Polyphonie

si nous pouvions arriver à penser en sons aussi aisément qu'en mots.» (L’Art en silence, 1901). Mauclair évoque la notion de polyphonie qui se mélange à la polysémie de la poésie. Il remet en cause le mythe d’Orphée qui est à la base de tout, dans lequel l’association entre la musique (art des sons) et la poésie (art des mots) ne fait qu’un. Cette notion de polyphonie en littérature doit être comprise d’une façon abstraite, mentale. Pourquoi donc ces poètes utilisent-ils cela ? A cause des idées

l’orgue. Mais sa grande originalité est d’avoir opéré la synthèse de toutes les connaissances musicales du passé et de son temps. Bach a assimilé la grande polyphonie sacrée de la Rennaissance, les maîtres français et italiens, les traditions germaniques du Nord et du Sud. Ainsi s’est formé son style, qui superpose la mélodie à une riche polyphonie au contrepoint très serré. En ce sens, Bach a moin inventé qu’il na perfectionné des formes et des techniques existantes. Bach traite la voix comme un instrument

une seule note à la fois et sans accords). | |pour se donner du courage devant les animaux dangereux, |- Fin du 1er millénaire : la polyphonie (une ou plusieurs voix principales). | |pour fêter le retour de la chasse et célébrer certains rites comme les enterrements. |- IXème siècle : art poétique, musiques profanes

éléments que vous n’avez pas entendus la première fois, et complétez votre feuille comme suit : - écriture : verticale, horizontale (contrapuntique), en imitations, styles particuliers (mélodie, concerto, récitatif, du choral...), épaisseur de la polyphonie s’il y a lieu, - thématique : nombre d’éléments thématiques (exploitez les liens possibles avec la structure), aspects particuliers (mélodiques ou rythmiques), carrures, orchestration ou instrumentation. - mode : musique tonale (majeur ou mineur)

le discours indirect libre, la voix du personnage et celle du narrateur sont mêlées, enchevêtrées, on ne sait jamais parfaitement si c'est le narrateur ou le personnage qui parle ou qui pense. Ce style est appelé superposition de voix, ou encore polyphonie : Exemples : 1. Le professeur se mit alors en colère. Il ne supportait plus la paresse de son élève. Il finirait par ne plus s'en occuper si celui-ci trouvait sans arrêt des excuses pour ne pas faire ses devoirs… 2. Il met bas

voix de l’autre ‘une voix en filigrane’ (une voix qui n’est pas tout à fait clair / filigrane = watermerk) 2) DUO-ÉPISTOLAIRE - 2 correspondants - exemple : BLZAC, Les mémoires de 2 jeunes mariés - assez rare 3) LA POLYPHONIE - plusieurs épistoliers - exemples : CHODERLOS DE LACLOS, Les Liaisons Dangereuses Mme DE STAEL, Delphine → roman ‘symphonique’ encore plus complexe qu’un roman polyphonique cette complexité est due entre

appelé strette. Il est inutile d’entrer ici plus avant dans le détail de son architecture ; pour comprendre le rôle qu’elle a joué dans la peinture de Klee, retenons qu’elle comporte des réponses d’une partie à l’autre, réglées selon une stricte polyphonie. On constate la même particularité dans « Fugue en rouge », où les quatre principaux éléments thématiques, parmi lesquels on reconnaît une cruche, se développent et se répondent, tant sur le plan formel que sur celui des couleurs, qui vont du rose

Ménagère finit par boire le cognac ; les deux conversations sont emmêlées (entre la dame qui doit boire le cognac et Bérenger qui argumente par rapport aux cornes) Ligne 25 à 31 : dialogue Bérenger-Jean a nouveau entrecoupé Ligne 32 à la fin : polyphonie, paroxysme entre les deux dialogues qui vont s'entrechoquer et s'entremêler au point qu'il y a une suite logique Cette deuxième intervention d'un rhinocéros suscite l'effarement chez les personnages, plus particulièrement entre Jean et Bérenger

et modernité : le bourdon Définition : Le bourdon : C’est un son continue à hauteur constante, en général grave. Ce genre de procédé musical remonte au Moyen âge et même sans doute à l’antiquité, mais tend à s’effacer à l’apparition de la polyphonie. C’est une tradition ancestrale aussi bien populaire que religieuse. Le terme bourdon est apparu au 13ème siècle pour désigner les tuyaux graves de l’orgue où des cornemuses ou encore celles des violes et des luths. Relayer par les instruments

: L'Ensemble Bradamante est constitué de quatre musiciennes et joue cependant ce que l'on appelle un répertoire en trio. Un nouveau style de composition s'est développé au début du XVII ème siècle  : la monodie accompagnée triomphe de la polyphonie et la basse continue (aussi appelée le continuo) désigne une pratique d'improvisation à partir d'une basse écrite (chiffrée ou non). Les instruments utilisés pour réaliser cette partie sont un ou plusieurs instruments monodiques graves (violoncelle