Post Taylorisme Ou Néo Taylorisme 0

composée de l’amont jusqu’à l’aval et cela compose des filières. La production de richesse est un amont et un aval. L’économie est un problème de répartition, c’est-à-dire entre l’amont et l’aval, on a de la valeur qui se crée. Amont Aval 0  100 Filière Agricole Industrie Tertiaire L’amont est l’écosystème, qui fournit des matières premières et une force de travail, donc on a un prélèvement de matières premières fait sur l’écosystème, qui s’accompagne d’une mise en mouvement

Organisations ___________________________________________ 13 Les principaux courants théoriques de la psychosociale des organisations ________________ 13 L’école classique (1900-1930) : ___________________________________________________________ 13 La période néo-classique ________________________________________________________________ 16 Gestion des Ressources Humaines Vincent LAMBERT ______________________________ 20 Historique de la fonction "Ressources Humaines" ____________________________________ 20

qu’un composant Séparation entre le cerveau et la main The right man at the right place Principe de la division du travail Sources : Patrice CADOR, Maîtres de conférences associé, IAE de Caen Régis PROVOST Les principes essentiels du TAYLORISME sont les suivants : • Les responsabilités d’organisation des tâches, même les plus élémentaires, sont du ressort de l’encadrement : les ouvriers sont de purs exécutants. • Chaque ouvrier ne réalise qu’une tâche très courte, afin d’obtenir

o une approche plus gestionnaire la centrerait sur l'impératif de préservation d'un "capital nature" suffisant pour que sa croissance naturelle ne soit pas dépassée par les prélèvements humains prévisibles. o une approche néo-classique la centrerait sur l'impératif théorique de préservation du revenu réel par tête dans le cadre de la substituabilité généralisée des ressources aptes à préserver la satisfaction procurée par l'unité monétaire marginale. o une

approches économiques §4) Qu’est ce qu’une approche gestionnaire des organisations ? Partie 1 : Les différentes théories de l’organisation (école classique et contemporaine) (Page 13) Chapitre 1 : Les fondateurs (Page 13) I) Taylor et le taylorisme Page 13 §1) Les préconisations §2) Remarques II) Fayol Page 14 §1) Les principes §2) Les limites Conclusion (Page 16) Chapitre 2 : L’école des relations humaines (Page 16) I) Des critiques internes et externes

exemple qui reflète aussi bien la mondialisation : Apple. Ils vont se axé dur le design des produit, quant aux composants ils seront fabriquer au Japon et l’assemblage se fera en Chine. 4/ similitudes et différences entre le texte de Berger et le modèle néo-compagnie d’Hatchuel ? Similitudes : les deux textes parlent du problème de gouvernance. Les entreprises ont tendance à favoriser le contrôle des actionnaires. Différences : berger nous parle de compétition ou encore de lien contractuel, de réseaux

travail ou ce capital. - Productivité du travail : Valeur de production/Quantité de travail utilisé. > La productivité du travail joue un rôle essentiel dans l’emploi. Rapport Meadows (1972) : Remis à l’ONU, il préconise la « croissance 0 » en vue de l’état des ressources naturelles mondiales. En 2001, le rapport Brundtland reprend le rapport Meadows en instituant le terme de développement durable. La productivité : - Augmentation des profits (EBE) : nouveaux investissement ou

d’analyse empirique opérationnelle pour étudier concrètement ce phénomène d’organisation. PARTIE 1: Des organisations entre contrat et connaissance Chapitre 1 : Un renouvellement des hypothèses de comportement Le comportement dans l’analyse néo est un comportement d’optimisation, Simon est connu pour avoir analysé en premier les sciences cognitives, il va discuter de ces hypothèses, rationalité optimisatrice avec l’information parfaite, il va discuter également des connaissances et routines

travail : on va pouvoir consommer des biens et des services grâce aux revenus. Il faut que l’utilité du travail soit supérieure à la désutilité du travail (calcul coût avantage). Il faut donc limiter la désutilité du travail. Taux d’imposition (0)=taux d’imposition (100). Augmentation du taux d’imposition = recettes fiscales (à un rythme de moins en moins élevé). Désincitation au travail. Baisse des recettes fiscales lorsque le taux d’imposition = t Quand position augmente, recettes baissent

Agriculture, sylviculture et pêche Industrie + construction dont industries alimentaires, boissons, tabac Commerce, transports, hébergement et restauration 6 543 0 c c 224 479 234 258 48 718 c 4 106 c 4 845 288 4 898 296 c 0 c 0 534 253 561 359 61 707 4 518 28 183 675 5 237 380 5 332 463 dont commerce 55 575 4 410 818 0 3 000 615 3 061 418 Activités financières et d'assurance 166 260 81 337 c c 579 632 830 813 18 908 788 108 309 5 956 3 115 765 3 249 726 c c