Protocole N 11 Cedh

« du respect du corps humain ». 1- Le respect de la vie humaine a- Où se trouve le droit à la vie ? Où est-il énoncé ? Plusieurs textes prévoient explicitement un droit à la vie, notamment l'Article 3 de la DEDH, l'Article 2 de la CEDH, l'Article 6-1 du pacte des nations unies relatif au droit civil et politique, l'Article 3.1 de la charte de l'UE, l'Article premier de la loi Veil, l'Article 16 du CC. Précision : ce droit, considéré comme supra-légal, appartient à toute personne

éminemment subjectif. Elle peut, au mieux, se mesurer à la rapidité et à l’ampleur des réformes pour se conformer au standard de l’organisation. D’autres conditions pour appartenir au conseil de l’Europe. Les Etats candidats ont été tenus de ratifier la CEDH  ; Organisation d’élections libres, pluralistes et transparentes  ; L’abolition de la peine de mort (ou, du moins, l’Etat institue un moratoire  : période durant laquelle la peine de mort continue d’être écrite mais n’est pas appliquée). - Les

? – particulière à l’égard des juridictions européennes. Sur ce point, le système communautaire se sépare radica- 51 1. Les analyses relatives à la Convention européenne seront fondées sur le système juridictionnel tel qu’il résulte du protocole n° 11. En ce qui concerne les Communautés, l’on rappelle que la Cour de justice et le Tribunal de première instance sont communs aux trois Communautés. Depuis le traité d’Amsterdam, la Cour de justice s’est vu confier des compétences assez importantes

respecter certains critères (« de Copenhague ») et le respect des droits de l’Homme est un des principaux critères. C’est pourquoi le CE a parfois été qualifié d’antichambre de l’UE. Il comporte un certain nombre d’institutions et ne se réduit pas à la CEDH (le comité des Ministres en est la principale). La comité des Ministres est l’organe de direction et de décision du CE, composé de représentants des Etats membres. Ces derniers sont appelés « représentants permanents » et sont des diplomates de haut-niveau

la convention européenne qui a abouti au TECE, sous al pression des verts on n’a pas voulu intégrer le traité EURTOM dans le TECE. Donc la PJ de l’EURATOM a été maintenu. Le Traité de Lisbonne n’a pas fait mieux, et le EURATOM fait l’objet d’un Protocole particulier. On constate une rupture dans l’unicité de la PJ de l’Union. Il fau tt de même relativiser car la spécificité sectorielle de EURATOM peut finalement justifier la survivance de sa PJ. Les conséquences sont limitées de cette PJ spécifique

rôle du juge dans l’Union est aussi fondamental, la CJUE a un rôle très important. La Cour a été créée dès 1952 par le traité CECA, la Cour de justice (= Cour de Luxembourg, est différente de la Cour de Strasbourg, mise en place dans le cadre de la CEDH, et la Cour de la Haye, c’est la CIJ dans le cadre de l’ONU) cette Cour a rendu des milliers d’arrêts, surtout dans le cadre de la CEE et de la CE. Il y a très peu d’arrêts rendus dans le cadre du traité CEEA (Euratom) et autres. Les arrêts rendus

On parle aussi de "pacte" comme le pacte du 16 décembre 1966 relatif aux droits civils et politiques . On entend aussi le mot "chartre" avec la chartre des nations unies du 26 juin 1945 . On entend encore le mot "protocole" comme le protocole de Kyoto sur les changements climatiques du 11 décembre 1997 . Malgré tout , tous ces termes restent des conventions internationales . Une convention internationale , c'est l'accord international conclu par écrit entre états et régi par le droit international

mais c’est un traité international des droits de l’Homme qui a été signé en 1950 par la France dans le cadre du Conseil de l’Europe (organisation européenne totalement différente). Particularité de CEDH met en place une juridiction, la Cour européenne des droits de l’Homme, située à Strasbourg peut condamner des États. La France souvent été condamnée a dû modifier lois. Ex. 2013 France condamné par la CourEDH dans une affaire Nicolas Sarkozy

pour pouvoir êtres opposables aux états. Les textes ne sont donc pas toujours opposables => Protection de la souveraineté des Etats. Exemple : la France, n'a ratifié la CEDH que en 1974. La CEDH n'a donc pas été opposable à la France alors qu'il était appliqué depuis les année 1950. 2) L'oeuvre majeure du Conseil de l'Europe : La CEDH, Convention Européenne des DH et de Sauvegarde des Libertés Fondamentales. Un texte consacré à la sauvegarde des droits fondamentaux qui devait être élaboré, avec un champ

L’effet direct de la CEDH Document n°4 : Soc., 12 janvier 1999, Bull. civ. V, n°7 Document n°5 : Soc., 13 juin 2007, pourvoi n° 05-45.694, P+B+R+I, Bull. civ. V, n° 99, D. 2007. 2439, note C. Pérès ; JCP G 2007. act. 287, RTDCiv. 2007, obs. P. Deumier. L’effet indirect de la CEDH : l’exemple du droit de la filiation Document n°6 : art.760 du Code civil, tel qu’issu de la loi du 3 janvier 1972 Document n°7 : Civ. 1ère, 25 juin 1996, Bull. civ. I, n°268 Document n°8 : CEDH, 1er février 2000, Mazureck