Procédés Comiques Dans Le Malade Imaginaire

Juan, écrit par Molière Avant de commencer cette analyse, une petite biographie de Molière. Ce dernier, dont le vrai nom est Jean-Baptiste Poquelin, est né en 1622 à Paris et mort le 17 février 1673, après la quatrième représentation du Malade imaginaire. C’est en 1642 que Molière décide de devenir comédien. Une année plus tard, lorsqu’il a vingt et un ans, il fonde l'Illustre-Théâtre avec Madeleine Béjart. Lui-même prend bientôt la tête de la troupe et adopte le pseudonyme de Molière en 1644

acteur »  pour  le cinéma, et le mot « comédien » pour le théâtre. • APARTE : paroles qu’un acteur prononce « à part », comme s’il se faisait cette remarque à lui-même ; le spectateur seul est censé entendre.  L’aparté est un procédé qui permet de communiquer au public  les remarques personnelles  d’un  personnage,  alors  que  les  autres  ne  sont  pas  supposés l’entendre. Cherchez toujours les raisons et effets des apartés. • BIENSEANCE :  dans  le  théâtre 

Les autres personnages On peut les regrouper en un groupe spécifique, puisque tous apparaissent comme des moutons de Panurge, même l’ancien médecin à la fin de la pièce. Ils se font tous avoir par Knock (d’où le « triomphe, d’ailleurs), par des procédés pourtant basiques. On peut s’inquiéter de la crédulité de toute une population, même de Parpalaid, et déjà s’interroger sur l’impact d’un discours soi-disant expert sur des hommes qui en sont dépendants, même à l’heure actuelle. Tous incarnent

comédie, nous pourrions citer les excès de caractères en tout genre, de c’est un des moyens que les dramaturges utilisent afin de faire rire le spectateur, en effet, pour que la pièce nous atteigne et que le comique ait lieu, il faut forcer les traits. Nous pouvons citer Le Malade Imaginaire, de Molière dans lequel l’hypocondriaque Argan s’oppose au mariage de sa fille car il souhaite un gendre médecin, peu importe le bonheur de cette dernière. Dans cette œuvre, la médecine est l’obsession d’Argan

idées ». La comédie est un genre littéraire fonctionnant sur le registre de l’humour, malgré cela, la comédie n’est pas systémiquement comique, elle peut faire rêver, pleurer, émerveiller mais elle reste un moyen au citoyens de les amuser, et « de remplir les creux », il s’agit alors d’un divertissement. Ce dernier est représenté par des procédés tel que le comique de geste qui représente l’ensemble des actions faite par les personnage destiné à faire rire le public, tel que les gifles, les chutes

spectateurs applaudissent naturellement à la fin de ce passage, reconnaissant alors la prouesse du comédien à faire vivre sur scène les différentes femmes de sa vie, tout en jouant son propre personnage.Nous nous demanderons ainsi comment la puissance comique de cette scène permet de révéler le personnage d'Yvan, qui semble alors se décharger de ses angoisses et tensions.(Délimiter les différents mouvements d'une telle avalanche de voix discordantes en un discours fleuve sans liens logiques peut s'avérer

genres complètement opposés, lequel parvient le mieux à convaincre ? Pour répondre à cette problématique nous allons parler tout d’abord de la comédie avec les buts et les moyens de la comédie (chercher à instruire et à plaire, les différents procédés comiques, le miroir de la société). Puis dans une seconde partie nous parlerons de la tragédie avec ses buts et ses moyens pour convaincre le lecteur (chercher à toucher, inspirer la terreur et/ou la pitié). Et pour finir nous parlerons des deux genres

il arrive fréquemment qu'il ne soit pas dispensé directement à oral, de l’émetteur au récepteur de la leçon. En effet dans beaucoup d’œuvres littéraires il est question d'une leçon que l'auteur veut faire passer au lecteur. Il utilisera donc des procédés pour transmettre le plus efficacement possible cette leçon. Il est donc intéressant de se demander si une leçon passe mieux par le rire. Dans un premier temps il s'agira d'analyser la façon dont le rire fait passer une leçon et voir si cette leçon

peu à la mémoire des spectateurs. Seuls restent de ces songes auxquels ils ont participé les traits et le souvenir d’un type, d’un personnage ou d’un héros.» (Louis Jouvet, Témoignages sur le théâtre, « Le royaume des "imaginaires" », Flammarion, 1952, réédition dans la collection « Champs arts », 2009, p. 225). En vous référant à des exemples précis, vous montrerez dans quelle mesure ce jugement permet de caractériser le théâtre. 2. « Le théâtre

qui utilisent des procédés comiques excentriques et caricaturaux [grimaces-poursuites-bastonnades-cabrioles etc.] L’œuvre de Molière. Le médecin malgré lui est une pièce marquée par la farce. Peu à peu, les comédies de Molière deviennent des comédies de caractère : qui dénoncent en provoquant le rire les défauts=travers=vices =faiblesses des humains. Dom Juan- l’Avare- le Tartuffe- Le Bourgeois Gentilhomme- Les Fourberies de Scapin- Les Femmes savantes - le Malade imaginaire- l’École des femmes