Probabilité Conditionnelle

Violence des mots : insulte (« pauvre folle ») ; mots comme « cracher » ; rythme emporté des anaphores (« à genoux… », « pour qui… ? »). • Une certaine veulerie : sensible dans son style ; questions rhétoriques (et non affirmations) ; utilise le conditionnel (irréel du passé, irréel du présent) qui modalise ; formulation indirecte, cauteleuse. III. Mathilde : une hallucinée révoltée, tournée vers l’avenir et l’action Mathilde est tout l’opposé : l’opposition des tempéraments se double d’une opposition

content. Le présent de l’indicatif devient l’imparfait Elle demande s’il est parti. Elle a demandé s’il était parti. Le passé composé devient le plus-que-parfait Il annonce que ce sera long. Il a annoncé que ce serait long. Le futur devient le conditionnel présent Elle dit qu’elle vient de comprendre. Elle a dit qu’elle venait de comprendre. Le passé récent devient l’imparfait Il pense qu’il va le faire. Il a pensé qu’il allait le faire. Le futur proche devient l’imparfait Elle assure qu’il

commencer à utiliser des termes renvoyant à des notions abstraites (les émotions, les sentiments, les devoirs, les droits) Grammaire : le verbe : conjuguer aux temps et modes déjà étudiés, ainsi qu’à l’indicatif futur antérieur, plus-que-parfait, conditionnel présent, au participe présent et passé ; les verbes non étudiés en appliquant les règles apprises. Prolongement dans d’autres disciplines : Sciences : les planètes à partir du texte « un martien » ( les mouvements de la terre et des planètes

l’auteur ? 7. En quoi consiste la première expérience ? 8. Quel en est le résultat ? 9. En quoi consiste la deuxième expérience ? 10. À quelle conclusion aboutit-il ? 11. Comment appelle-t-ce type de texte ? 12. Mettez la phrase suivante au conditionnel présent : « Les crotales sont donc sensibles aux rayonnements infrarouges ». 13. Réécrivez ces phrases en remplaçant les termes soulignés par l’une des expressions : Lorsque - supposons que - admettons que - c’est – donc - on déduit que. -

L'indicatif = mode de l'affirmation et du réel. Le subjonctif = mode du doute, du possible et parfois de l'ordre. L'impératif = mode de l'ordre. Dans certaines grammaires le conditionnel est encore considéré comme le mode de l'irréel; actuellement il est classé comme un temps de l'indicatif. 3 modes impersonnels: (exemple avec le verbe –chanter) L'infinitif – présent = chanter – Passé

(lecture en œuvre intégrale) Objectifs : * Etudier les moyens mis en œuvre par l’auteur pour réactualiser et désacraliser le mythe antique. * Analyser la spécificité du langage théâtral. * Maîtriser la conjugaison et les emplois du conditionnel. * Reconnaître et employer les subordonnées de condition, de cause et de conséquence. * Rédiger un dialogue de théâtre. * Faire comprendre le rôle de la mise en scène dans l’interprétation d’une pièce. * Jouer une scène. * SEANCE N 1:

l’auteur évoque la vie si la raison dominait, termes mélioratifs, humais « attentif, tranquillité, bonheur ». Ligne 17 expression de cette raison « satisfait à des biens que la nature » « les souverains ». Ligne 19 évocation des chefs, hypothèse au conditionnel présent le l’indicatif, ce n’est pas la réalité soumis à une condition la raison des souverains. Ce qui nous amène au blâme virulent, polémique de ces princes qui sont aveuglés par leur passion. On le voit à la ligne 20 on a un retour à la réalité

sur Même si, bien que = Aunque Preguntar et pedir : Preguntar pour poser une question. Pedir pour obtenir quelque chose = demander de + inf. Suivi du subjonctif présent si principale est au futur. Imparfait si principale est au passé ou conditionnel.

négatif à la phrase :                Ex : Je crains qu’il ne vienne. (= Je crains qu’il vienne.)                Si l’on désire mettre la complétive à la forme négative, on devra écrire : Ex : Je crains qu’il ne vienne pas.       II – Après un conditionnel présent.   Théoriquement, au subjonctif, l’imparfait ou le plus que parfait sont de rigueur :                 Ex : Il faudrait qu’il vînt demain.                            Il faudrait pour cela qu’il fût venu plutôt. Cependant, en dehors

l’indicatif et au conditionnel présent. Ici les élèves les plus en difficulté peuvent rencontrer des problèmes quant à la conjugaison des verbes. Donner des poèmes avec des verbes conjugués à l’imparfait de l’indicatif et au conditionnel présent est prématuré pour des élèves de CE2, surtout que d’après le manuel cette séquence se fait en début d’année scolaire. Il aurait fallu que l’enseignant donne les règles de l’imparfait de l’indicatif avant de travailler sur ce manuel, le conditionnel présent étant