Positivisme Scientifique

est prévisible. En effet, le fantastique ne peut exister dans un univers où le miracle et l'irrationnel vont de soi. C'est pourquoi il ne pouvait naître avant le XIXe siècle, « époque sans croyances », selon Charles Nodier, où triomphe le positivisme scientifique, époque où tout s'explique par la raison : depuis le mouvement des atomes jusqu'aux mouvements des astres, en passant par les mouvements du cœur et de l'esprit. Le fantastique repose sur l'intrusion du surnaturel dans le quotidien, cette

alors suspendu du collège il ne retrouva son cours qu’en 1870. Il fut ensuite élu à l’académie de France en 1878. Mouvement littéraire : le positivisme : courant qui considère que seule l’analyse et la connaissance des faits vérifiés par l’expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde. La certitude est uniquement fournie par l’expérience scientifique. Ce mouvement rejette l’introspection l’intuition et toute approche de la métaphysique (connaissance allant au delà du réel, ex la religion)

Affirmation de droit subjectif de l’individu. Existence de droit naturels de l’Homme qui sont subjectifs à l’individu. 2) Le positivisme juridique Les positivistes refusent de rechercher les fondements du droit au-delà du droit. Peu vraisemblable droits communs à toutes les civilisations. Plusieurs courants : - Positivistes légalistes, historique, sociologiques, scientifiques. a) Légaliste Seul compte le droit en vigueur. Ecole de l’exégèse. Au lieu de regarder un ensemble, on voit les règles de

La deuxième idée commune est méthodologique, ce qui signifie, qu’il distingue soigneusement le droit comme discipline du droit comme objet. Ce que l’on appelle droit est un ensemble de règles, mais c’est également une discipline, une activité scientifique, qui étudie des règles appelées droit. Du point de vue des sources, les positivistes, font la part à la volonté, contrairement aux juges naturalistes, ils refusent la soumission du législateur à une quelconque autorité extérieure ou supérieure

affirmer que la science nous fait conna�tre la totalit� des choses et que cette connaissance suffit � satisfaire toutes les aspirations humaines) de son �poque, va d�passer ces notions d’objectivit�, de science ou de documentation: il admire des scientifiques comme Darwin, Claude Bernard et le philosophe Taine et va s’inspirer de leurs �crits. Dans � Le Roman exp�rimental � , texte th�orique sur sa m�thode, Zola �crit: La Science entre donc dans notre domaine, � nous romanciers, qui sommes � cette

de la méthode expérimentale du physiologiste Claude Bernard. Le chef de file du naturalisme est Émile Zola. Procédés narratifs récurrents : la description, la focalisation externe, le discours indirect libre, etc. Notions proches : réalisme, positivisme « Doctrine qui (…) admet (…) pour principe que seule la connaissance des faits positifs (= qui sont imposés à l’esprit par l’expérience) est féconde et que (…) l’esprit humain doit (…) chercher à établir sa certitude sur l’expérience en se gardant

cette pensée chez les partisans du pouvoir absolu du monarque (Hobbes ou Kelsen qui expliqué ce pouvoir de l’Etat par la pyramide des normes. {draw:frame} {draw:frame} {draw:frame} {draw:frame} {draw:frame} Le positivisme sociologique : le droit se justifie parce qu'il est le reflet de l’état des mœurs (comme l’affirmer Durkheim et Le Comte). Montesquieu et Sauvigny disaient que le droit se justifiait parce qu'il était le produit de l’histoire

DÉFINITIONS GÉNÉRALES Positivisme : Il désigne un ensemble de courants qui considère que seules l’analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde sensible. La certitude en est fournie exclusivement par l’expérience scientifique. Il rejette l’introspection, l’intuition et toute approche métaphysique pour expliquer la connaissance des phénomènes. Il a fortement marqué la plupart des domaines de la pensée occidentale du XIXe siècle. Il est associé

littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1730-1742), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques

l’étude de la préface de Thérèse Raquin puis la vision de l’humanisme plus pousser par les naturaliste et réaliste c'est-à-dire leur vision de l’humanité. En deuxième lieu nous verrons une littérature sous une influence c'est-à-dire les progrès scientifiques qui agissent de plus en plus les naturaliste puis les différentes recherche établis par plusieurs auteurs naturalistes et réaliste. I .Etude de quelques extraits de roman A) Emile Zola : Thérèse Raquin et Rougon-Maquart