Rationalisme Et Sensibilité Des Lumière

......................................................... 375 > Les fondements du Romantisme : une sensibilité nouvelle ........................................................................................................................................ 377 Chapitre 2 > Le Romantisme : place aux sentiments A B .................................. 392 La sensibilité romantique La violence des passions Chapitre 3 > Le Romantisme : la contestation des règles formelles

et Furet, ont succédé à Braudel à la tête de l’Ecole. Fernand Braudel a reconnu l’existence d’un « esprit des Annales », avec une vision spécifique des rapports entre l’individu et la société. Autre point commun aux gens de la revue ; un certain rationalisme s’exprimant dans la préférence pour les méthodes quantitatives ou comparatistes. Les pères fondateurs de l’Ecole des Annales Lucien Febvre et l’ « histoire-problème » (1878-1956). Il choisit la section des Lettres à l’Ecole normale supérieure

nos sociétés monogames, il s’agit d’une personne deux fois mariée, donc d’une anomalie (dans d’autres contextes non, bien évidemment, mais là, on parle de polygamie en général). Il y a donc un sous-entendu dans cette question. Cela pour mettre en lumière la nécessité de toujours préciser (parfois avec des détails fastidieux) les conditions de félicité de l’énoncé. COMBIEN DE FOIS UN BIGAME S’EST-IL MARIE ? Cette question n’a de sens que si l’on précise le contexte socio-juridique des énoncés

grâce à l’intériorisation de l’artiste découlant de la recherche individuelle, le sublime s’oriente certes sur les sentiments, mais encore davantage sur la profondeur. En Allemagne, les dogmes de la rationnalité des Lumières ainsi que le dégoût de la guerre alimentèrent la sensibilité et la subjectivité possibles à travers l’expression artistique et littéraire. Les romantiques allemands évitent le détournement des sentiments ressentis suite aux terreurs de la guerre et du désir de révolte qui découle

est un penseur qui a articulé conceptuellement histoire, philosophie et littérature. Disons quelques mots de cette triade : la folie n’existe que dans une société, n’apparaissant qu’au travers d’une sorte d’esthétique transcendantale qui est une sensibilité historique et collective. Foucault ne veut pas faire l’éloge de la folie, mais montrer qu’un discours scientifique ne peut comprendre que ce qu’il a d’abord excommunié : le discours-sur succède à un silence-de. Le philosophe n’est pas pour autant

Notes sur le chapitre 8 de Cornette :02/03/10 « Les Lumières de la ville » dans Absolutisme et Lumières (1652-1783) Les villes qui regroupaient moins de 20% de la population du royaume furent les plus précocement et les plus profondément touchées par les transformations du siècles : progrès, croissance, enrichissements, embellissements. Au temps des « bonnes villes » de la Renaissance la cité enclose était avant tout définie par ses remparts, par ses privilèges politique et judiciaires, par ses

schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient une quelconque transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes tels que la sensibilité (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) : « Il existait deux opinions sur lesquelles se partageaient les anciens philosophes, les uns pensant que tout se produit par le destin, en sorte que ce destin apportait la force de la nécessité (Démocrite

capter, conserver, fortifier, répartir, contrôler l’énergie du Qi dans tout le corps humain. Les Chinois ont, selon JF Billeter, développé une « vision énergétique » d’un corps conçu comme un système de circulation de souffles et de fluides. Cette sensibilité « proprioceptive » nous est étrangère, à nous occidentaux qui nous représentons le corps comme un « corps-objet » et non comme un « corps propre ». Ainsi ont-ils un vocabulaire subtil pour désigner cette perception intérieure : neishi, regard intérieur

Raison occidentale A. L’étape classique de la Raison (IVème siècle avant J-C : les Grecs) B. L’étape moderne de la Raison (1453 : la Renaissance) C. L’étape contemporaine de la Raison (1970 à aujourd’hui) II. A. L’époque des Lumières a. La naissance de la physique mathématique (Galilée 1564-1642) b. La découverte philosophique de l’homme par Descartes (1596-1650) c. La science positive (Bacon 1561–1626) B. III. A. B. C. Afin de comprendre les relations

pensent que c’est la caractéristique du « grand art ». Les précurseurs privilégiaient le plastique sur le descriptif, comme Ingres qui pratiquait la « déformation », Courbet qui rendait au « sujet » sa « liberté », Seurat et Signac qui exprimaient la « lumière », etc. Il ne s’agit pas d’une invention d’un principe nouveau de la part des cubistes, mais d’un procédé déjà ancien. Cependant les artistes cubistes essaient de mettre le sujet encore plus loin, et « si la chose était possible (ils tenteraient)