Que Penser Du Progrès Scientifique Et Technique

Faut- il craindre la technique « Un monde gagné pour la technique est perdu pour la liberté. » Bernanos. Beaucoup de philosophes commentent la technique de nos jours. Mais tout d’abord qu’est ce que la technique ? C’est un ensemble de procédés mis en œuvre dans un métier, un art, une science… La « technique » vient du mot grec « tekhné » qui signifie « art ». Les moyens de l’humanité furent des moyens de lutter contre les aléas de la nature. La technique prolonge les pouvoirs du corps humain

Peut-on se passer des USA ? (Thème : Progrès scientifiques) Introduction Nous savons tous qu’il n’y a pas si longtemps l’Europe dominait le monde par de multiples manières comme l’économie, la colonisation, la démographie, … Mais dans tous ces domaines elle a été renversée par les USA, qui sont principalement constituées de nos émigrés. Nous allons maintenant nous concentrer sur un point en particulier qui est l’avancée scientifique et voir l’évolution de l’Amérique et de l’Europe

La technique est-elle ce qui accomplit l'homme ou ce qui le détruit ? Introduction : Comme le mot grec Techné, " art ", " habileté ", technique est d'abord synonyme d'art, au sens de savoir-faire, dont la mise en oeuvre permet d'obtenir volontairement un résultat déterminé. Ce savoir-faire peut dériver soit de l'expérience ordinaire et de l'imitation, soit de la connaissance des règles d'action codifiées, soit d'un savoir scientifique. A la différence de l'activité artistique proprement dite, dont

bénéfique en politique, résolu les grands mystères de la nature ni révélé les destinées de l’humanité. Le propos fit scandale aux yeux de tous ceux, nombreux à l’époque, qui voyaient dans la science la source unique de toute connaissance et de tout progrès. Aussi une riposte énergique fut-elle organisée. Notamment, l’un des plus célèbres savants de l’époque, le chimiste Marcelin Berthelot, répondit directement à F. Brunetière que « le triomphe universel de la science arrivera à assurer aux hommes le

• La croyance religieuse implique t'elle une démission de la raison? • L'homme peut-il se passer de religion? • L'usage de la raison suppose-t-il le rejet de toute croyance? • Entre croire et savoir, faut-il choisir? • Pourquoi le progrès scientifique n'a-t-il pas fait disparaitre les religions ? • La raison entre-t-elle nécessairement en conflit avec la croyance religieuse ? • croire est-ce renoncer à la raison? • La religion n'est elle qu'une illusion • Une société sans religion

toute l’Europe cultivée. Le tournant du XV° et XVI° s. est marqué par une modification importante des façons de penser, des valeurs et du goût. Ces changements ont commencé dès le XV° dans la riche Italie marchande et princière du XV° siècle ; puis se sont propagés ensuite au reste de l'Europe. Le mouvement philosophique, l'humanisme, accompagne une renaissance scientifique et artistique. L'essor de l'imprimerie va permettre une large diffusion des idées nouvelles parmi les couches supérieures

industrialisés qui subissent de profondes transformations. Les progrès de la science, le développement du capitalisme et de la démocratie et la colonisation tendent à modifier les pratiques religieuses traditionnelles. Les églises principales comme le catholicisme et le protestantisme, face à la science et l'individualisme urbain doivent reconsidérer leur forme de pratiques religieuses. Ainsi, quelles sont les nouveautés scientifiques ou sociales qui ont un impacte sur les fondements des églises entre

Commentaire philosophique Le progrès de la technique toujours plus important, toujours plus rapide dans les sociétés contemporaines laisse à croire que la Pensée humaine serait grandissante. Le calcul et la planification se sont en effet développés de façon exponentielle. Pourtant, Heidegger affirme que l’on assiste à un «manque croissant de pensée». L’Homme contemporain serait même «en fuite devant la pensée». Comment l’Homme pourrait-il ne plus penser et pourtant calculer de plus en plus

Le progrès est une notion difficile à définir. En effet, ce terme ne semble-t-il pas contenir deux dimensions ? La première serait alors quantitative, le progrès synonyme d’avancée, d’évolution désignerait tout d’abord l’action même d’avancer. Tandis que la seconde dimension, elle, semble être quantitative. L’idée de progrès n’est-elle pas également liée à un jugement ? On qualifierait ainsi certaine chose de progrès et d’autre de régression, autrement dit, en français le progrès correspondrait aussi

tout à fait possible de nuit en soignant… L’inquiétude peut permettre de réveiller une conscience morale trop souvent endormie dans l’Habitude… En cela constitue la première étape de la démarche éthique… Il s’agit donc de «  Penser des pratiques qui se pratiquent sans penser » La conscience morale toujours en éveil, nous fait nous souvenir qu’il nous faut faire preuve d’une vigilance éthique reposant sur la Clairvoyance, Lucidité, Courage. Cela nous fait nous interroger sur nos pratiques notamment