Projection Henri Michaux

de support aux immenses récits d’aventures sans fin) pour un personnage qui aurait dû être, dans sa singularité triomphale, le contraire de n’importe qui. La microfiction hésite entre un régime de potentialité maximale, par l’éclat du bref, et la projection (écrasante et écrasée) d’un récit qui se trouve d’avance réduit. Elle tire peut-être de cette hésitation sa force paradoxale. Une réalité toujours conditionnelle se donne à entrevoir dans la multiplication des identités de passage : je suis X puis

nécessaires à la défense) ; Chenonceaux : le château, entouré d'un vaste parc traversé par de grandes allées, appartient alors à Thomas Bohier. Il y réalise les jardins en les divisant en carreaux. Le domaine revient ensuite à François ler, puis à Henri II (1519-1559), roi de 1547 à 1559 qui l'offre à sa maîtresse Diane de Poitiers (1499-1566). Il est enfin repris par Catherine de Médicis (1519-1589), femme d'Henri II. Les jardins subissent à chaque fois quelques modifications ; Villandry : c'est

corporelles banales) – cénesthopathie. • Jules Cotard (fin XIX – début XX) : hyperesthésie et dysesthésie = phénomènes déterminants de l’hypocondrie Signes cliniques Le courant psychiatrique et le courant psychanalytique s’affrontent un temps. Henri Maurel (1975) décrit l’H comme un délire triste portant sur la santé physique ou morale. Il met en évidence 4 dimensions : - Interprétation des symptômes corporels : les hypocondriaques parlent de leurs organes et les font parler – l’organe malade

. Mme . . . . . . . de . . . .La . . . Fayette . . . . . . . . . .propose . . . . . . . . . . une . . . . . .vision . . . . . . . .idéalisée . . . . . . . . . . .de . . . la . . . cour . . . . . . de . . . .France . . . . . . . . .sous . . . . . .Henri . . . . . . . II, . . .en ..... . . . . . . . . Renaissance. . . . . . . . . . . . . . . . . La . . . .fi. ction . . . . . . . nous . . . . . . .renvoie . . . . . . . . . en . . . . miroir . . . . . . . . une . . . . . interrogation . . . . . . .

en trompe l’œil ». Yves BERTONCINI www.notre-europe.eu e-mail : info@notre-europe.eu 73 Recherches Etudes & 73 Recherches Etudes & LES INTERVENTIONS DE L’UE AU NIVEAU NATIONAL : QUEL IMPACT ? PAR YVES BERTONCINI Pour Henri, qui vécut dans l’Europe d’hier. Pour Anatolie, qui égaiera celle de demain. Yves BERTONCINI Yves Bertoncini enseigne les questions européennes à l’IEP Paris, au Corps des Mines et à l’ENA. Il est diplômé de l’Institut d’études politiques de

civilisations Chez le même éditeur Les mots-clés de la géographie, Madeleine Michaux Petite histoire de l’Inde, Alexandre Astier Petite histoire de la Chine, Xavier Walter L’histoire de France, Aurélien Fayet et Michelle Fayet La littérature française, Nicole Masson La philosophie, Claude-Henry du Bord Comprendre l’hindouisme, Alexandre Astier Histoire de la Renaissance, Marie-Anne Michaux Histoire du Moyen Âge, Madeleine Michaux Les mythologies, Sabine Jourdain Histoire du XXe siècle, Dominique Sarciaux

logistique Patrice Verrier, coordinateur du catalogue et responsable de la documentation du Musée Corinne Brun, bibliothécaire Hélène Gié-Neufville, bibliothécaire, administrateur de banque de données Fabienne Gaudin, Christine Jost, Valérie Malecki, Henri Rozan, Elisabeth Wiss-Sicard, documentalistes Pedro Slobodianik, catalogueurs Sandrine Suchaire, employée de bibliothèque L’éQUIpE DE LA CITé DE LA MUSIQUE Philippe Jacquin, chef de service machinerie Michel Saboureau, régisseur machiniste Éric

Les mises en scènes et jeux de lumières étaient impeccables, et en fond de scène défilaient des vidéos en lien avec le sujet dansé. Petits et grands ont offert au public deux belles soirées qui ont donné le sourire à l’adjoint délégué à l’Emmdal, Henri-Michel Porte : "Ouf, malgré la pluie et l’orage, tout s’est bien déroulé et le public s’est déplacé en masse. Nous pouvons maintenant penser à la rentrée et aux spectacles de la saison prochaine". Rendez-vous maintenant le 27 juin pour "Les saltimbanques"

parfaitement neutre (n'exprimant aucune émotion) et tantôt des images d'une table bien garnie, tantôt des images d'un enfant qui pleure, tantôt celles d'une jolie jeune fille sur une balançoire. On demandait aux publics - tests de décrire, après chaque projection, le caractère et l'expression du visage de l'homme neutre. Suivant le cas, le public décrivait cet homme comme gourmand (après les gâteaux), cruel (après l'enfant en pleurs) ou amoureux (après la jolie jeune fille), simplement guidé, dans son interprétation

d’un volume vraiment impressionnant, se veut, en premier lieu, un véritable débat culturel (ou plutôt multiculturel) et surtout « une tentative rationnelle d’attestation documentaire de l’universalité d’un fantasme [n. s.] qui, présent dans les projections mythiques de diverses périodes historiques et en transférant à l’extérieur de nous-mêmes le mal historique et moral, a trouvé sa place d’action dans différents types de société humaine » (ibidem, p. 5) – n. n. 28 chrétiens se soient inspirés