Pouvoir Hiérarchique Et Pouvoir Discrétionnaire

République tunisienne Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique Université du 7 novembre à Carthage Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis LES POUVOIRS DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE D’UNE REVISION CONSTITUTIONNELLE A UNE AUTRE Mémoire pour l’obtention du mastère en sciences juridiques fondamentales Préparé et soutenu publiquement par Khaled DABBABI Sous la direction de Pr. Rafaâ BEN ACHOUR Jury Président : Membre Membre : : M. Brahim

des solutions, faire des choix, mesurer les résultats C) DISPOSITIFS  (méthodes, outils, machines,…..) DEFINITIONS : ensembles hétérogènes (discours, règlement,…) ayant des objectifs stratégiques, supposant des rapports de force avec jeu de pouvoir, les dispositifs s’appuient sur le savoir →stratégies de rapports de force utilisant le savoir C.L : bonnes critiques = sur quelles évidences, familiarités, pensées reposent les pratiques acceptées → Réflexion du manager sur son environnement

distribution des dividendes et la structure du capital Dans les pays Anglo-Saxon tels que les Etats Unis ou la Grande-Bretagne, l’actionnariat est souvent dispersé i.e. chaque actionnaire détient une partie du capital et chacun d’entre eux a des pouvoirs d’influence ou de contrôle de la gestion de l’entreprise limités contrairement à la France (actionnariat concentré). Avec une structure de propriété concentrée, les grands actionnaires ont des incitations suffisantes et la capacité de contrôler la

vérité ». Concrètement, sa mission est donc de mener une enquête, qui pourra déboucher sur un jugement. En ce cas, le jugement sera pris sur la base de l'enquête menée par le juge. Afin de mener à bien sa mission, le juge d'instruction dispose de pouvoirs d'enquête très élargis. Depuis la loi n° 2000-516 du 15 juin 2000 le juge d'instruction peut demander au juge des libertés et de la détention (JLD) de placer un suspect en détention provisoire. C'est le président du Tribunal de Grande Instance qui

l’administration ?quelle est le rôle du parlement ? Le parlement légifère et édicte la loi. Le gouvernement il exécute. Le gouvernement a le pouvoir de prendre des décisions administratifs et non pas législatif .le conseil de gouvernement a pour mission de prendre des mesures administratif qui règlement l’activité administratif et a le pouvoir règlementaire (nizâm)...le pouvoir règlementaire c comme la loi mais c une décisions ou acte pris par le conseil des ministre mais comme la loi a une portée général il

critères par exemple (direction, service, intitulé du poste, localisation géographique, dépend de, noms, travaille avec, finalité du poste, activités primaires et secondaire, liaisons principales...) Mode de recrutement : L'entreprise peut pouvoir un poste en puisant dans ses propres ressources ou non Choix politique | Avantages | Inconvénients | Mobilité interne | - connait l'entreprise, la culture, les exigences -immédiatement opérationnel - motivant pour les autres

d’administration A. L’approche matérielle L’administration est considérée comme une activité, comme une gestion. Définition : c’est une activité d’intérêt général qui a pour fonction de gérer les besoins de la collectivité. Aspect traditionnel : exercice du pouvoir réglementaire par l’exécution juridique des lois comme les arrêtés municipaux. Aspect récent : l’administration est prestataire de services, fournit certains bines comme la création de cantines, de crèches. Dans les 2 cas, ce qui légitime l’administration

séparation des pouvoirs. Nous étudierons le pouvoir exécutif, dans lequel nous étudierons les organes administratifs qui gravitent autour du pouvoir administratif, c'est-à-dire qui mettent en œuvre le pouvoir administratif. Le pouvoir administratif, lui, est la traduction en la forme administrative du pouvoir politique, exercé par l’exécutif. Pour mettre en œuvre sa politique, l’exécutif dispose de l’administration, et de la force armée. C’est l’administration placée sous l’autorité du pouvoir exécutif

entre ses mains tous les pouvoirs, manqua aux engagements qu’il avait pris avec ses sujets, ou si l’on veut, avec ses esclaves ». Ce philosophe inscrit dans le courant de pensée des Lumières prêche la séparation des pouvoirs principaux, au nombre de trois : le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire, au nom de la liberté des citoyens. Le corps ou la personne possédant ces trois pouvoirs est susceptible d’en abuser, et de sombrer dans l’abus de pouvoir ou dans le despotisme.

Sous l’Ancien Régime, les juridictions (= organes chargés de juger : tribunaux, Cours d’Appel, Conseil d’Etat, Cour de Cassation…) s’opposaient au pouvoir administratif du Roi en rendant des arrêts de règlement et au droit d’enregistrement en vertu desquels un acte ne pouvait être appliqué s’il n’était pas enregistré. Les Rois ont lutté contre ce pouvoir en s’efforçant d’interdire au Parlement de s’occuper de l’administration. A la Révolution, on va continuer d’interdire aux juridictions de l’ordre