Protagoras

détenteur de savoirs). Les œuvres de Platon sont souvent écrites sous forme de dialogues dans lesquels il met souvent en scène son maître Socrate. Dialogue entre Protagoras et Socrate ( http://beq.ebooksgratuits.com/Philosophie/Platon-Protagoras.pdf ) Où Hippocrate demande à Socrate de l'introduire auprès du célèbre sophiste Protagoras, présent en ville afin qu'il puisse suivre ses enseignements. "Sophiste", pourtant est un terme déjà rebuté que personne ne veut porter (le sophiste enseigne et les

nous accédons individuellement à l’humanité. 2. C’est ce que nous apprend également le mythe C’est par la culture que nous avons également accédé collectivement à l’humanité, rendu possible l’humanité. Ainsi dans le Protagoras, Platon fait raconter par Protagoras le mythe de Prométhée. Si l’on suit ce mythe il apparaît que jamais l’homme n’aurait survécu naturellement car contrairement aux animaux il est, à la naissance, dépourvu des instincts et des armes naturelles qui lui permettraient

On peut voir un indice de ce caractère fictif dans la mention de l'homme comme animal « le plus menacé ». S'agit-il d'une hypothèse scientifique plausible? C'est douteux. En revanche, on peut y lire une allusion au mythe raconté par Protagoras dans le Protagoras de Platon. Zeus, ayant confié à Épiméthée et Prométhée le soin de doter les animaux de l'outillage nécessaire pour leur conservation, Épiméthée aurait oublié l'homme dans sa distribution : celui-ci ne court pas vite ; il n'est pas fort

plaisir est nécessaire au bonheur nous acceptons la douleur si elle est passagère, et si elle est la condition d'un plaisir plus haut. Par exemple, l'exercice physique du corps est douloureux, mais la santé qui en résulte est un plaisir. (ref: Protagoras) Le résultat sera l'autarcie, état où l'on se suffit à soi-même en limitant ses désirs : on ne dépend pas des autres, et on ne passe pas sa vie à la poursuite d'objets extérieurs. En se contentant de satisfaire des désirs naturels, on a réduit le

donc on se questionne sur l’existence du monde sensible et intelligible. Il s’agit effectivement d’une réflexion sur ce qui transcende la physique. 2e paragraphe 3e paragraphe BLEBLEBLEBLEBLEBLE alexiachar 4e paragraphe 5e paragraphe : Protagoras , lhomme est la mesure de toute chose

dans une période ultérieure, de maturité ou de vieillesse, on assiste à l'élaboration d'une philosophie proprement platonicienne. Chronologie des dialogues: 1) La période de jeunesse (399-390) Elle comprend les dialogues socratiques (notamment Protagoras et l'Apologie de Socrate), que Platon écrivit aussitôt après la disparition de son maître. 2) La période de transition (390-385) Dans celle-ci on perçoit encore l'influence de la personnalité de Socrate mais où Platon présente déjà les thèmes

qui sont en lui et d'affirmer sa personnalité. Platon né à Athènes en 428-427 av. J.-C., mort en 348-347 av. J.-C.)Est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. -> Mythe de Protagoras

nombre de devoirs. Quelle est l'origine de la conscience morale ? Peut-on s'y fier comme à un guide et à un juge fiable ? 1. En quoi consiste la morale ? a. La connaissance du bien et du mal Platon écrit que « nul n'est méchant volontairement » (Protagoras). Si nous faisons le mal, c'est par ignorance. Nous pensons que cela nous est profitable or nous nous trompons : le mal que nous commettons induit des conséquences néfastes pour son auteur. La conscience morale équivaut donc à une juste connaissance

sociabilité n’est pas une tendance naturelle. L’association procède de la contrainte des besoins, des accidents de l’histoire, elle ne procède pas d’un mouvement naturel. Cette thèse qu’on peut appeler artificialiste ou conventionnaliste est celle d’un Protagoras, d’un Hobbes, d’un Rousseau.  Pour Aristote au contraire, l’homme tend par nature à vivre en cité. En réalisant cette tendance, il accomplit sa nature, ce pour quoi il est fait. « Personne ne choisirait de posséder tous les biens de ce monde pour

pas pensable de pouvoir établir un jugement de plusieurs croyances selon des critères ou des normes divergentes. Sans doute la croyance est-elle à évaluer selon la personnalité du croyant et selon l'influence qui en émane. 1. La pensée de Protagoras 2. La pensée de Platon 3. Les inégalités de valeurs qui les distinguent a notion de croyance semble tirer son sens dans la langue la plus courante à travers un aspect qui nous semble à priori évident, au sens fréquentatif. Toutefois ce