Premier Ministre Collaborateur

Le pouvoir exécutif se compose  du chef de l’état élu au suffrage universel direct il exerce un mandat à durée limitée de cinq ans et du gouvernement. *le président de la république à de nombreux pouvoirs : - Il nomme le Premier ministre. - Il préside le Conseil des ministres. - Il peut consulter le pays par référendum (les électeurs sont appelés à voter par oui ou par non sur une question posée par le Président de la République, sur proposition du Gouvernement ou des deux assemblées parlementaires)

partage des pouvoirs administratifs entre le président de la République et le Premier ministre qui sont, avec les ministres, les autorités de l’administration d’État. Le rôle essentiel revient au Premier ministre en tant que chef du Gouvernement : « Il (le Gouvernement) dispose de l’administration » (art. 20). L’administration lui est donc subordonnée et tenue d’exécuter les décisions gouvernementales. Le Premier ministre nomme aux emplois civils et militaires et exerce le pouvoir réglementaire, sous

moyens d’actions réciproques entre les deux pouvoirs, alors c’est un régime dit « parlementaire », comme celui mis en place en France. Il convient donc de se demander quelles sont les particularités du régime parlementaire. Nous allons voir dans un premier temps la théorisation du régime parlementaire qui est un régime de séparation souple des pouvoirs en opposition à la séparation stricte des pouvoirs du régime présidentiel des Etats-Unis (I) et puis dans un second temps les différentes interprétations

Jamais depuis le XIXe siècle, un premier ministre n'avait perdu un vote sur une question de guerre ou de paix. Pour M. Cameron, il s'agit d'une "humiliation", le mot qui est revenu le plus souvent dans la presse britannique. Sa défaite s'explique en grande partie par le fantôme de la guerre en Irak, qui hante le parlement britannique. Mais elle renforce aussi l'impression que le premier ministre a perdu le contrôle de son propre parti. Les "whips", ces ministres chargés de faire respecter les consignes

Gérard Latortue dans la tourmente d’un accord qui consacre la mise sous tutelle d’Haïti L’accord signé le 22 février 2006 à l’ONU par le Premier ministre Gérard Latortue et le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU, Juan Gabriel Valdès, concerne le « contrôle, la restructuration et la réforme de la PNH », de même que « le rétablissement et le maintien de l’Etat de droit, de la sécurité publique et de l’ordre public en Haïti » et vient en complément des accords antérieurs sur le statut

et au premier ministre. D'ailleurs, ce n'est qu'exceptionnellement que les ministres et certaines autorités administratives indépendantes se verront octroyer le pouvoir réglementaire général. Cette répartition équitable est consacrée par l'arrêt du conseil d'État « Sicard » du 27 avril 1962. Dans cet arrêt, sont soumis au juge des décrets signés par le président de la république mais non délibéré en conseil des ministres, ici le juge va considérer qu'il s'agit de décret du premier ministre

parlementaire présente une séparation souple des pouvoirs. Dans ce régime coexiste un pouvoir exécutif bicéphale : en effet, le chef de l'Etat symbolise certes l'unité, mais c'est principalement le gouvernement et son Chef – Chancelier en Allemagne, Premier ministre en Grande Bretagne et Espagne, Président du Conseil en Italie – qui exercent le pouvoir. Le chef de l'Etat est ainsi politiquement irresponsable (contreseing ministériel), alors que le gouvernement est politiquement indépendant (le président

le problème que sous tend le sujet. En droit public il s'agit d'une question. Qu'il faudra formuler sous la forme interrogative ou pas, mais il s'agit toujours d'une question que sous entend le sujet posé. Parfois elle est sous entendue : Le Premier ministre dirige t il toujours le gouvernement ? Ici la problématique est coexiste avec le sujet. Existe t il un lien entre l'élection du PR au SUD et la présidentialisation de la Vème république ? Parfois il faut la trouver soi même : Election du Président

1964 Ce discours fut prononcé par le général de Gaulle à la conférence de presse du 31 janvier 1964. Ce discours a une valeur particulière car dans celui-ci il évoque la séparation des pouvoirs entre le Président de la République et son premier ministre. Tout en explicitant le principe de dualisme, établi par la Constitution. Après avoir été président du Gouvernement provisoire à la fin de la seconde Guerre, De Gaulle réapparaît lors de la crise d’Alger en 1958. Après avoir obtenu l’aval

fonction du Premier ministre Introduction La nature des relations entre les deux têtes de l’exécutif, le Chef de l’Etat et le Gouvernement, sous la Vème République montre celle du régime politique. Le régime parlementaire conçu par le Constituant de 1958 n’avait au départ qu’une vocation moniste, c’est-à-dire qu’il ne devait instituer qu’une seule relation de confiance : celle entre le Gouvernement et la chambre basse du Parlement. Ainsi, le Général De Gaulle avait indiqué que le « Premier ministre