Réflexions ou sentences et maximes morales

tout dire » a prévenu Voltaire. [pic] 4.2.1 L’apologue ou la fable L’apologue (du grec apologos, « récit ») est un court récit en prose ou en vers, dont on tire une instruction morale, c’est donc au sens strict un synonyme de « fable ». Plus généralement, il désigne un récit pédagogique à des fins morales, mais parfois aussi politiques ou religieuses. La fable a aussi le sens de fiction mensongère, c’est pourquoi Voltaire dans l’Ingénu pouvait s’exclamer : « Ah ! s’il nous faut des fables

pour mieux dégager les idées essentielles. I. La puissance dramatique du récit 1. Une extrême concision Le Loup et l'Agneau est un apologue, c'est à dire un récit chargé d'un enseignement d'ordre moral. L'intention didactique est exprimée par la présence d'une morale dans le premiers vers, «La raison du plus fort est toujours la meilleure », « raison » ayant ici le sens d'argument que l'on invoque pour justifier une action. Elle est affirmée de nouveau au deuxième vers : « Nous

MAXIMES D’AUJOURD’HUI DANIEL DESBIENS MAXIMES D’AUJOURD’HUI Recueil de 500 aphorismes Daniel Desbiens MAXIMES D’AUJOURD’HUI Desbiens, Daniel Éditeur Saguenay, (Qc) Canada Pour toutes communications : Daniel Desbiens Email : daniel.desbiens2@sympatico.ca ISBN : 978-0-9782270-2-9 Dépôt légal - Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2008 Dépôt légal - Bibliothèque et Archives Canada, 2008 Préface Cette traduction revue et améliorée de mon récent recueil « My contemporary maxims

qu’ils adressent à leurs amis restés au pays. L’auteur peut ainsi livrer une réflexion philosophique et une satire des mœurs de son temps sans avoir à craindre la censure dans un récit à la mode orientale que le lecteur ne manquera pas de trouver plaisant. Dans ce roman épistolaire, l’auteur que l’on considère comme un philosophe des Lumières permet au lecteur d’entrevoir un ordre universel bâti sur la raison, la réflexion et la tolérance. Dans cette lettre 30, Rica qui se trouve à Paris écrit à Ibben

mise en scène et à la morale qu’on peut en tiré. Car ce n’est pas un simple récit. Les animaux sont désignés par des mots qui commencent par une majuscule. Les animaux sont des allégorie, leurs portraits sont brossés à grands traits ce qui permet au lecteur de deviner l’innocence par la violence aveugle. Le récit aurai pu fort bien se passer d’un dialogue puisque la moralité en tête du récit annule tout suspens. Le récit n’est pas une bagatelle, il sert d’exemplum à la morale placer avant. Cette

solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). 2.2.1 Convaincre Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord après mûre réflexion. Il formule une thèse2. Il s’aide d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers

(monologue délibératif) ou collective (dialogue). .2.2.1 Convaincre Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d'analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord après mûre réflexion. II formule une thèse2. II s’aide d’arguments, c'est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers

solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). 2.2.1 Convaincre Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord après mûre réflexion. Il formule une thèse2. Il s’aide d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés : tirés de l’expérience personnelle, des lectures, des divers

personnages. Les schémas se répètent et varient quelque peu sur le même thème, sur la même question. En effet, Mme de Staël se détache un peu du reste des figures féminines du romancier en créant à travers Corinne un roman « total »*. C’est une réflexion à la fois sur la femme supérieure, sur l’art, sur l’opposition entre le Nord et le Midi, sur la société (souvent envisagée selon la place qu’elle laisse à la femme). Mme de Staël refuse que ses romans ne parlent que d’amour, mais elle veut dépeindre

comme le souhaite la Franc-Maçonnerie ... En préliminaire, je remercie le Suprême Commandeur du Grand Chapitre Français d’avoir écrit la Sagesse du Rite Français, livre de chevet où je puise de nombreux enseignements, aussi avec l’aide de cette maxime « Tout prendre au sérieux, mais rien au tragique ». Comme nous le verrons l’Homme temporel passe avec ses vanités, mais l’Esprit demeure pour la continuité. En incipit constatons que certains esprits considèrent le mythe d’HIRAM dérangeant, voire