Production Somaca

------------------------------------------------- LA FIDÉLISATION COMME ARME CONTRE LA CRISE ? 01/02/2012 | Tribune | Management des Ressources Humaines Récession économique oblige, les préoccupations de l’entreprise sont davantage orientées sur le court terme. Dans ce contexte, les ressources humaines constituent souvent une variable d’ajustement importante : limitation stricte des embauches, réduction des budgets formation, accroissement des départs… Pourtant, c’est bien dans ces périodes

1 – Ca pose un problème : Le paradoxe de Léontief Résultats contraires à ce que prédit la théorie. Il y a + de W dans les produits américaines exportés que dans les produits américains importés. On apporte alors des réponses à ce paradoxe pour justifier que les EU aient 1 AC dans les biens intensifs en W. On peut analyser le W de manière homogène (ménage / chercheurs : incomparable) Ce qui a été remis en cause ici, c’est le travail.Il n’est pas homogène On distingue dans le travail différents

Le Maroc : La consolidation d’une démocratie réelle Par le Pr. Abdelhak Azzouzi, Président du CMIESI Dans des régimes comme celui du Maroc ni les démocrates excessifs, ni les aventuriers et les idéalistes réfractaires à tout compromis, ne pourront mener à la démocratie. Seuls les impurs bienfaits de la connivence, comme ceux qui se déroulèrent en Espagne et au Portugal pourront accoucher une démocratisation à l’amiable. Les grands théoriciens des democratization studies, Philippe Schmitter et

traditionnels de contrôle de la main d’oeuvre n’ont pas disparu tandis que se développent d’autres formes de contrôle plus subtiles (pression du groupe de travail, des clients). [* Question 3 et 4, Document 2] B / Une production plus flexible quantitativement et qualitativement 1 / La production change de logique : au lieu de chercher à produire de grands volumes de produits standardisés en cherchant à jouer sur les économies d’échelle comme dans le modèle fordiste caractéristique de la période des « 30

entreprises, ces dernières ne vont pas réinvestir. Un investissement productif peut être défavorable à cause des taux d’intérêts des crédits plus élevés que les taux de profits. D’autres facteurs expliquent cela : demande du marché faible, coût de production trop élevé, débouchés insuffisantes. Dans ce cas, les entreprises utilisent leurs profits à d’autres fins que l’investissement : remboursement des prêts contractés auprès des banques, hausse des salaires des employés, versement de dividendes au

Marketing Les idées reçues : * Négatives * Mais il peut aussi rassuré le client , qualité ,bénéfice * Ambivalence du consommateur entre le marketing et pub. Naissance du marketing : Avant 1945 : approche traditionnelle Le marketing et assez récent et suit le mouvement de l’économie. 1945-1965 : La supériorité des fournisseurs La concurrence est désormais mondiale, il n’y a plus de monopole. Après la guerre la demande est supérieure à l’offre. Ils produisent sans chercher à créer

Le marché des droits a polluer Question1 L'émissions de gaz à effet de serre est productrice d'externalité, mais de manière négative, en effet ces gaz ont une influence sur d'autres acteurs que eux qui émettent, alors que celui ci n'est pas pris en compte par le marché, en effet les permis s'achetant ou s'échangeant, cela permet à certaines entreprises de ne pas tenir compte du protocole de Kyoto, ou de faire pression sur l' état pour produire plus de pollution (sinon délocalisation). Question2

souhaitable que la croissance,c'est-à-dire de l'augmentation durable et auto-entretenue de la production sur longue période (définition) , reprenne. Pour les économistes libéraux, l'investissement est un élément essentiel de la croissance économique. Le chancellier allemand Helmut Schmidt, indiquait cette importance dans sa célèbre phrase : "l'investissement d'aujourd'hui fait la production de demain, la production de demain, l'emploi d'après-demain". Peut-on vérifier ce raisonnement ? (Rappel du sujet)

représente une très grande consommation d’énergie et donc de CO2. Ainsi, contre toute attente, l’énergie solaire s’avère être l’énergie renouvelable qui émet le plus de Dioxyde de Carbone avec une estimation de 60 grammes par kWh. Enfin, avec la production de mauvais panneau solaire, car ces derniers polluent à cause de leurs batteries et des métaux lourds qu’ils ou elles contiennent comme du plomb, du zinc ou encore du cadmium. L’impact écologique en terme de pollution de ces métaux est certes minime

des richesses préalablement produites, L’épargne n’est autre qu un surplus, c’est-à-dire un excès de la production par rapport aux besoins immédiats. Cette épargne est le fruit d’un “surtravail” et représente une surproduction, pour un individu comme pour l’ensemble de la collectivité. Cette épargne constitue une sorte de “fuite” pour le système productif qui ne peut écouler toute sa production. Cette épargne doit être réinjectée dans le l’économe sous forme de demande pour assurer l’équilibre entre