Positivisme Juridique

point de vue du droit (Pas du point de vue de la religion ou de la morale) Pour rendre intelligible une question on a besoin de plusieurs points de vue (pas QUE du dt) Toutes les questions seront abordées à partir d’un ensemble de textes juridiques (Constit, lois, traités, etc.) qui énoncent les principes autour desquels une société est organisée, principes qui, s’ils ne sont pas respectés, sont sanctionnés par un juge. Le droit = règles + sanctions juridictionnelles Ex : Hadopie : sanction

(1798-1857). Il est connu pour être le personnage le plus jeune ayant réussi le concours d’entrée à 16 ans pour l’école Polytechnique et il enseigne les mathématiques à la sortie de son école. Il développe de plus en plus sa propre doctrine qui est le positivisme. Il y consacre les cours de philosophie positive (6 volumes publiés). Quels sont les principes de base ? Pour lui la seule véritable expérience est celle des sens. Il affirme que la chose en soi est inaccessible et inconnaissable. Il faut appréhender

problème. Par quel angle prend-t-on les choses ? Les intitulés du cours traduisent déjà une manière d’aborder le problème. Ce cours est donc épistémologique. Il faut faire la différence entre constructivisme et le positivisme (distinction très radicale !). Approche positiviste Le positivisme est l’idée d’analyser les phénomènes sociaux comme une donnée objective. On considère qu’on peut étudier un objet sans prendre en compte la subjectivité/qualité du chercheur. C’est une approche des phénomènes

prérogatives des facultés qui sont inhérentes à l'homme, aux sujets de droit, qu'elles sont libres d'exercer ou non. Et l'Etat ne peut en entraver l'exercice. La liberté d'autrui est là où commence celle des autres. Première partie du syllogisme juridique s'appelle la majeure. La majeure c'est la règle générale qui est posée. Seconde partie du syllogisme est la mineure : cas particulier, « en l'espèce ». Dernière partie du syllogisme : on confronte la majeure et la mineure, on peut conclure.

premier sens, ensemble des règles juridiques qui régissent les hommes et dont la violation est sanctionnée par l’autorité publique.: droit objectif. Et c’est aussi le pouvoir reconnu à l’individu, sur une chose ou à l’encontre d’une autre personne. Propriétaire d’un objet : on a le pouvoir dessus. Droit de propriété. Droit sur un individu : mariage, droit d’obliagtion sur l’époux. Droits subjectifs. Prérogatives juridiques individuelles. Prérogative juridique : pouvoirs de l’individu garantis

la collectivité. La pensée positiviste s’est interrogée : à quoi cela sert-il de sanctionner si cela est pour le plaisir de juger un homme, de regarder en arrière, de faire de l’introspection ? Cette démarche est davantage judéo-chrétienne et le positivisme ne s’occupe que de l’ordre public. À travers le droit, on a mis en place des sanctions qui limitent les effractions et tâchent d’évaluer leur potentiel de danger politique, ce qui est particulièrement difficile. La mentalité du législateur a changé

autres êtres humains. SECTION 1 : LE DROIT OBJECTIF Le Droit objectif c’est un ensemble de règles, la charte sociale du groupe. Ce n’est pas un amas de règles, il s’agit pour les juristes d’une totalité cohérente. On parle d’ordre juridique, ou d’ordonnancement juridique. Il s’agit d’une construction cohérente. Pour comprendre le Droit il faut prendre la règle de Droit isolée en elle-même et le fondement de la règle de droit. Sous-section 1 : La règle de droit en elle-même Quand l’article 371 du

Pourquoi une telle sanction normative des règles de droit? => chercher le fondement du droit   Il faut un système cohérent et ordonné. Emboitement. Système formel. Processus de validité. Règle de droit: valable quand? Conforme à quoi?     Positivisme en opposition avec le jusnaturalisme. ==> Valable s'il se conforme à un certain nombre de valeurs: référence à la justice, à la légitimité Lien entre la légitimité du pouvoir et le droit. Au contraire dans un système positiviste on ne se pose

sont toujours teintés de philosophie sociale : Comte, Tocqueville, Proudhon, Marx, Spencer, Le Play, ... d) Auguste Comte (1798-1857) Effrayer par le Chaos. Comment penser l’ordre social de manière objective et rationnelle ? Deux règles dans le positivisme de Comte : 1) le but c’est de découvrir des lois universelles 2) La méthode, c’est l’observation empirique, à l’écart de tout jugement de valeurs • • - - - Deux principes sous-tendent sa pensée: - Les lois régissent les étapes successives du

au moment d’une transformation fondamentale du Monde qui se produit en trois axes : politique (les Révolutions française et américaine), économique (la révolution industrielle) et intellectuelle (le triomphe du rationalisme, de la science et du positivisme). Les premiers sociologues précurseurs (Auguste Comte, Alexis de Tocqueville, Karl Marx...) ont cherché à décrire et expliquer l’avènement de ce nouvel ordre (ou désordre…) social. " * Politique  : le premier volet de ce changement concerne la nature