Présidentialiste

nommait. La 5ème république échappe aux typologies classiques des différents régimes démocratiques. Conçue à l’origine comme un régime parlementaire dans lequel les pouvoirs de l’exécutif sont renforcés, elle est devenue un régime de type semi-présidentialiste depuis le référendum de 1962 qui a instauré l’élection du président de la république au suffrage universel. La 5ème république apparait donc comme un régime hybride présentant simultanément des caractéristiques propres au régime présidentiel

République (proposition n°6), qui pourrait librement démettre le Premier Ministre (proposition n°7), désormais tenu de présenter le programme du Gouvernement à l'Assemblée Nationale, inscrirait dans le marbre de la Constitution la pratique constamment présidentialiste du régime semi-présidentiel retenu en 1992. Les pouvoirs de nomination du Chef de l'Etat seraient également élargis au choix du Président de la Cour Constitutionnelle (proposition n°11) et de celui de l'autorité de régulation des médias (proposition

se sont cependant refuser à revoir la typologie classique et à admettre une troisième catégorie, préférant parler de « régime mixte » (Pierre Pactet), de régime parlementaire « à correctif présidentiel » » (Jean-claude Colliard) ou de dérive « présidentialiste » (Jean Gicquel). N’est-ce pas cependant condamner le principe même d’une classification des régimes que d’accepter des oppositions internes aussi fortes ? Maurice Duverger propose la notion de régime « semi-présidentiel » comme complément des

particulier la guerre favorisant généralement l’influence présidentielle). Loin d’être toujours caractérisé par la prééminence présidentielle, le système politique américain suit un mouvement de balancier, il est tantôt congressionnel, tantôt présidentialiste suivant le poids exercé par chacun en pratique. A long terme le poids du président a cependant presque constamment augmenté.

les mandats de Jacques Chirac de 1997 à 2002. Le Président doit alors nommer un Premier ministre différent de sa famille politique. On assiste alors à une dyarchie, deux personnes disposes d’un réel pouvoir de direction de l’exécutif. Le régime présidentialiste s’efface et le régime parlementaire orléaniste le remplace, le Premier ministre devient alors le véritable chef de la politique du pays. Cependant, le Président de la République conserve certaines prérogative que lui confère personnellement la

décision politique, comme pour les régimes parlementaires en France lors de la troisième République, ou lors du début de la troisième république à Madagascar, mais aujourd’hui la tendance s’est renversée. En effet, on constate que les régimes présidentialistes fleurissent en Afrique et en Amérique latine. Or, si une des trois branches du pouvoir s’imposait aux autres, il y aurait risques d’abus, c’est pourquoi la constitution est appelé à ménager les rôles et les connexions qui se fassent entre les

pouvoirs de l'Etat et de son chef est allé grandissant, et a atteint sa plénitude avec la Constitution du 2 juin 1972". Les postures et les procédures adoptées par les publicistes camerounais à propos de l'énonciation d'un "constitutionnalisme présidentialiste" va leur permettre d'affirmer leurs compétences et leurs connaissances face aux auteurs de la doctrine civiliste et pénaliste et de légitimer leur savoir à l'égard des légistes présidentiels et gouvernementaux par le recours à une analyse juridique

1986-1988 1993-1995 ou relative 1997-2002). → le gouvernement ne tient sa légitimité que de l'Assemblée, et n'est plus responsable que devant elle => on réalise alors que l'on est dans un régime parlementaire moniste, et non dans un régime présidentialiste dualiste. + Le 1M dispose toujours des mêmes pouvoirs mais libéré de la tutelle présidentielle, il peut les utiliser de manière plus indépendante, sans l'influence du chef de l'Etat  : Il dispose : * + des pouvoirs partagés avec

sans voter sauf si mot° de censure) + Le conseil constitutionnel (invent° de la V° république) peut censurer les lois votées si elles ne sont pas conformes à la Constitut°. Pouvoir exécutif > Pouvoir législatif Pas de contre-pouvoir = Régime Présidentialiste Pyramide Gaullienne B/ La République Gaullienne triomphe Aout 62 : l’OAS (organisation armée secrète) organise un attentat contre d.G.: l’attentat du petit climart. 28 octobre 62 : 62% de oui au référendum pour élire le président au suffrage

de la République ayant une légitimité aussi forte, voire plus forte, que celle du Parlement devient un personnage important de la Véme République. De ce fait, différentes périodes se découvrent. De 1962 à 1986, la Véme République est dite «présidentialiste» lorsque le Président n’est pas seulement le Président de la République mais est aussi le leader politique du parti majoritaire à l’Assemblée Nationale et exerce le statut de «capitaine». De plus, la présidentialisation du régime se caractérise