Redistribution Verticale Horizontale

pouvoirs publics qui composent les recettes et financent les dépenses publiques. 1.3.3 Les redistributions verticale et horizontale A partir des années 30 et plus encore dans le courant des années 50 avec le développement de l’Etat-providence, les pouvoirs publics ont pris en charge la redistribution des revenus des agents économiques par une politique sociale ambitieuse. La redistribution horizontale, dans une logique d’assurance, consiste à protéger la population des risques de la vie et à lui

dépend de la personnalité des politiques et de la situation du pays. Passelecq « la cohérence de l’exécutif exclue toute idée de partage horizontale des pouvoirs entre le Chef de l’Etat et le Gouvernement. L’unique partage possible est un partage vertical des tâches, assurant la primauté du Chef de l’Etat » I) Une verticalité affirmée A) Origine du partage vertical du pouvoir entre les deux têtes de l’exécutif Pratique gaullienne, légitimité personnelle de De Gaulle, Révision de 1962 avec élection

– l'allocation des ressources (leur affectation entre différents usages, selon les objectifs poursuivis ou à cause de défaillances de marché). la stabilisation économique (pour corriger des écarts par rapport à l'évolution souhaitée). la redistribution (entre régions, entre acteurs) qui vise à modifier la répartition des revenus. L'intervention de l'État entend favoriser l'émergence des marchés, pallier les défaillances du marché, corriger la rationalité limitée des agents économiques et

transmet. Le clivage bourgeois/prolétaires a pu être remplacé par celui Actionnaires-dirigeants/ salariés. Son graphique de classement des pratiques sociales (1979) selon le montant du capital global détenu (axe vertical) et sa composition entre capital économique et culturel (axe horizontal) reste pertinent, même s'il faut actualiser certaines données : le tennis s'est démocratisé, mais pas l'avion ni les vacances au ski (ni le polo !). - Les faits le confirment. Des inégalités dues au milieu social

l'étude des tables de mobilité sociale dont on soulignera à la fois l'intérêt et les limites. On distinguera la mobilité observée et la mobilité relative (fluidité sociale) et on mettra en évidence l'existence de flux de mobilité verticale (ascendante et descendante) et horizontale. On étudiera différents déterminants de la mobilité et de la reproduction sociale : l'évolution de la structure socioprofessionnelle, le rôle de l'école et de la famille. Acquis de première : groupe d'appartenance, groupe de

structuration ? Le travail domestique est généralement reparti selon le sexe dans un couplePLUSIEURS DIVISIONS DU TRAVAIL · Au niveau local :· La division technique du travail : division horizontale des tâches (usine)· La division sociale du travail : division verticale des tâches – hiérarchies et rapports de domination · Au niveau global :· La division technique du travail : répartition entre secteurs d’activité (primaire, secondaire, tertiaire)· La

République à toujours connue la prééminence du Président, voulue par De Gaulle qui souhaitait éviter toute dyarchie en vertu de l’article 20. La cohérence de l’exécutif exclut toute idée de partage horizontal des pouvoirs entre le Chef de l’Etat et le Gouvernement, l’unique partage possible est un partage vertical des taches, assurant la primauté du Chef de l’Etat. Ainsi nous analyserons dans un premier temps une verticalité affirmée (I), puis nous terminerons par une verticalité maintenue (II).

positionnement vertical (cible ou le positionnement) ou horizontal (secteur et la géographie) de l’entreprise. Les déclencheurs du changement : 1) L’attrait de satisfaction ou de gratification plus élevées (perçu ou réel). 2) L’insatisfaction de la situation existante 3) Le pression/ influence des leaders du milieu / entreprise. L’individu Sécurité,Habitude,Peur de risque, Inertie Exemple changement organisationnel : redéfinition des missions, changement du style de management, redistribution des rôles

système combinant/reliant tous les fonctions/activités/règles avec pour objectif de produire des biens/services et de générer un profit» *Le système managérial parfait n’existe pas, il va dépendre des systèmes économiques (mode de création et redistribution de la richesse) et sociopolitiques (histoire, valeurs, régimes gouvernementaux, etc.) en place. PS : Un système est un ensemble d’éléments interdépendants (en synergie) En constante relation avec son environnement b) Objectif du gestionnaire

cliques verticales : symbiotiques/parasitaires : Les cliques verticales comportent des membres de niveaux hiérarchiques différents. Elles sont dites symbiotiques si les membres de la clique (les subordonnés et les supérieurs) en retirent des avantages (protection, des faveurs, des informations, …). Elles sont dites parasitaires si le subordonné est le seul à bénéficier de la relation avec le supérieur. 2. Les cliques horizontales : offensives/défensives : Les cliques horizontales comptent