Productivité primaire

croître, du fait entre autres de la réforme des retraites de 2003 pour les fonctionnaires et de l'allongement de la durée de vie). . congés payés. . baisse de la durée hebdomadaire de travail. Causes à la fois économiques (notamment les gains de productivité sur le long terme mais aussi effets des situations de récession, voire de crise), sociologiques (volonté de vivre en dehors du travail, besoin de repos et congés notamment pour partir en vacances), juridiques (mises en place de tout un arsenal

combine du capital et du travail : le dosage retenu est la combinaison productive qui dépend à la fois de l’état de la technique, du coût relatif du capital et du travail et l’efficacité productive de la combinaison retenue, souvent mesurée par la productivité. Ainsi, si le coût du travail est par exemple relativement élevé, on pourra substituer du capital au travail (remplacer le travail de l’homme par celui de la machine) ou délocaliser une partie de l’activité dans un pays où le coût de la main-d’oeuvre

qui ? * 2 types de besoins : * Economiques : réclament activité de production * Non économiques : qui ne s’achètent pas : somatiques ou physiologiques (besoins de respirer..), moraux, spirituels, affectifs *3 Besoins économiques : * Primaires (vitaux), physiologique * Secondaires (socioculturels), sociologique * Tertiaires (de luxe), psychologique (Besoins économiques en fonction de l’accroissement du revenu) *2 types de productions économiques : * Biens (matériel économique

de la scolarité, l’essor du travaille féminin, etc.) Application doc 1 p.31 : Les tendances de l’évolution de la structure de la population active sont : - diminution du nombre d’actif des secteurs primaire (agriculture) et secondaire (industrielle) Causes : augmentation de la productivité, concurrence internationale, absence de déboucher, amélioration des techniques de productions, innovation technologique, délégation de responsabilité, etc. - augmentation du nombre d’actif du secteur tertiaire

Economie : Besoins primaires : Correspondent aux besoins fondamentaux Besoin secondaire : Ensemble hétérogène correspondant a des besoins de civilisation Besoin : C’est un manque un sentiment de privation accompagné du désir ou de la nécessité de le faire disparaitre Besoin économique : Besoin dont la satisfaction nécessite une transformation humaine. Il n’est pas satisfait par l’environnement naturel Bien libre : Disponible gratuitement dans la nature en quantité illimités Bien économique :

ajoute les impôts - les subventions sur les produits (PIB = ΣVA + Impôts (TVA) - subventions sur les produits). La VA ajoutée correspond à la richesse effectivement créé par les agents économiques et elle fait l'objet d'une répartition primaire entre ces agents dans la mesure où ils ont participé directement ou indirectement à la production. On peut aussi calculé le PIB à partir de l'équilibre emplois/ressources tel que PIB+M = C+I+G+X. A l'instant t ➦ PIBt

1. LE PROBLEME ECONOMIQUE Les besoins des individus sont illimités. Ils ne sont pas tous de même nature. On distingue les besoins primaires et les besoins sociaux, des besoins solvables ou non, des besoins individuels ou collectifs. Les biens et ressources économiques sont au contraire limités.  La conséquence de cette double situation est la rareté relative des biens, ce qui nécessite de hiérarchiser les besoins et de faire des choix. L’activité économique de consommation conduit à choisir

(Ex:10e verre d'eau) L’échange marchand : Échange s’effectuant par le biais d’une vente sur un marché. Spécialisation : Elle permet de produire plus, plus vite, et mieux. La spécialisation du travail, et la division du travail améliore ainsi la productivité du travail. Avantage absolu : Selon A.Smith, les pays doivent se spécialiser dans les productions dans lesquels ils sont les meilleurs afin de pouvoir participer à l’échange internationale Avantage comparatif (ou relatif): Selon D.Ricardo, les

de productivité dans le secteur agricole, et des transferts de population active vers l’industrie et le secteur tertiaire se sont opérés. La fin des années 1970 et le début des années 1980 ne peuvent donc pas constituer une référence pour le partage de la valeur ajoutée. La part élevée des salaires coïncide avec des déséquilibres forts : taux d’intérêt réels négatifs, inflation élevée, prix relatifs perturbés par les chocs pétroliers, gains salariaux réels supérieurs aux gains de productivité du

également l'objet d'une distribution des ressources. Il s'agit de mettre en évidence tous les agents ayant contribué à la création de richesse et qui bénéficie d'une part de cette richesse donc d'une part de R. La répartition primaire des revenus. Auto-financement : part des bénéfices non distribués. Il s'agit d'une répartition contractuelle puisqu'elle se définie à travers des contrats entre les différents contributeurs (ex : Contrat de W, de prêts etc.). On dit qu'il s'agit