Polyphonie

Renaissance. Il est le compositeur européen le plus célèbre et est habituellement considéré comme la figure centrale de l'école franco-flamande. Josquin est largement considéré par les spécialistes comme le premier grand maître dans le domaine de la polyphonie vocale des débuts de la Renaissance, . L'œuvre de Josquin des Prés fut largement diffusée en Europe occidentale, notamment grâce à l'imprimerie musicale naissante., il fut le premier grand musicien de la Renaissance BIO LUTHER : Martin

toujours ». En effet, bien que nous nous attarderons plus en profondeur sur l’impact de l’hétéronymie dans la deuxième section de ce travail, puisqu’il s’agit d’un point extrêmement important, observons ces quelques passages Des anges mineurs où la polyphonie fait son œuvre et où on peut y voir le désir de Volodine de s’effacer des récits rapportés : « [q]uand je dis je, c’est à Khrili Gompo que je pense, cela va de soi » (p. 64), « [q]uand j’utilise la première personne, on aura compris que je pense

influence profonde sur certains compositeurs du début de la Renaissance comme Guillaume Dufay et Gilles Binchois. Parmi les compositions de Dunstable qui nous sont parvenues, nous trouvons des exemples de tous les principaux types et styles de polyphonie qui existaient de son temps : des motets isorythmiques (Isorythme : du grec « rythme égal » : répétition dans une des voix d’une composition musicale (généralement le ténor), d’un modèle rythmique durant une section ou une composition entière.)

chœurs, construction architecturale : - chœur d’entrée & de sortie : (en fonction des parvis des cathédrales) - chœur de prière : (choral ⋄ répertoriés, les luthériens, les savert-savant-savart??) la mélodie est préexistante, reprise et mise en polyphonie - chœur de tourba : (représentent la foule) : texte qui raconte (« Et alors les disciples dirent : ») ⎝ jeux de chœurs & dialogue entre les chœurs, écriture concertante. Ecoute : mélange entre chœur d’entrée & chœur de prière, dialogue. ⎝

de la censure elle est enfin libre de devenir elle même. Personne ne peut lui interdire et a accès a l'autonomie. Un « roman polyphonique » Pas de discours féministe mais développent de thèmes, notions, particuliers. Caractéristique principale : polyphonie Pour ces auteurs, sortir des structures traditionnelles, établie. Quelque soit l'auteur, elle vont chercher a assouplir le genre romanesque, l'une n'a rien a voir avec l'autre, trois types différents. 3 formes d'expressions différentes. Pourquoi

témoignages familiaux et historiques ,et, le quaatuor à cordes. Ces différents bruitages créés des dissoances dans la superpostion des lignes mélodiques. On appelle cela la polyphonie. Pour réaliser son œuvre, Steve Reich prend comme modèle une grande figure polyphonique de l'Art Baroque : Jean-Sébastien BACH. BACH utilisait la polyphonie dans ses fugues (=) avec des entrées de plusieurs voies c'est-à-dire.................................................................................................

vocal en grisaille, d’où parfois s’élève une plainte déjà presque étouffée. Les mots sont psalmodiés sans affect par des spectatrices médusées, la chose est trop horrible pour pouvoir être chantée. Pourtant, peu à peu les voix se lèvent, puis la polyphonie se fait plus forte et l’on rejoint très brièvement la mélodie d’origine, pour un climax en double chœur, avec deux blocs harmoniques qui se heurtent violemment. Le tout cesse comme un cri interrompu, et le chœur entame une série de réservoirs descendants

Apostrophes cf titres Au peuple.. Et posture de celui qui parle : date et lieu pour chaque poème = une tribune C - Le plus souvent, voix anonyme (début Nox), ou parole donnée aux proscrits V,9, aux bourgeois hésitants V,10, aux conservateurs VII,12. Polyphonie, Stella (éléments inanimés) II. Un texte qui s’entend A - Chants : cf. nombreuses « chansons » et poèmes avec refrains B - Effets sonores dans les poèmes : c.f textes expliqués : « cracher sur l’arche », assonances -ui de Stella... Vers

vue que celui-ci exprime (…). Il peut également se distancier d’un énonciateur, ce qui ne signifie pas nécessairement qu’il refuse le point de vue de ce dernier, mais simplement qu’il n’en revendique pas la paternité. (Anscombre 1985 p.7). Dans Polyphonie et modalisation[5] , Haillet emploie comme synonymes « point de vue et énonciateur » avec une préférence pour le premier terme. Pour illustrer la distinction entre « locuteur » et « point de vue » il prend les exemples qui suivent[6] : (1) La

rythme libre calqué le plus souvent sur le rythme du texte chanté, et dont le chant grégorien est l'exemple type. Un tel rythme présente l'avantage de n'avoir besoin d'aucun procédé particulier de notation. A partir du xiie siècle se développe la polyphonie, technique musicale propre à la musique occidentale consistant à utiliser simultanément des sons de hauteurs différentes. Le rythme musical a alors nécessité une représentation graphique précise des différentes durées. C'est ainsi que le rythme