Redistribution Verticale Horizontale

AZIRAR -13 - i i1 i2 I Courbe d’efficacité marginale de l’investissement Interprétation de la courbe : Le taux d’intérêt i (et l’efficacité marginale de l’investissement) sont mesurés sur l’axe vertical et le volume de l’investissement, I, d’une période quelconque, sur l’axe horizontal. La courbe obtenue a une pente négative puisque les investissements sont classés par ordre de rentabilité décroissante ; plus le volume de l’investissement est élevé, plus l’efficacité marginale de l’investissement

firmes et cherchent à expliquer les processus d'innovation d'une entreprise au sein de son territoire. La hiérarchie et les relations de pouvoir. Les thèmes abordés sont l'autonomie des acteurs, les différents types d'organisation (matricielle, horizontale, pyramidale), la gestion du pouvoir, la répartition des ressources, la négociation, etc. Le lien social et identitaire, ainsi que les phénomènes culturels. L'étude de la circulation de l'information et les outils de communication. Les situations

Le mode de production keynéso-fordiste et sa crise I Qu’est ce que le mode de production keynéso-fordiste ? 1) Le fordisme : un approfondissement du taylorisme. - Taylorisme : division verticale et horizontale du travail. - Travail à la chaine. - « 5 dollars a day ». 2) La vision keynésienne de l’économie. - Le chômage est involontaire. - Remise en cause de la loi de Say . - Crise de 1929 : crise de surproduction/sous-consommation. - L’Etat doit intervenir

fonctionnement. Elle vise 3 objectifs : diversification de son portefeuille et tentation de pénétrer un nouveau segment de marché créer ou contourner un obstacle lié à la présence d’économies d’échelles par la C* horizontale approvisionnement sur ou à commercialiser elle-même ses produits par la C* verticale La C* interne repose sur la créa de l’E d’une nouvelle capacité, de prod, de R&D ou de commercialisation. B/ Les E évoluent sur une structure de marché En micro, important de classer les structures de

ce qui entraînerait une augmentation de la productivité et une création d'économies d'échelle. L'état intervient dans l'économie, il apporte des commandes publiques ; il distribue des revenus (de trasfert). De ce fait, la consommation augmente (redistribution des revenus). 1) LA CROISSANCE ECONOMIQUE ET SES LIMITES A) Xce économique : mesure et périodisation Pour mesurer la croissance économique, on a besoin d'un augmentation de la production par l'augmentation du PIB. Le PIB chaque année

raison que certains économistes (Thomas Piketty, par exemple) préconisent le passage progressif à un système de retraite par capitalisation socialisé, c'est-à-dire organisé par l'État pour assurer un objectif de redistribution horizontal (entre différents types de professions) et vertical (entre classes de revenus). Malgré la fréquence des réformes au cours des dernières années, on peut donc se demander si notre système actuel n'était pas basé sur une situation économique particulière – celle de

NATIONAUX Transferts Crédits de la Banque Centrale ETRANGERS ET INTERNATIONAUX Emprunts Aides unilatérales Fonctions de la fiscalité Allocation des ressources Financer les dépenses Révéler les préférences Influencer les décisions économiques Redistribution Equilibre macro-économique 2 1 Quelle est l’importance relatives des ressources financières du secteur public ? 3 Système fiscal Concevoir un impôt Contribuable : personne physique ou morale soumise à l’impôt Assiette fiscale Barème Exemptions

fait indépendante la fiscalité d’une nation ? I. La fiscalité constitute un mode de financement incontournable, d’une intervention pulique qui en palliant les défaillances de marché, contribue à l’efficacité économique. A. Allocation et redistribution des ressources En 1907, Vauban a tenté de centraliser l’administration fiscale française pour mettre fin au système d’affenage qui impliquait que des fermiers généraux, des acteurs privés, prélevaient des impôts pour le compte des Princes

déséquilibre soulignés plus haut, il est capital de trouver une régulation harmonieuse entre la division horizontale des activités (jusqu’où va la polyvalence et la flexibilité dans le travail ?) et la coordination verticale (jusqu’où va l’autonomie du travailleur ?). Plus la division horizontale est forte (spécialisation des métiers), plus le degré d’autonomie sera réclamé (c.à.d. une division verticale faible). Et plus cette tendance à la multicompétence (remplaçant dans les métiers de soignants qualifiés

faisant preuve de zèle par ses confrères. Trois principes sont à la base du système de Taylor : la division verticale du travail (« Tout travail intellectuel doit être enlevé à l’atelier pour être concentré dans les bureaux de planification et d’organisation. »), la division horizontale du travail, le salaire au rendement et le contrôle des temps. 1. Premier principe : la division verticale du travail. C’est la séparation entre le travail d’exécution et le travail intellectuel de conception