Polygone simple

irrésistible sont renforcés par l’expression de la précipitation qui est le signe du coup de foudre. Cette impression de précipitation est déclenchée grâce à l’utilisation du passé simple. On remarque que le texte commence avec l’imparfait (…) puis on observe une alternance entre l’imparfait et le passé simple au moment où Manon apparaît (…) ce qui met l’évènement en exergue. De plus, les phrases courtes utilisées lors de l’arrivée de Manon telles que « Il en sortit quelques femmes », « Il

sembl´ important de ne pas nous limiter aux espaces m´triques de e e fa¸on ` ce que le langage de la topologie g´n´rale ne soit plus un nouvel obstacle c a e e a ` franchir (de plus les topologies non m´trisables arrivent tr`s vite : convere e gence simple, topologies produit, quotient, de Zariski. . .). Nous avons laiss´ de e cˆt´, en le signalant, la notion de filtre qui ` ce niveau introduirait plus de oe a confusion qu’autre chose mais qui apr`s coup ne pr´sentera pas de difficult´ e e e majeure pour

fit semblant de ne pas le remarquer » (l.99-100). Par la focalisation zéro, le narrateur nous fait ainsi partager les pensées des deux personnages. Q2 Les temps utilisés dans ce récit au passé sont principalement le passé simple et l’imparfait. Le passé simple est utilisé pour raconter des actions uniques de premier plan, limitées dans le temps et qui font avancer l’action: « La maison apparut (l.89). […] Ulman remarqua, […] Il ne vit pas […]. Puis il remarqua […], mais il ne les regarda

plus vivant le poème, ainsi que lors de l’échange de paroles (vers 7, 8, 9 et 10) afin de rythmer le dialogue. Notons également l’emploi de l’imparfait (vers 12, 13 et 15) qui sert à décrire les actions ininterrompues et révolues, ainsi que le passé simple (vers 16) qui nous indique des faits surgissant. Enfin s’ajoute le passé composé (vers 2, 6 et 14) qui donne l’impression d’un passé récent et d’un présent perpétuel. Il s’agit donc ici de mêler quatre temps entre eux, ce qui accentue l’effet de discordance

passages restant, c'est à dire narratif, Figaro raconte sa vie, c'est une évocation autobiographique. Trois temps dominent : -> généralité passée(l'imparfait " le désespoir m'allait saisir " -> faits ponctuels dans le passé " il fallut(le passé simple bien périr encore " -> événement imprévu(le présent mise en relief( d'événements importants rupture totale avec le passé( " on me met un jour dans la rue ", " je reprends ma trousse et mon cuir anglais " 2. Mise en scène et cette alternance

exige quelques conditions : Le Texte oblige le lecteur a croire que Le monde des personnages comme un monde de personnes vivantes , et hesité entre une expliquation réelles et surnaturelle. Les temps spécifiques qui sont L’imparfait et le passé simple Un narrateur , interne , externe , ou omniscient Une structure : situation initiale , élément pertubateur , péripéties , élément de résolution . Et des repères spatiaux et tempporelles Le récit fantastique part d'une situation naturelle pour finir

Un aller simple de Didier Van Cauwelaert Les personnages: Aziz Kemal : le héros, un enfant trouvé de Marseille. Pignol : le copain d’enfance d’Aziz, il est flic. Lila : sa copine avec qui il aime s’isoler sur le rocher de l’UCPA dans les calanque. Rajko est son fiancé, mais à la mort de ce dernier elle se fiance avec Aziz. M Giraudy : le prof de géo d’Aziz. Jean-Pierre Schneider : Attaché humanitaire. Mamita : la mère adoptive d’Aziz. Vasile : le vieux tzigane qui a trouvé Aziz. Clémentine

hétérologue au couple composé d'un homme et d'une femme. Le nouveau-né est ensuite éduqué par les deux femmes, ce qui justifie que la compagne de la mère légale de l'enfant ait voulu présenter, avec le consentement de celle-ci, une requête en adoption simple de l'enfant. Est également sollicitée, par voie de conséquence, une demande en changement de nom pour que l'enfant porte, conformément à l'article 363, alinéa 1er, du code civil, le double nom de l'adopté et de l'adoptante, le second étant adjoint

LA PESTE - CAMUS Étude 1 : L’incipit «le matin … farce » I) Le récit Le temps du récit est au passé simple « sortit » « écarta » «retourna » décrit les actions du personnage Mais on observe aussi de l’imparfait «  avait » « était » « restait » qui est utilisé pour décrire les pensées des personnages Employé avec l’imparfait, le passé simple exprime une action soudaine. On peut notamment observer un verbe du passé composé «  avait paru » Le narrateur est «  extérieur » à l’histoire présence

quatrain "tu mugissais", "tu brisais", le vent jetait" qui insiste sur la durée, la continuité des actions du lac devant la fuite du temps. La nature n'a pas la notion du temps que l'homme peut avoir, elle ne connaît ni présent, ni passé. Le passé simple du quatrième quatrain "frappèrent", "laissa", reproduit le caractère bref et inattendu des moments de l'existence, une suite brèves d'actions temporelles. Dans notre texte, le présent sert à l'observation générale, à la réflexion, à l'enregistrement