Procédés Comiques Dans Le Malade Imaginaire

un beau texte" ? L'auteur est un maître des mots et n'hésite pas à jouer avec, particulièrement dans la comédie où les procédés comiques sont omniprésents. Alfred Jarry, par exemple, use du comique de langage dans sa pièce "Ubu Roi". De même, les oeuvres de Molière regorgent de facétie grâce au comique de caractère abondamment utilisé avec le personnage d'Argan du Malade Imaginaire ou encore avec Mr Jourdain, anti-héros du Bourgois Gentilhomme. Ensuite, le théâtre est un divertissement de par son

avancés technologique, la médecine est rendu tellement efficace qu'elle peut sauver plusieurs vies. malencontreusement, à l'époque de Molière ce n'était pas le cas, la médecine n'étais pas aussi évoluée. C'est pourquoi Molière dans son oeuvre, Le malade imaginaire, critique la médecine ou plus spécifiquement les médecins. On peut percevoir cette critique à travers les personnages. Dans cette analyse nous nous concentreront plus sur le personnage de Toinette, la servante, et de comment elle réussit a ridiculiser

des personnages ridicules et grotesques, et utilise les ressorts scéniques comiques de la commedia dell’arte pour contribuer au développement de comédies nouvelles dont le rire devient l’instrument privilégié d’une critique lucide de la société. Ainsi, c’est à la lumière de deux œuvres issues de la seconde moitié du dix-septième siècle, âge d’or du classicisme que nous pourrons aborder l’étude du comique et de ses procédés en classe de cinquième. Tout d’abord, Georges Dandin, qui est joué pour la

en Espagnols, chez Lady HurfStructure du passage : Mouvementsl. 1 à 29 : Lady Hurf prend peu à peu les choses en mainl. 30 à 41 : Lord Edgard « victime » de la mise en scène de Lady HurfProjet de lecture : en quoi ce passage relève du procédé du théâtre dans le théâtre [ou en quoi il montre la métamorphose de Lady Hurf en véritable metteur en scène]. Explication linéaire : quelques idées essentiellesDidascalies souvent ironiques pour montrer la maladresse des voleurs et parodier

effet, les aspects comiques dune pièce de théâtre ne servent-ils qu'à faire rire et à amuser le public? Il est vrai que le registre comique au théâtre est propice à la détente, à l'amusement. Néanmoins, est-ce sa seule fonction? Ne doit-on pas, grâce à une seconde lecture plus attentive chercher un sens plus profond à cette comédie. A quoi servirait un registre comique si ce n'est pour faire

indifférent, et ne se soucie que de son cher Tartuffe. Forme Le comique repose ici sur deux procédés radicalement différents : la monomanie hébétée d’Orgon, qui ne pense qu’à son saint homme, et l’ironie caustique de Dorine, qui reflète et exprime celle de Molière. Annonce du plan Dans un premier temps, nous verrons comment la scène évolue selon un crescendo, commençant d’une manière apparemment neutre et finissant par une apothéose comique. Puis nous étudierons comment Molière, par l'intermédiaire

• Les procédés comiques les plus fréquemment utilisés sont : le comique de situation qui repose le plus souvent sur un quiproquo (deux personnages comprennent les mots dans un sens différent) ; le comique de caractère qui dénonce les défauts des hommes en tournant un personnage en ridicule ; le comique de mots (phrase qui ne veulent rien dire, répétitions, réparties spirituelles et amusantes) ; le comique de gestes (poursuites, coups de bâtons, etc.). Exemple « (Argan se croit malade. Sa servante

Mariane :Elle est la supposée épouse d’Harpagon et va se marier avec lui lorsqu’elle découvre que son amant Cléante est le fils de son futur époux , ce qui va l’inciter à essayer d’annuler son mariage. Elle vie seul avec sa mère malade et vie dans un milieu modeste. Mariane découvre par la suite qu’elle est la sœur de Valère et que son père n’est autre qu’Anselme. Les personnages secondaires  :►

s’étirer (« étalant ses immenses trainées v9, vaste prison v10, tendre v12 ») = néant, aspire poète2.· rupture avec le début du poème : adv « tout à coup » v13· exacerbés, beaucoup de sons : bruit dans sa tête (« cloches v13, hurlement v14, geindre v16)· procédés rythmiques et harmoniques  : assonances « i » (=cri) et « an » (=plainte) « k,t,p » (=consonnes exclusives, coups), chiasme (« esprits errants et sans patrie » v15)· « cloches » v13 = cri du poète (personnification « sautent avec furie » v13), allusion

irrégulière. Seconde moitié du XVIème siècle jusqu’en 1661. Considéré comme un esthétique, car absence de manifeste littéraire. Instabilité, mouvement, courbure, métamorphose, richesse, couleurs vives, thème de la mort. Nouveaux procédés stylistiques : mise en abyme, comparaisons et métaphores puissantes… Mouvement littéraire, mais aussi artistique : peinture (Poussin, Le Caravage, Rubens), architecture/sculpture (Le Bernin), musique (Bach, Haendel). Plusieurs genres dérivés :