Reflexion Roméo Et Juliette

désenchantement a) Un idéal brisé _ anciens rêves de Jeanne qualifiés par des termes très forts « ivresse rêvée » (2) « chère attente » (2) « félicité » (3) intensité des rêves d’amour (platonique), de poésie _ Évocation Pyrame et Thisbé (=Roméo et Juliette) « les tapisseries du mur, sur la vieille légende d’amour qui enveloppait sa chambre » (5) bercée par un idéal amoureux, caractère maternel _ Associations + gradation + sonorités récurrentes « é » « d » « désillusion » (2) « différente » (2)

les fonctions du théâtre. Le théâtre montre, et même si ce qu’il montre n’est pas la réalité, mais une représentation d’une fiction qui y ressemble, il présente une version de ce que le public vit, souvent simplifiée, exagérée, propice à la réflexion. C’est bien pourquoi, au XXe siècle, Augusto Boal a fondé le « théâtre de l’opprimé », qui permet à tout le monde, à partir de quelques exercices, de jouer, qui doit être pratiqué dans tous les lieux, notamment dans les entreprises, qui permet de

pensées existentielles, le héros tragique, lui, les expose facilement et pousse ainsi l’homme à aller encore plus loin dans ses réflexions. Le héros tragique devient dés lors déconcertant et même effrayant. Mais c’est dans la marginalité que réside l’attrayant du héros tragique, devenu mythique. Prométhée, puni par les dieux grecs, Roméo et Juliette, les amants maudits ou encore Peter Pan, enfermé dans son enfance …Tous sont tragiques, mystiques et effrayants. A travers les siècles

. L23« frayeur » hyperbole confirme que mme de Clèves est amoureuse.« ne la laissa pas lgts » : verbe passé simple ; brièveté de l’acte et l’adverbe : volonté de reprendre le dessus de la situation, volonté de lui éviter la honte.« réflexion » montre que Mme de Clèves est revenue dans la raison et est sortie de l’émotion« lui donna la main» montre l’affection, la compassion et la protection que le chevalier de Guise à pour elle« pour la conduire hors de la lice » complément circonstanciel

manières, de techniques, de ressentis et même de thème abordés. Et enfin, l’art narratif, qui est l’art de conter, de raconter quelque chose, de transmettre un message explicitement ou implicitement; c’est aussi l’art de faire réfléchir, d’engager une réflexion, et même de créer un questionnement. L’architecture et l’art de l’image sont tout deux du domaine de l’esthétique, ils créent un plaisir visuel chez le spectateur ou le badaud se promenant au fil des rues, mais aussi un plaisir dit « émotionnel »

Il nous renvoie donc une image vivante de nous-mêmes. Mais dans quelle mesure peut-on affirmer comme le dramaturge Eugène Ionesco que le théâtre « rejoignant une vérité universelle », « me renvoie mon image » et qu'il est miroir ? À travers cette réflexion se pose bien sûr la question de la fidélité de cette image théâtrale par rapport à la réalité vécue par le spectateur mais aussi celle de l'universalité de cette image qui dépasse les particularités d'existences singulières. Autrement dit, le spectateur

penser qu'il existe 2 visions distinctes du theatre : la vision cathartique qui n'est plus à présenter, et le theatre dit engagé. Le theatre engagé ne fait pas passer d'émotion : il veut rompre avec l'illusion théâtrale et pousser le spectateur à la réflexion. C'est un theatre qui s'adresse à l'esprit et non au cœur. Par l'usage de commentaires, apartés, panneaux avec des maximes(règle morale, principe de conduite).Il force le spectateur a avoir un regard critique. Un des précurseur de genre, Bertolt

d'opposition quand on à que cette satisfaction de jeux … La réflexion étant un retour sur sois … Ici nous ne sommes pas dans une société qui réfléchi… Nous ne voulons pas leurs donner d'arme de refléxion car celle ci peut amener à un questionnement du système. La lecture est une activité individualiste hors nous sommes dans une société ou tout est en commun. donc lire est interdit. Car la lecture develope l'individualité et la réflexion. L'histoire permettant à l'homme de réfléchir et donc de ce

ondante rivière » Jean-Baptiste Chassignet, « A beaucoup de danger est sujette la fleur » Ronsard, « je n’ai plus que les os », 1586 Agrippa d’Aubigné, « Tout cela qui sent l’homme », Stances Montaigne, del’imagination ? Shakespeare, Roméo et Juliette Baudelaire, « Une charogne », Les Fleurs du mal Lecture de l’image: Simon Renard de Saint André, Vanités Rubens, manuel de littérature page ? Lecture cursive et activités complémentaires Molière, Dom Juan II-Objet

La période où est naît se genre théâtral englobe le règne de la reine Élisabeth du 1558–1603, d'où le nom de théâtre élisabéthain 14) L’auteur le plus connu du théâtre élisabéthain est William Shakespeare. 15) William Shakespeare écrivît Roméo et Juliette, Othello, Hamlet, Macbeth. 16) La Vie est un songe à était écrit par Calderòn de la Barca. Le trompeur de Séville et l’invité de pierre à était écrit par Tirso de Molina. B) Histoire de la représentation théâtrale 1) a) Le schéma 1 est un