Précieuses Ridicules 15 16 17

mai, lundis 12 et 19 mai et jeudi 1er mai Dossier autour de Tartuffe Projection-Rencontre autour du spectacle > Herr Tartüff Film de Friedrich Wilhelm Murnau (all., 1925) > Rencontre avec les comédiens de Tartuffe à l’issue de la projection Samedi 17 mai 2008 à 15h Au Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg 1, place Hans Jean Arp Contact TNS Lorédane Besnier 03 88 24 88 47 / 06 86 66 20 43 / public2@tns.fr 1 Tartuffe de Molière Mise en scène et scénographie Stéphane Braunschweig

complexe ? Idem pour le « fantassin de la Ligne » (l. 27), qui cache Hussonnet, « l’homme de lettres » (l. 163) aux mains délicates, et pour le « baron Moyen-âge » (l. 54), qui, malgré les inconvénients, a tenu à s’empêtrer dans une armure en fer bien ridicule dans un bal, ainsi que pour le « Louis XIV » (l. 55), qui ne se prend pas, ce soir, pour n’importe qui ; que dire de la « Femme Sauvage » (l. 40), peu vêtue, qui profite de l’occasion pour libérer quelque peu ses pulsions, disons, animales ? ; l’« Ange »

biblique supplémentaire.” (p. 246). Plus grave encore, au lieu d'annoncer l'Evangile qui est “une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit”, cet Evangile dont l'Apôtre dit que “la justice de Dieu s'y révèle par la foi et pour la foi” (Romains 1:16-17), Warren recommande de “murmurer tout bas une prière” (p. 63) et de “découvrir son identité”. Là, sous nos yeux, l'auteur ouvre une voie d'accès de plus à la porte large et au chemin spacieux “qui mènent à la perdition”. Le plus navrant, c'est que

critique la société de son temps dans ses œuvres : 1659 : Les Précieuses ridicules 1662 : L’École des femmes 1664 : Le Tartuffe 1666 : Le Médecin malgré lui 1668 : George Dandin ; l’Avare 1670 : Le Bourgeois gentilhomme 1671 : Les Fourberies de Scapin 1672 : Les Femmes savantes 1673 : Le Malade imaginaire Malade depuis plusieurs années, Molière s’effondre sur scène durant une représentation du Malade imaginaire et meurt chez lui le 17 février 1673. © Cned, Français 4e — 133 Séquence 5 — séance

................................... 8 Molières Biographie ........................................................................................... 13 Die frühen Stücke Molières und die Tradition der Commedia dell'arte .............. 16 Die »Précieuses ridicules«: Farce und Gesellschaftssatire ............................... 21 »Sganarelle ou le Cocu imaginaire « : von der Farce zur Charakterkomödie .... 26 »Dom Garcie de Navarre«: eine Tragikomödie der Eifersucht........................... 27

| | | |Prend le nom de Marivaux. |1714-16 | | |Mariage avec Colombe Bollogne. |1717 |[pic]

» (v. 1), « vos yeux ont des appas… » (v. 5). La magnifique apostrophe « Beauté, mon beau souci » se nuance aussi d’un reproche que la suite précise en évoquant « l’âme incertaine » (v. 1) de celle qui est accusée de manquer de mémoire (v. 15) ou de foi (v. 16) ou de parole (v. 20). Caliste a la chance d’échapper à ces reproches et à toute précision : c’est le charme de sa présence qui est ainsi rendu sensible mais enfin le sonnet semble essentiellement consacré aux beautés du château, du parc et

présentera les dates de vie et de mort de l’auteur ; les deux genres dans lequel il s’est illustré ; son genre de prédilection ; cinq titres particulièrement célèbres. Le texte Les sources Les Fausses Confidences a été créée pour la première fois le 16 mars 1737 par les Comédiens italiens à l’Hôtel de Bourgogne, puis reprise au Théâtre-Français en 1793. Les Fausses Confidences est la dernière grande pièce de Marivaux. Reçu à l’Académie Française en 1743, il n’écrira plus que des pièces en un acte

de Thélème). Ces échos permettent d’aborder la poésie et l’essai, de travailler les genres argumentatifs. Des échos européens contemporains sont également proposés : Stefan Zweig, Jorge Luis Borges et Jacques Lacarrière. 15 2210441163_001-026_Debut_LDP_Fr1.indd 15 08/07/11 11:27 Français 1re – Livre du professeur • En liaison avec l’histoire des arts, un choix de textes et de documents donnant à comprendre aux élèves comment la peinture, la sculpture et l’architecture de la

prend ("Les Indolents ") mais sait-on pourquoi ("En sourdine "). Cette poésie symboliste avant la lettre, et sortie toute armée du cerveau du poète, suggère en de véritables tableaux décoratifs, les splendeurs et les illusions d'une société faite de précieuses, de figures sentimentales et de faunes railleurs s'ébattant dans un parc. Les habitudes d'un milieu galant et frivole sont observées avec une ironie attendrie ("Sur l'herbe " - "A la promenade ") et décrites d'une touche légère : le poète unit ls