Récepteur NMDA

Suppression des pointes-ondes par les médicaments antiépileptiques efficaces contre les absences chez l’homme. Modèle d’épilepsie du lobe temporal (ELT) -Etat de mal provoqué chez le rat ou la souris par l’injection d’acide kainique (agoniste des récepteurs glutamatergiques) dans l’hippocampe. -Des crises épileptiques chroniques se développent quelques semaines plus tard. On observe alors : - Convulsions, arrêt du comportement ou stéréotypies associées a des pointes-ondes dans l’hippocampe

- Les neurones bipolaires - Les neurones multipolaires Deux en particuliers sont intéréssants les neurones unipolaires et les neurones multipolaires.Les neurones unipolaires captent les messages des récepteurs sensoriels et les communiquent au système nerveux central,ce sont donc les neurones en jeux dans la perception de l’envirronement.Les neurones multipolaires ,qui sont qualifiés de moteurs,conduisent la commande motrice(l’information venant du cerveau

de l’influence de facteurs émotionnels et culturels. 2. La réception du message : L’information provenant du stimulus douloureux suit un trajet qui part de la périphérie vers le SNC (moelle et structures supramédullaires). Ces récepteurs appelés terminaisons libres des fibres C et A δ sont appelés les nocicepteurs. Ces ont des fibres qui transmettent exclusivement les messages douloureux. Ces nocicepteurs comportent des caractéristiques anatomiques responsables de leurs

(dont à certains points du corps), la fatigue et les problèmes de sommeil. Fonction végétative : fonction physiologique contrôlée par le système neurovégétatif (contrôle des fonctions involontaires comme la circulation). Fuseau neuromusculaire : Récepteur sensorielle du muscle sensible à l’étirement. G Gadolinium: Un agent de contraste qui est administré par voie intraveineuse pendant l'IRM (imagerie par résonance magnétique) pour augmenter la visualisation des anomalies spécifiques. Ganglion

amyloïdes activation microgliale +astrocytaire, stress oxydatif, inflammation Troubles cognitifs Déficit en acetylcholine dans la MA Ach : acétylcholine Neurone cholinergique Neurone post-synaptique dendrite Ach cholinestérase Activation de récepteurs Stimulation du neurone postsynaptique axone Choline + acétate La quantité d'acétylcholine relâchée par chaque impulsion nerveuse s'amoindrit progressivement avec le dysfonctionnement neuronal, devenant éventuellement trop minime pour transmettre

notre compréhension des mécanismes biochimiques, cellulaires, moléculaires et génétiques de la plupart des maladies chroniques a connu une avancée très importante. La découverte des facteurs de croissance, des hormones et des cytokines, de leurs récepteurs, des protéines kinases et des facteurs de transcription ont fourni les bases pour comprendre le signal de transmission au niveau cellulaire. La façon dont ces signaux agissent sur les différentes maladies est ainsi devenue plus claire. Il est maintenant

soma (corps cellulaire) équipé de l’appareillage commun à toutes les cellules (noyau, mitochondries, Golgi, réticulum...) 2. Le neurone est une cellule dite polarisée (asymétrique) avec d’un côté les dendrites, qui constituent le pôle normalement récepteur. Les dendrites font 1-2 mm de longueur, et présentent une arborisation variable (maximale chez la cellule de Purkinje). L’aspect distal peut présenter des épines, sites synaptiques dont la morphologie varie au cours des processus d’apprentissage

postsynaptique à un stimulus). Le glutamate, libéré dans la terminaison présynaptique, se fixe sur les récepteurs N-méthylD-aspartate (NMDA) et non-NMDA. Ceci aboutit à l’ouverture des canaux NMDA et ainsi à l’entrée de calcium dans la région postsynaptique. Ce dernier schéma, connu pour l’hippocampe, est en partie applicable à l’amygdala mais n’a pas été définitivement établi, encore que le blocage des récepteurs NMDA dans le noyau latéral interfère avec la réaction d’effroi. L’expérience émotionnelle subjective

produite naturellement par l'organisme peut se fixer à la place de celle-ci sur les récepteurs spécifiques. 1.8 Synapse Pour passer d'un neurone à un autre, l'influx nerveux se transforme en messages chimiques qui prennent la forme d'une substance sécrétée par le neurone, le neuromédiateur. Il existe différents neuromédiateurs (la dopamine, la sérotonine, l'acétylcholine...) qui se lient à des récepteurs spécifiques. Le neuromédiateur traverse l'espace situé entre deux neurones, la synapse

schizophrénies. - En janvier 2004 un article du Scientific American estimait à propos de la schizophrénie que le blocage des récepteurs NMDA (protéine jouant un rôle essentiel dans le développement du cerveau et la cognition) pouvaient produire les symptômes de la schizophrénie, mais sans en expliquer le mécanisme. - Il est depuis reconnu que le plomb est un puissant inhibiteur du récepteur NMDA, et notamment dans l'hippocampe[30]. - Selon un article récent (2007) sur l'encéphalopathie induite par l’exposition