Price Earning Ratio

DE LA COTE DE LA BOURSE DE CASABLANCA 1. Capitalisation de la bourse de Casablanca (2/4) : 2- Capitalisation Boursière / PIB : ● Augmentation soutenue du ratio « capitalisation boursière / PIB » de l’année 2000 à 2008, dénotant la place qu’occupe la Bourse des Valeurs de Casablanca dans l’économie nationale. ● Accroissement de ce ratio de 29% en 2000 à 77% en 2008, avec une cime de 95% en 2007. Capitalisation Boursière/PIB (en %) 100 90 80 70 60 50 40 30 20 10 0 95 77 72 48 +166%

La liquidité est un critère qui intéresse les créances à court terme. Indépendance financière, solvabilité, liquidité constituent des concepts clés de l’analyse des états de synthèse d’une entreprise, et s’apprécient avec des outils spécifiques : ratios et tableaux des flux. L’entreprise peut être solvable sans avoir une liquidité suffisante, la situation inverse peut se présenter lorsque l’entreprise possède en trésorerie des disponibilités mais est excessivement endettée à long terme. L’approche

fidélisation très simple avec un vol gratuit après 16 vols… Cette stratégie a permis a SWA de rester profitable depuis plus de 35 ans (fait rarissime dans l'industrie du transport aérien) et d'être l'entreprise cotée à Wall Street qui a, par exemple, eu le ratio le plus élevé de retour sur capitaux engagés aux USA entre 1972 et 1992 : 21.000 % 4 . L'avantage compétitif Parmi les nombreux facteurs qui expliquent le succès de SWA, l'un des plus importants est sans nul doute sa structure des coûts. Le tableau

d’un échantillon de taille significative conduit souvent à relâcher les exigences relatives à sa représentativité et à sa comparabilité. Enfin, les méthodes comparatives offrent un certain nombre de limites techniques : par exemple, le PER (price / earning ratio) ne permet pas d’évaluer les sociétés affichant une perte comptable. Dans l’approche comparative, on peut ranger les méthodes suivantes : Les multiples d’indicateurs d’activité : soit le volume de l’activité (par exemple la surface de vente

d’une entreprise de l’année n divisé par le nombre total d’actions. BPAn = RNn / nombre total d’action Price Earning Ratio (PER) : c’est la valeur de l’achat de 100% de l’entreprise comparé au bénéfice que ça va rapporter. Le PER peut être compris entre 3 et 20. Les PER d’un secteur sont souvent identiques. PERn = CB (capitalisation boursière) / RNn = cours de la bourse / BPAn Pay out ratio (taux de distribution des dividendes): Dividendes vercées/Bénéfices 1.5.2. Les indices boursier Les marchés

Canadian exchange rate 17 1) Time-series analysis 17 Conclusion of this analysis 19 2) The relationship between FX rate and the other Canadian economy indicators 19 Official forecasts 21 APPENDIX 22 Table 1: Canadian Consumer Price Index (CPI) 22 Table 2: Federal Debt Figure 22 Table 3: Canadian Unemployment Rate 23 Table 4 A: Canadian GDP (economic output) 23 Table 4 B: Canadian GDP (Top 25 GDP per capita) 24 Table 5: Canada’s balance of payment 25 Table 6:

ont atteins des niveaux trop élevés par rapport aux possibles bénéfices que les entreprises réaliseront dans le futur, donc les cours perdent pieds avec la réalité des entreprises, c’est l’existence d’une bulle. Ceci est mesuré par les PER (Price Earning ratio). Les cours boursiers sont trop élevés, on parle alors de bulle spéculative. Dans ce contexte, la banque centrale s’inquiète, elle va donc augmenter ses taux directeurs en permanence, car elle cherche à envoyer des signaux aux acteurs, consommateurs

d’investissement et/ou de placement. En effet, la hausse des cours depuis l’année 2002 a fait que les ratios de valorisation ont connu une croissance significative. En 2008, le marché traite 21,5 fois les bénéfices en 2008, ce qui reste en dessous du plus haut de 2007 (22,6x), mais, demeure relativement élevé par rapport au niveau de ceux de la région MENA qui traite aux environs de 14x. A noter toutefois que ce ratio est fortement impacté par certaines grandes valorisations notamment les immobilières (hors

actionnaires : les Caisses Régionales du Crédit Agricole. Cet actionnariat particulier pourrait pénaliser l’activité de GSOC, notamment à la suite de la nouvelle réglementation Bâle 2. En effet, la réforme des normes prudentielles concernant les ratios de solvabilité des banques conduirait à une augmentation du taux de couverture des risques pris par les banques. Cette réforme vise en outre de façon spécifique les engagements des banques dans les sociétés de capital-risque. L’actionnariat banquier

l’augmentation relative des taux peut s’expliquer par une forte croissance, les choix de placements boursiers sont plus étroitement associés aux perspectives à plus long terme de croissance que ne le sont les différentiels d’intérêt , à traves les PER (PRICE EARNING RATIOS OU MULTIPLES DE CAPITALISATION).Ainsi , l’engouement pour le marché boursier américain après l’éclatement de la bulle internet reflétait la réputation de grande souplesse et d’adaptabilité de son économie. Les facteurs à court terme ne sont