Raisonnement par récurrence

de tête qui impose son jugement Cf. verbes d'estimation et de prise de décision : "savons" (l. 5), "pouvons peser toutes les conséquences" (l. 6-7), "décidez" (l. 8), "suppose" (l. 9), "désirez m'épouser" (l. 9-10) -> elle fait preuve d'un raisonnement froid Jean, lui, semble troublé et pris au dépourvu : - "il répondit niaisement" (l. 12), "il s'étonnait" (l. 26) - Répétition de "s'attendre à" : "Il ne s'attendait guère" (l. 11) et "Il s'attendait à des gentillesses galantes, (…)" (l

l'état civil (secondement par un syllogisme, contredisant d'ailleurs premièrement), et à l'intention (troisièmement, un autre syllogisme dont la conclusion est sous-entendue), tentant presque de culpabiliser Saint-Yves malgré l'aspect accommodant du raisonnement, il se trahit par des tournures révélatrices (« qu'il faut toujours éviter autant qu'il est possible ») et par des termes paradoxaux (« rien n'est plus honnête »). Enfin, il fait appel à un exemple, bien qu'il affirme qu'il en existe de nombreux

l’espace p. 38 p. 42 PROBABILITÉS ET STATISTIQUES p. 49 Chapitre 10 – Probabilités conditionnelles Chapitre 11 – Lois à densité Chapitre 12 – Échantillonnage p. 50 p. 56 p. 62 ALGORITHMIQUE/LOGIQUE p. 67 Chapitre 13 – Algorithmique/Éléments du raisonnement mathématique p. 68 CORRIGÉS DES EXERCICES p. 75 GUIDE PRATIQUE p. 93 1-96_MATHS-TS.indb 3 © rue des écoles & Le Monde, 2014. Reproduction, diffusion et communication strictement interdites. L’ESSENTIEL SOMMAIRE DU COURS 20/12/13 15:56

S'abritant derrière le regard faussement naïf de deux Persans découvrant les mœurs occidentales et usant de la liberté que confère à l'écrivain la forme épistolaire (se livrer à des digressions et à des raisonnements sans heurter la vraisemblance), Montesquieu parvient, dans les Lettres persanes à concilier l'expression indirecte d'une réflexion politique et sociologique à une « espèce de roman » de mœurs, d'amour et de passion subtilement liés l'un à l'autre par une « chaîne secrète ». C'est ainsi

nécessaire qui sous-entend que le narrateur appartient au même groupe social, avec « carabin » qui vient justifier une grande proximité, « camarade » confirmant une fois pour toute cette amitié. Arthur Ganate, le héros ? On est tenté de le penser avec la récurrence de son prénom dans les premières lignes. Céline joue bien sur les attentes du lecteur comme doit le faire tout incipit en laissant croire qu'il est un personnage important, car le premier clairement identifié, alors qu'il ne réapparaîtra plus après

Elles cherchent à mettre en relations les choses connues par l’élève et celles qu’il perçoit. E. Charmeux qui était il y a quelques temps pour cette façon de voir les choses, s’est par la suite rendu compte qu’il y avait dans l’écrit tellement de récurrences qu’on pouvait très difficilement faire l’économie de l’apprentissage du code. 80% de ce que l’on écrit et lit repose sur le code alphabétique (étude de N Catach). C. Méthode interactive ascendant/descendant L. Sprenger-Charolles remet en cause autant

; et vice versa si leur existence est indépendante de leur perception et s'en distingue, ils doivent continuer d'exister, même quand ils ne sont pas perçus. »5 Les commentateurs Harold W. Noonan6 et Georges Dickers7 s'entendent pour dire que ce raisonnement est en partie faux. Selon les termes de Noonan : « The first of these beliefs, Hume notes, entails the second. For, of course, what is so can be so : ''if the objects of our senses continue to exist, even when they are not percieved, their existence

On peut ajouter que cette limite est strictement supérieure à , qui est le premier terme de la somme. a0 2.1 à 2.3.   1 x n +1 = 1 + E  x   n  La suite (x n ) est définie par la formule de récurrence :  1     x n − 1 = x n + xn E   − 1  x    n Le premier terme de cette suite est par hypothèse un nombre réel strictement positif. 1 1 1 1 − 1 < E   ≤ et par conséquent : 1 − x < x E   ≤ 1 . x  x x x

Créon. Pour preuve, la récurrence des négations totales qui parcourent son propos : « moi je ne veux pas comprendre » (l. 34) ou « moi je ne suis pas le roi, il ne faut pas que je donne l’exemple » (l. 20). D’ailleurs, les occurrences du pronom personnel d’instance « moi  » (l.) confèrent à son discours un aspect puéril : Antigone semble agir comme une enfant capricieuse qui refuse d’entendre le raisonnement des adultes ; les sept

l’intolérance religieuse ( affaire Calas ; Traité sur la tolérance). Il est question ici des persécuteurs , ainsi que de Gordon lui-même : « vos persécuteurs sont abominables …Je vous plains d’être opprimé , mais je vous plains d’être janséniste ». La récurrence de « je vous plains » confirme la double critique. En effet , Voltaire critique à la fois les Jésuites et aussi les Jansénistes. D’un côté , les Jésuites désignés par la périphrase « les oppresseurs » et de l’autre les jansénistes , dont Gordon