Portrait De Gwynplaine

des Lumières, évoquent des personnages divers décrits précisément par les écrivains. On peut alors se demander en quoi précisément ces personnages sont rendus antipathiques. Nous verrons que les personnages sont décrits sans complaisance, que les portraits sont construits de manière péjoratifs, et que les personnages des textes B et C sont orgueilleux. Tous les personnages sont décrits sans complaisance car les auteurs recherchent la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à

(1595 ), là où il nous donne une leçon de tolérance, à la suite d’une rencontre avec un enfant différent. Un monstre d’époque classique nous est présenté dans un second texte, « l’homme qui rit, portrait de Gwynplaine » de Victor Hugo texte dans lequel il dénonce la cruauté des hommes face à Gwynplaine enfant à qui on à taillé un sourire perpétuel. Finalement un monstre moderne nous est présenté par Robert Merle dans la mort est mon métier, interrogatoire de Rudolph Lang extrait dans lequel le

un retour au « moi » , aux passions, à la nature et à l’irrationnel. C'est un portrait de gwynplaine . Texte parut en 1869 . I - Un portrait compliqué : a) Un portrait double : -CL de la laideur/monstruausité -Horriblement défiguré mais rapprochement a l'art b) Une vie malgré lui : -Saltimbanque -> Il divertit les autres mais ce divertissment est une conséquence .c) Un homme torturé : -Gwynplaine est un héros qui pleure a l'intérierur mais qui ne peux que rire a l'extérieur

se montre incompréhensif, antipathique envers autrui et refuse de reconnaître l’humanité d’un semblable. En effet, dans L’Homme qui rit , Victor Hugo illustre cet acte d’inhumanité en mettant en scène une foule riant de Gwynplaine, un enfant qui souffre de la difformité de son visage lui laissant un rire indélébile. « L’éclat de rire foudroyant », qui témoigne de la brutalité des moqueries, est un rire d’incompréhension car la foule refuse de reconnaître l’humanité du jeune

Texte 2 L'action se déroule en Angleterre, à la n du xviie siècle. Enfant, Gwynplaine a été enlevé par des voleurs qui l'ont atrocement déguré pour en faire un monstre de foire : ses joues ont été incisées de la bouche aux oreilles, de façon à donner l'illusion d'un sourire permanent. Devenu adulte, il se produit dans une troupe de comédiens. Quoi qu'il en fût, Gwynplaine était admirablement réussi. Gwynplaine était un don fait par la providence à la tristesse des hommes. Par quelle providence

du XVIIe siècle comme Nicolas Poussin. Dans l’Homme qui rit, Hugo a placé les aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVIIe siècle. * Ce rattachement au réel s’opère surtout dans la psychologie. Il est important que le lecteur puisse se reconnaître dans les personnages du récit, voire s’identifier à eux. Nicolas Poussin présente l’enthousiasme et le jugement hâtif de la jeunesse. Gwynplaine émeut profondément par sa détresse ; sa mutilation l’a conduit inexorablement hors de la société

XVIIe Siècle à nos jours Corpus: Texte A : extrait d’Honoré de BALZAC, Le Chef d’œuvre inconnu (1832) Texte B: extrait de Victor HUGO, L’homme qui rit (1869) Texte C : extrait de Marcel PROUST, Le Temps retrouvé (1927) Question: Ces portraits donnent-ils l’impression de la réalité ? /4pts Commentaire /16 Corpus: Texte A : extrait d’Honoré de BALZAC, Le Chef d’œuvre inconnu (1832) L’action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris, un jeune peintre ambitieux

…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………........................................................................... Faites le portrait d'un personnage comique, en utilisant ces expressions toutes faites : paresseux comme un loir - des nerfs d'acier - tête en l'air - une voix de crécelle – habillé comme l'as de pique - un sommeil de plomb. …………………………………………………………………………………………………

« Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel ? Dans quelle mesure le transposent-ils ? » Votre réponse n'excédera pas une trentaine de lignes. Trois de ces portraits ont été écrits au XIXe siècle, influencés par des courants comme le réalisme ou le naturalisme. C'est le cas du moins des textes de Balzac et de Zola. Pour dresser de tels portraits, les auteurs ne peuvent que prendre appui sur le réel, véritable source d'inspiration mais aussi gage de crédibilité. Le lecteur

Énoncé : Préparer la question sur le corpus : « Dans quelle mesure les portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? » Textes • Texte A - Honoré de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu, 1832. • Texte B - Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869. • Texte C - Émile Zola, L’Assommoir, 1877. • Texte D - Marcel Proust, Le Temps retrouvé, 1927. Texte A - Honoré de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu. L’action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris