Protagoras Démocratie

Vlastos. (Socrate. Ironie et philosophie morale, Paris, Aubier, 1994, 455 pages) Platon rédige des dialogues mettant en scène Socrate comme personnage principal. L'Apologie de Socrate, Criton, Charmide, Lysis, Euthyphron, Second Alcibiade, Gorgias, Protagoras, Hippias Mineur, Premier Alcibiade, Hippias Majeur, Lachès, Ion forment un premier groupe de dialogues qui furent de petits chefs-d'oeuvre à l'époque et qui le sont toujours aujourd'hui. Dans cette première série de dialogues, Platon reste fidèle

jugées équitablement. De plus, dans l’oral du jeune garçon à la fin, il est possible de constater une certaine vision des choses se rapprochant de Protagoras. À ce titre, le jeune garçon dit que chaque homme est capable de créer sa société dans laquelle il se sent bien et équitable aux autres reflète très bien la définition de la vertu selon protagoras qui pense qu’au sein d’une collectivité, l’avantageux ne va ni davantage au plus fort ou au plus faible, mais équitablement répartit entre les deux

Dissertation : Les opinions se valent-elles ? PLAN : I) Analyse de l’énoncé du sujet II) Thèse du sens commun -Bachelard, Platon, Protagoras, Gorgias III) Objection Kant , Platon IV) Synthèse V) Conclusion Intro : -Les français ont le droit de s’exprimer librement et donc d’émettre leurs opinions depuis la Révolution française de 1789. - Au sens général l’opinion est un avis qui n’est pas fondé, contrairement à la science et se repose plutôt sur une suggestion

sa constitution physique est dénuée de protection naturelle (pas de pelage, de carapace etc.). En second lieu, l'homme a peu de moyens. On remarquera que Hume, de ce point de vue, est en accord avec la thèse sophiste développée par Platon dans le Protagoras à travers le mythe de Prométhée et d'Épiméthée. Le mythe raconte que l'homme est le seul être oublié lors de la distribution des instruments nécessaires à la survie. Hume reprend cette thèse en attribuant la responsabilité de cet oubli, non à une

connaître les vérités et celles des philosophes qui déclarent savoir qu'ils n'ont pas les connaissances. En effet pour les philosophes, prendre conscience de son ignorance est une étape préliminaire dans la quête du savoir. Les sophistes (comme Protagoras) sont souvent des professeur de rhétorique (art du discours) qui se prétende capable de soutenir n'importe quel point de vue sur n'importe quel sujet, car selon eux aucune vérité n'est durable. En effet pour les sophiste, l'être est égal au paraître

langage et préfèrent l'efficacité à la vérité. Cependant, certaines thèses philosophiques défendues par les sophistes sont prises au sérieux par Platon : • Thèses épistémologiques : Les sophistes sont considérés comme relativistes par Platon. Protagoras affirme ainsi que« L'homme est la mesure de toute chose ». Cela signifie que la vérité n'est pas quelque chose d'indépendant de l'homme, mais qu'elle dépendra de sa perspective. En allant à peine plus loin, on soutiendra la thèse que rien n'est

de lit autorise le lit, lui insuffle sens et etre. Cela vient en pleine opposition à la pensée sophiste qui accorde à la Verité un statut relatif, un antagonisme qui révèle bien l'idéalisme de la position adoptée par Platon. Ainsi, le sophiste Protagoras pose un système dans lequel l'homme est à la mesure de toute chose, nulle instance transcendante n'ayant legitimité à définir, à contenir le Vrai en tant qu'absolu. Platon réfutant foncièrement cette pensée, s'attaque à la relativité des connaissances

exactement comment discerné les bonne et les mauvaise condition qui peuvent mené a monde juste et heureux. 153 mots sur un objectif de 200 (ou 220) Paragraphe d’objection : Toutefois, tous ne seraient pas du même avis. Pour des penseurs comme Protagoras qui privilégie les techniques du sophisme, cela ne fait pas de sens d’associer le rôle du philosophe au fait de veiller sur la Justice pour la simple raison que la Justice n’existe pas. D’ailleurs, le principe «Le scepticisme et l’humanisme des

A. - Il me semble que non. S. - Ainsi, tu comprends que les erreurs de conduite également résultent de cette ignorance qui consiste à croire qu’on sait ce qu’on ne sait pas ? A. - Que veux-tu dire par là ? S. - Nous n’entreprenons de faire une chose que lorsque nous pensons savoir ce que nous faisons ? A. - Oui. S. - Ceux qui ne pensent pas le savoir s’en remettent à d’autres ? A. - Sans doute. S. - Ainsi les ignorants de cette sorte ne commettent pas d’erreur dans la vie, parce qu’ils

de ce qui se présente comme étant la vérité ? 110 LA RAISON ET LE RÉEL PhilCor2004L,ES,S 26/08/03 18:04 Page 111 Introduction 1 Non, la vérité ne dépend pas de nous A - La vérité n’est pas l’opinion : réfutation du relativisme de Protagoras B - La vérité n’est pas la connaissance : un exemple dans l’histoire des sciences CORRIGÉ PLAN 2 Oui, la vérité dépend de nous A - La vérité dépend de la saisie d’une chose par l’intellect : une définition de la vérité B - La vérité