Poésie Esthétique

s’est limité à la reproduction, fidèle ou décalée, des objets de la société de consommation, les graffiteurs laissent s’exprimer leur propre sensibilité, colorant leur œuvre de colère ou d’irrévérence. Quelles tendances, revendications, ou message esthétique et artistique découlent du graffiti ? Nous analyserons dans un premier temps ce phénomène en montrant que le graffiti est un art d’idées et de contestations. Ensuite, nous étudierons le graffiti urbain de nos jours. Pour terminer, nous nous intéresserons

Critique de la faculté de juger, la beauté est essentielle à l'expérience esthétique ou aux caractères esthétiques d'un objet, mais non à proprement parler à l'oeuvre d'art ; Kant estime même que la beauté serait à la rigueur seulement prédicable de la nature, en tant notamment que quand nous jugeons belle la nature, ce jugement est spontané et n'est médié par aucun intérêt, alors que vis-à-vis des oeuvres d'art, notre jugement esthétique estimant leur beauté est toujours douteux, médié par la culture et

sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du XIXe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand, Stendhal, et

l’œuvre qui finit bien, comme il y a des topoï de l’œuvre qui finit mal, notamment pour l’aventure amoureuse (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult). L’œuvre finit « bien » d’un point de vue moral ? D’un point de vue esthétique (une « fin en beauté » comme la transfiguration notamment esthétique de Manon par sa mort) ? Il y a certes des fins positives au niveau de l’intrigue, des personnages. Mais une œuvre qui finit bien n’est-elle pas celle qui finit « bien » pour le lecteur ? De laquelle il retire quelque

est ici question du second tableau, décrit dans une profusion de de détails. La peinture peut tenir une place secondaire dans un roman ou y jouer un rôle capital lorsqu’elle permet à l’écrivain de traduire une vision du monde et de formuler une esthétique. Quelle place accordée à cette digression ? Est-elle nécessaire à la trame narrative ? Tout d’abord, il s’agira de repérer la manière dont s’organise cette ekphrasis  dans le texte ; puis de voir en quoi le tableau semble s’animer sous le regard

masures les persiennes, abri des secrètes luxures ». Je ne savais vraiment qu'elle était mon objectif, sans doute de découvrir votre art, beau poète, celui de la poésie. Le fait de me reconnaître à travers vos écris, de ressentir énormément de sentiments divers et variés m'aura permis d'avoir une nouvelle approche, une nouvelle estime pour la poésie. Vous vous demandez sûrement en ce moment précis qui est derrière cette plume. Disons seulement que je suis un citoyen de la « fourmillante cité, cité pleine

tels sujets. Le refus du beau sujet d'art par Flaubert conduit donc ŕ opposer deux conceptions de la création artistique dont il convient dčs lors de cerner la nature et d'apprécier la valeur. Pour ce faire, il importe d'abord d'examiner cette esthétique du beau sujet d'art que récuse Flaubert et de voir ce qui peut motiver sa condamnation Nous pourrons alors analyser la conception qu'il lui oppose et discerner ce qu'elle implique. Il ne restera plus qu'ŕ se demander si elle condamne effectivement

l’inspireront dans sa poésie. De retour à Paris, il se rapproche de l'actrice Jeanne Duval, une femme métisse qui devient sa muse et qui lui rappelle son voyage dans les îles. Mais en 1844, sa famille, agacée de la vie qu’il mène, lui impose une tutelle qui le prive de l'héritage provenant de son père. Pour vivre, Baudelaire commence à travailler et devient journaliste, critique d'art et critique littéraire. Dans cette épreuve, il se forge peu à peu une conscience esthétique, par la fréquentation

 PHILOSOPHIE- ESTHETIQUE Le Paradigme Classique (- 400)  Paradigme = Matrice disciplinaire, ligne de conduite. Architecture répond à des règles, des ordres harmonieux Protagoras : « L’homme est la mesure de toute chose ». L’homme donne son opinion, Doxa, et vu que les opinions sont changeantes et instables, l’homme, qui est la mesure de tout, est donc versatile.  Il n’y a pas de vraie mesure, de critères de vérité. Cet humanisme est donc un relativisme radical. Cette pensée

transparentes ("L'époque actuelle est plutôt celle du numéro matricule" écrit Robbe-Grillet). III - LE ROMAN N'ADMET LA MÉDIOCRITÉ QU'A CERTAINES CONDITIONS : • si le personnage peut être un médiocre, il convient de faire la part de l'époque : cette esthétique n'est que celle du XX° siècle et certains théoriciens du nouveau roman l'ont abandonnée (romans de Le Clézio). • il ne faut pas ignorer le goût légitime du public pour des uvres où la création artistique lui évite de rencontrer des voisins de