Rawls Principe De Différence

la Démocratie : - pas de principes éternels de la démocratie => du fait de son histoire : démocratie directe dans l’Antiquité = pouvoir exercé par le peuple, remise en cause de la démocratie au XVIII° siècle = utopique et instable, triomphe de la démocratie au XIX° = régime représentatif + souveraineté appliquée dans la République = légitimité tirée du peuple. - 2 tensions fondatrices interdépendantes: -> Populiste : primauté de la souveraineté populaire = principe structurant du régime démocratique

et juste si la somme des bénéfices individuel est supérieure à la somme des couts individuels. Bentham définit une fonction d’utilité sociale appelé le bonheur collectif. Une des caractéristiques est qu’un individu est égal à un individu, c’est le principe démocratique. Ce critère présente un problème morale important, on peut sacrifier un individu si cela augmente le bien être collectif. A l’optimum l’utilité sociale sera maximisée quand les utilités marginales seront égalisées. MaxR=UARUB(1-R)

revanche, elles diffèrent en plusieurs points. Par exemple, l’éthique arbitre des dilemmes moraux quand la déontologie y répond. Dans la mesure où, par rapport à la notion de besoin, nous ne devons pas faire appel à la sanction pour faire respecter des principes, nous préférerons l’éthique à la déontologie. Comme nous l’avons vu, plutôt que de désir ou d’envie, nous parlerons de besoin, de même que nous préférerons l’éthique à la morale ou à la déontologie. Comment pourrions-nous alors définir primairement

mêmes principes de justice. ». Il y a donc une prise de conscience publique des règles de la justice et de la valeur commune qu'elle représente. Mais il ne s'agit pas pour Rawls d'une théorie de la justice pensée comme une vérité métaphysique que tous devraient accepter. La justice est purement procédurale : elle est définie non par son contenu doctrinal mais par les conditions qui permettent de l'élaborer : ces conditions se résument en un impératif, celui du voile d'ignorance. « Les principes de la

compte le capital environnemental Les indicateurs alternatifs L’IDH : mis en place par la Banque mondiale, il s’applique très bien aux pays en développement, mais très mal aux pays développés. Il prend en compte L’ISDH : permet de faire la différence entre le développement des femmes et des hommes. IPH-1 pays du sud, IPH-2 pays du nord (indicateur de pauvreté humaine) : 4 variables différentes. ISS : indice de santé sociale, construction assez complexe par tranche d’âge Le BIP-40 : indice

sincère la joute rhétorique. Ainsi, on ne saurait envisager un débat fructueux sans l’existence d’un paradigme de pensée dominant : pour pouvoir discuter avec des individus, encore faut-il avoir une base commune, un ensemble de convictions et de principes qu’il s’agit de questionner. S’il cohabite, au contraire, des systèmes idéologiques opposés, le débat se mue en simple affrontement, en simple proclamation d’une hiérarchie de valeurs, ce qui ne permet ni d’étudier les dynamiques des différents systèmes

égalité souveraine des Etats et persistance des inégalités de puissance, entre maintien de la paix et reconnaissance du droit à la légitime défense, entre non-ingérence dans les affaires intérieures et respect par tous des mêmes principes En premier lieu, les principes confèrent aux Etats un ensemble de droits démocratiques, susceptibles d’évoquer ceux des individus : égalité souveraine, inviolabilité des frontières, intégrité territoriale, règlement pacifique des différends, libre accès aux ressources

l’évolution globale du système capitaliste. Dans certains domaines il suit la tradition de Smith. Par ex quand il base sa théorie de la valeur sur le travail. Il est proche aussi des conceptions de Say quand au rôle de la monnaie. Livre en 1817 Principes de l’éco politique et de l’impôt. Ajoute cependant des conceptions nouvelles. En plus de ses prédécesseurs R a proposé une analyse de la répartition et de la croissance éco. Comment la valeur ajoutée est répartie entre les différents agents : pour

excessive, toute idée du Bien commun à une conception radicalement constructiviste du bien et du juste[7]. Une troisième voie semble possible ; sans doute s’agit-il d’une voie faible, plus politique que compréhensive ou substantielle, au sens de John Rawls. Mais la renonciation à la théorie classique du Bien commun ne signifie pas l’abandon de toute délimitation d’un Bien commun comme horizon éthique et politique servant à l’élaboration de consensus par paliers et par recoupements, dans l’optique d’une

Or ces critères ne sont pas év idents et v arient selon l'école de pensée à laquelle on se réfère, et probablem ent aussi selon la position qu'on occupe dans l'espace social. Si l'on adm et que la justice sociale passe par la m ise en œuv re du principe d'égalité, il apparaît que les pouv oirs publics disposent, pour réduire les inégalités, d'une gam m e d'instrum ents répondant à des logiques div erses. Il reste cependant à m esurer l'efficacité de ces politiques de redistribution en s'interrogeant