Regalia

légende été emmené par le Saint esprit en personne qui avait pris la forme d’une colombe lors du sacre de Clovis. Par la suite le grand chambrier va donner au roi les vêtements et les objets sacrés qui vont témoigner de son rang telle que les régalia. Les douze principaux barons du royaume vont tenir la couronne ensemble puis ils vont s’écarter, a l’instar de l’archevêque-duc de Reims qui pose la couronne sur la tête du futur roi. La cérémonie se termine alors par le baiser de paix et une messe

tenant théoriquement ses droits du peuple en vertu de la lex de imperio mais doté de pouvoirs illimités. Il a la plénitude du pouvoir législatif selon l’adage : ‘’quod principi placuit legis habet vigorem’’. Il jouit d’une longue série de droits, les regalia, dont il a le monopole : mines, monnaies, propriété des cours d’eau et du rivage de la mer… Beaumanoir, pour justifier la prérogative du roi invoque la maxime : ‘’la volonté du prince fait la loi’’ qui fait partie des coutumes de Beauvaisis. A la

Sacre : Hincmar de Reims = procédure précise concernant le sacre qui commence par une promesse. L’élection : évêque élit le roi. L’onction sert à monter que le roi est choisi par Dieu Une fois ouin, on a la remise des régalias : l’anneau, le sceptre, le glaive. Tous ces régalias distinguent le roi des autres. La couronne est un attribut royal. Le ministère royal : L’autorité du Roi se distingue de tous les autres car elle est instituée 3 missions royales qui reviennent de droit au Roi :

desquels= dos quais ; desquelles = das quais ; duquel = do qual ; de laquelle = da qual instituições mudou mais = mas plus-moins = mais - menos mauvais : ma (pl mas) (accent aigu sur a) déficit : défice endommagé : danificado avantages = regalias (acquis sociaux) indispensable - indispensables : indispensável(eis)- imprescindivel(eis) brigade(s) : quartel(éis) au lieu de : ao invés de égalité-inégalité : igualdade-desigualdades cohésion : coesão licenciement : despedimento a +a(s)=

et insignes du pouvoir avec d’abord l’adoubement royale où le roi est mis en possession des éperons et de l’épée. La phase sacrée où l’archevêque donne onction avec l’huile sainte de la sainte ampoule et enfin c’est la remise des insignes royaux (regalia) - L’acclamation : le roi est couronné. Il s’assoit sur une haute chaise où il reçoit le baiser de paix de l’archevêque et des pairs. Ensuite les spectateurs l’acclament en criant « viva rex » - La messe : Les rois communient comme les

couleur bleu jacinthe. Cela renvoie à l’habit du grand prêtre du temple de Jérusalem. Celui qui est couronné est un messie, et l’héritier du grand temple de Jérusalem. Il y a une qualité « juive » dans le couronnement royal. On lui remet ensuite les régalias : objets qui définissent le contours de la souveraineté : l’anneau = mariage du roi avec Dieu, et avec son royaume ; le sceptre long = le bâton de berger de David (humilité des hommes, mais leur destin hors du commun quand ils sont protégés par la

l’origine, cette cérémonie a compris 3 moments différents, qui se sont maintenus jusqu’à Charles 10 en 1825 : * La promesse et l’élection. * L’onction. * Couronnement. A l’occasion de cette cérémonie on utilise objets spécifiques : les regalia, objets nécessaires pour faire un roi. Ils symbolisent l’autorité : * Les vêtements du sacre. * Les instruments liturgiques : un calice, un évangile, la Sante Ampoule spécifiques au sacre. * Les insignes royaux, symboles d’autorité : la

moins qualifiés, donnant lieu à une logique de japonisation ou toyotisme1 qui difficilement a du succès parmi les sociétés occidentales et en Europe, en particulier (au delà des auteurs citées, voir aussi: Burawoy, 1985 et 2001; Santos, 2004; Regalia & Regini, 2004). D’une forme plus concise, la vertigineuse dynamique dans laquelle est entrée l’économie globale, surtout pendant les deux dernières décennies, a rendu de plus en plus notoire le sens poli-morphologique du concept de globalisation

souverain dit la justice et affirme son pou-voir. La justice est en ce sens un des principaux attributs du pouvoir politique, symbolisé par exemple sous l'Ancien Régime par la « main de justice » en ivoire remise au roi lors du sacre, avec les autres regalia (les insignes royaux, entre autres, à part la main de justice : le sceptre, symbole de commandement, l'épée, symbole de la défense de l'Eglise et du royaume, les éperons, symboles du pouvoir militaire, la couronne, symbole de la souveraineté tempo-relle)

cérémonie un peu comme une humiliation puisqu’elles doivent porter la lourde traîne du manteau de Joséphine. Derrière la famille impériale, les maréchaux d’Empire. Sur la droite du tableau, les dignitaires de l’Empire (consuls et ministres) portant les régalia ou emblèmes impériaux comme le globe, le sceptre, la main de justice.Derrière Napoléon, le clergé (puisqu’il s’agit normalement d’une cérémonie religieuse) qui ne voit que le dos de Napoléon et en particulier le pape Pie VII que l’on a fait venir