : clavier Règles Pas d’espace avant ni après • • • • Signes – symboles Trait oblique Apostrophe Trait d’union Coupure fin de ligne Exemples RC/CP

l'antithèse entre « fugitive » et « éternité » dans les deux tercets mettent en relief la brièveté de l’apparition. De plus le caractère éphémère de l'apparition est soulignée au vers 9 par l'image de l'éclair tandis que les trois points de suspension, qui contrastent avec le point d'exclamation, expriment la soudaineté de sa disparition. Une communication impossible : la solitude du poète La « rue assourdissante » qui constitue le cadre de cette rencontre implique que toute communication verbale est

haute coiffure militaire. Ovoïde : en forme d’œuf. Soutache : tresse de galon. 6. Quos ego : littéralement « Vous que je... » est l’exemple le plus célèbre – tirée d’un vers de L’Énéide de Virgile – de la réticence, figure de style, suivie de points de suspension, qui consiste à interrompre soudain son propos pour mettre en valeur ce qui n’est pas prononcé et qui reste suggéré. COMMENTAIRE ÉLÉMENTS POUR L’INTRODUCTION DU COMMENTAIRE : Quelles sont les différentes techniques pour intéresser le lecteur

début vous parait-il constituer une scène d'exposition efficace? » « Je montrerai que ce début me paraît efficace par les informations donnée sur le contexte historique et les personnages à travers deux registres. » Explication 1er point: le contexte historique « Un matin très tôt de l'année 1945 ». Cette didascalie donne deux indications au lecteur et au metteur en scène: une sur le moment de la journée et une autre sur l'année qui correspond à la fin de la Seconde Guerre mondiale

foutrai pas la paix», «la gueuse», en contradiction avec la bonne éducation de cette fille de bonne famille), sur un ton humiliant, ironique («ta peinture»). Le rythme de ses phrases est haché et la ponctuation est expressive (les points d’exclamation et les points de suspension). Elle a même des gestes agressifs («lui arracha la bougie du poing»). En fait, il n’y a pas que deux personnages, mais un infernal ménage à trois : pour Christine, la peinture est une rivale car Claude est marié à son art. La

il ne reconnaît rien,il a de la mauvaise foie : l28 à 30 « L’homme qui a risqué sa vie pour sauver son semblable peut-être fier de lui même mais j’aime mieux me renfermer dans un silence modeste…signe caractéristique du courage ! » 9.Les points de suspension à la ligne 7 veut dire qu’il cherche ses mots l7 « Je ne sais pas…Je le trouve plus… ». 10.M. Armand est pour Madame Perrichon : l9 « Mais l’autre t’a sauvé » et l11 « sa famille est honorable,sa position excellente… ». 11.Mr Armand est