Prosopopée

enthousiaste = osmose entre les peuples Tout est mélé (artik / antartik et céleste / marin) Burlesque car décalage entre l’objet décrit et l’expression soutenue (registre de langue). II) Limites de l’éloge paradoxal = vision humaniste C’est une prosopopée (parole à un dieu, objet) Référence dans l’antiquité (« dieux olympiques ») Voc péjoratif pour le progrès humaniste quand ces progrès ne respectent pas la morale humaniste, reconnaissance divine. Texte ancien et texte sacrée (Adam et Eve)

de sens ou tropes ( métaphores, allégories, comparaisons, gradations, métonymies, synecdoques, périphrases, antonomases...)  des figures de la pensée (antiphrases, hyperboles, litotes, euphémismes...), des figures d'énonciation ( l'apostrophe, la prosopopée...), des figures de construction ( la symétrie, le chiasme, l'antithèse, l'asyndète, l'ellipse, la parataxte...), des figures de répétition ( l'anaphore, l'épanalepse...) : lire, comprendre et expliquer un poème en prose c'est : écouter et regarder

enfin ses esprits et une banane. » (Pierre Desproges, Les réquisitoires du Tribunal des flagrants délires) L’ANACOLUTHE « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits Et ne l’aimer jamais ? » Racine, Athalie, Acte I, scène 4 LA PROSOPOPEE Je suis la pipe d’un auteur On voit, à contempler ma mine, D’Abyssinienne ou de Cafrine, Que mon maitre est un grand fumeur. Charles Baudelaire L’ALLITERATION « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Racine,

l’aspect maléfique du temps en indiquant que ce doigt menaçant : « nous menace ». L’anaphore employant le pronom « nous » est ici afin de rappeler que le temps est universel et que tout le monde est concerné par sa malédiction. Par le moyen d’une prosopopée, le poète fais parler l’Horloge qui dit « souvient toi ». L’emploi de l’impératif est ici utilisé afin de donner un conseil ou même avertir. C’est comme si le Temps lui même nous conseillais de nous rappeler l’inéluctabilité de la mort. Le poème

qui va permettre à Hume d’affirmer (ds un second temps) que nous devons déduire notre conception de la sce et de la philo de la nature même de l’homme et du genre de vie qui lui est prescrit par la nature. La seconde étape du texte consiste en une prosopopée : Hume fait parler la nature. Comment comprendre cette affirmation selon laquelle la manière même dont nous cherchons la vérité serait dictée par la nature elle-même ? S’agit-il st de la nature de l’homme ou bien d’une tendance naturelle qui s’imposerait

trèstravaillés. b) Un texte qui se veut marquant « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » : Captatio benevolentiae, capte le lecteur avec une 1ère phrasefrappante, qui résonne comme les constats de la guerre. Prosopopée, le « nous » correspond ici aux civilisations, généralisation des propos à l’échelle du lecteur, de l’auteur, mais aussi des peuples. Exposesa thèse de la fragilité des civilisations. « Nous » répété un grand nombre de fois tout au long du texte

| Énoncer une vérité flagrante évidente | Enfoncer une porte ouverte Calme et paisible | Personnification | Faire parler des animaux, des objets ou leur donner un comportement humain | Fables de la Fontaine… | Prosopopée | Faire parler un inanimé, un mort | Elle me dit : «je suis la mort qui rode» | Allégorie | Idée générale ou abstraite représentée de façon concrète | Cette faucheuse l’a emporté | Comparaison | Deux éléments

métaphores sur un même thème : oublier ce flot de paroles qui semble ne jamais trouver la mer où se jeter Allegorie : C’est le fait de représenter une idée par une image : représentation de la mort sous forme d’une vieille femme avec une faux. Prosopopée : discours direct d’un être disparu, d’une personification, d’une allégorie : la cigale dit à la fourmi Elles sont très nombreuses dans les fables, il s’agit en fait de personnifications. La métonymie : C’est l’emploi d’un nom pour un autre

Cf. relevé : "puissants regard" (l. 4-5), "enfants" (l. 10), "des yeux, les yeux des ports" (l. 14), "les yeux vivants" (l. 16), "disant" (l. 17), "paupières" (l. 18), "tremblotaient" (l. 27), "semblaient courir" (l. 30) Prosopopée (à prise de parole par un objet ou une abstraction) : l. 16-17 à C'est comme si on avait une proximité qui s'établit entre Pierre et les phares, comme si Pierre cherchait dans les phares un guide ou une solution à ses problèmes. - "le phare aérien d'Etouville montrait

ce dernier va s'atteler à démontrer que fuir pour éviter de laisser commettre une injustice est en soi une injustice. Socrate a recours à la prosopopée. Il met en scène les lois, qu'il fait parler : il fait des lois une entité vivante, et la démonstration s'en trouve dramatisée, ce qui lui donne sans doute plus de pertinence. Ces effets de la prosopopée prennent toute leur importance dans le discours qu'elles tiennent. En effet, Socrate compare d'abord les lois à des parents, auxquels les enfants