Productivité marginale

Solow qualifie de « naturel » (non influencé par l'économie), le modèle déduit trois prédictions : 1. Augmenter la quantité de capital (c’est-à-dire investir) augmente la croissance : avec un capital plus important, la main d'œuvre augmente sa productivité (dite apparente). 2. Les pays pauvres auront un taux de croissance plus élevé que les pays riches. Ils ont en effet accumulé moins de capital, et connaissent donc des rendements plus faiblement décroissants, c’est-à-dire que toute augmentation

* vices privés profitent à la société dans son ensemble * Recherche de l'intérêt personnel se voit à travers la division du travail (individualisme) → volonté de spécialisation → production de bien désirables pour autrui → accroissement productivité → accroisse richesse OPTIMUM et satisfaction collective. * Libéralisme nuancé: Intervention justifiée: état gendarme / Fonctions régaliennes + domaine éducatif et biens collectifs/publiques. État peut être protectionniste quand salariés et

constitue un frein à l'embauche. En effet, selon eux, l'employeur n'embauchera un salarié supplémentaire que si celui-ci lui rapporte plus qu'il ne coûte ou, autrement dit, il n'embauchera que si la productivité marginale (production obtenue par le dernier travailleur embauché) excède le coût marginal (coût du dernier travailleur embauché). Plus le coût du travail est élevé, moins les employeurs seront incités à embaucher. De plus, le coût du travail est un élément important de la compétitivité des

qui eux aussi consommeront une part de ces nouvelles ressources, et ainsi de suite) mise en évidence par Kahn en 1931 : l’investissement engendre l’augmentation de la demande totale => augmentation de la production qui dépend de la propension marginale à consommer. 2) Effet de capacité / ex-post : permet d’augmenter la quantité totale de capital i.e. la capacité productive. L’effet de capacité d’investissement dépend du coefficient technique (Y/K) qui indique la capacité productive d’une unité

négligeable par rapport à l’ensemble de l’économie, mais néanmoins disposer d’un certain pouvoir de monopole sur son marché. 1. On suppose que toutes les firmes ont le même coût marginal de production constant et égal à θ. Écrire le profit de la firme j en fonction du niveau d’output qu’elle produit yj , du prix de vente pj et du coût marginal θ. 2. Contrairement à la situation de concurrence parfaite, la firme n’est pas ici price taker sur le marché de l’output, autrement dit, elle ne choisit pas uniquement le

vocabulaire approprié. (1,5 point) 5 – Illustrez la notion de « complémentarité » des facteurs. (1,5 point) 6 – Illustrez la notion de « substituabilité » des facteurs. (1 point) B – Le choix du volume de production 1 – Définissez « coût marginal ». (1 point) 2 – Comment se calcule un « coût moyen » ? (1 point) 3 – Comment se calcule un « résultat moyen » ? (1 point) 4 – Quel niveau de production (quantités produites) correspond (3 point): a) Au « point mort » (celui pour lequel l’entreprise

supplémentaire de production ( le coût marginal) avec ce qu’elle gagne ( la productivité marginale qui est , en cpp , le prix) . Tant que le prix est supérieur au coût marginal , l’entreprise a intérêt à produire car son profit augmente . Or, la loi des rendements décroissants postule que, plus la production augmente , plus la productivité est faible . Car les entreprises choisissent , au départ les facteurs de production les plus efficaces . La productivité marginale diminue donc , c’est-à-dire que la

que chez les travailleurs qualifiés. L’analyse économique a intégré cette distinction en distinguant au moins deux grands types de marché du travail : le marché primaire et le marché secondaire. Paragraphe 2. La relation croissance, emploi et productivité Il existe une corrélation forte entre le taux de croissance de la production et l’évolution de l'emploi. Plus le taux de croissance est élevé, plus le taux de création d’emploi augmente. Les liens entre la croissance et l’emploi peuvent être

les équipements productifs achetés. Il va en résulter une augmentation de la consommation (dC) de la part de ces agents économiques. De plus, la variation de la consommation des ménages (dC) est liée à la variation du revenu par la propension marginale à consommer (= rapport entre la variation de la consommation et la variation du revenu). Ainsi, dC = cdY ou comme dY = dI, dC = cdI. Ces dépenses de consommation vont alors procurer des revenus supplémentaires à ceux auprès de qui elles ont été

économiste, s’intéresse à l’origine de la richesse des nations. Pour lui, l’amélioration de la productivité du travail est l’un des facteurs de cette richesse. Cette productivité croissance est elle-même le fruit de la division du travail. Smith défini la division du travail comme la répartition des tâches dans le processus de production. Cette répartition à des effets bénéfiques sur la productivité des ouvriers qui se spécialisent dans leurs tâches et gagnent donc en savoir-faire et en habilité