Protagoras Démocratie

On connaît la célèbre assertion de Protagoras : "L'homme est mesure de toutes choses, des choses qui sont, des choses qui ne sont pas, qu'elles ne sont pas". Faut-il voir en ceci le fondement philosophique de la modernité, un écart salvateur par rapport aux mythes, au divin, à l'autorité de la tradition, un affranchissement de la pensée, une révolution dans l'art de sentir, de penser et d'agir? A la référence quasi exclusive au dieu, l'homme opposerait enfin sa parole propre, se posant comme "mesure"

gouvernement politique, la démocratie. Avec la démocratie, la jeunesse Athénienne avaient besoin d’une nouvelle formation pour intervenir dans la politique, ils la trouvèrent avec les sophistes. Ceux-ci enseignaient la vertu (areté) qui, pour eux, consistait à être un bon citoyen qui à travers une brillante argumentation triomphe dans la politique. Cet enseignement de la vertu va connaitre dans son cours un relativisme culturel et épistémologique, puisque avec Protagoras, l’homme est la mesure

Explication de texte Protagoras, Platon : mythe de l'origine et de la fonction du politique. Introduction : Le Protagoras (ou Les Sophistes) est un dialogue de Platon. Protagoras, originaire de la cité d’Abdère, était un sophiste particulièrement réputé. Ses longs voyages à travers la Grèce, la Sicile et l'Italie lui permirent de dispenser son immense savoir à qui voulait en bénéficier, ce qui le rendit très riche. On trouve une première fois le mythe de Prométhée dans la Théogonie d'Hésiode

Vers le début du 5ieme siècle (-510), Athènes est devenue une démocratie. Plusieurs nouvelles lois ont été instaurées et des institutions ont vue le jour. De plus, l’éducation et la vertu morale ont subi un grand changement, C’est-à-dire une évolution dans la manière d’enseigné et de voir d’un autre angle les valeurs morale des athéniens ce qui crée diverse opinion et ceci fait en sorte que plusieurs personnages important de l’histoire athénienne comme Socrate se font traduire en justice. Dans ce

ou croyance a la même légitimité qu'une autre… Une citation de Protagoras est emblématique à cet égard  : l'homme est la mesure de toute chose. La transposition sur le plan rhétorique de cette idée philosophique va aboutir à l'idée que l'on peut faire triompher n'importe quelle thèse, à condition de disposer d'une force de conviction suffisante. Forts de cette idée, les sophistes (on peut citer, parmi les plus connus, Protagoras, Gorgias…) vont parcourir la Grèce et dispenser des leçons particulières

dans son histoire, et secundo à présenter les principales figures de ceux qui ont été les maitres de la sophistique c’est à dires les sophistes, Vers 450 avant J.C., Athènes devient le centre culturel du monde grec. Un système démocratie y voit le jour. La démocratie athénienne requiert l’éducation du citoyen, ce qui inclut la maîtrise de la rhétorique, c'est-à-dire l’art de bien parler. Cela explique une forte demande de professeurs. Pour satisfaire ce besoin, plusieurs savants affluent de

aristocratique. -Disciple de Socrate dont la mort injuste (-399) le marqua profondément. -En -387 il fonde sa propre école, l'Académie. Il aura entre autres comme élève Aristote. type de philosophie: Rationalisme, Idéalisme oeuvres majeures : - Protagoras (Des sophistes) - Gorgias (De la rhétorique) - Cratyle (Du langage) - Le Banquet (De l'amour) - La République (De la justice) Idées importantes: -Théorie de la connaissance : Platon est un philosophe idéaliste. Pour lui connaître c'est se détourner

effet, c’est ce questionnement là même qui était l’objet d’un des plus grand débat entre les philosophes et les sophistes de la Grèce Antique. Plus précisément à Athènes au 5e siècle avant J-C. En effet, c’est à ce lieu et à cette époque que la démocratie athénienne fut la plus prodigieuse. Les citoyens avaient un pouvoir sur les décisions importantes de la cité. Dans ce contexte, il est facile de comprendre à quel point les débats politiques et par extension philosophiques étaient importants.

Opposition entre la loi (Nomos) et la nature (Physis). Le premier auteur qui a remarqué la contracdiction a été : Protagoras. Il a pensé : -Le juste et le honteux ne le sont pas par nature mais par le Nomos. Les notions dépendent effectivement qu'à cause de la loi. Les lois écrites apparaissent comme l'expression des manières propres à un groupe d'hommes en particulier. Protagoras propose un ordre naturel qui est indépendant de tout jugement humain. Et un ordre artificiel et factis. Il n'y a

Avec la démocratie, à Athènes, les fils des aristocrates avaient besoin d’une nouvelle formation pour intervenir dans la politique. Cette formation se trouvait dans les sophistes, des professeurs étrangers très instruits qui se faisaient payer très cher pour leurs cours. Le mot sophistes signifiait sage. Les sophistes étaient des relativistes culturels. Ils pensaient que toutes les cultures étaient également valables, que les lois n’étaient qu’une entente et que la seule chose naturelle est l’envie