Rembrandt

XIXème siècle, tels que Ramus ou Ferrat. Dans cette galerie, comme dans celle des bustes, les grands hommes du pays sont présents, de Vauvenargues à Cézanne en passant par Mirabeau. Pour les peintures les peintures qui m'ont le plus marqué sont Rembrandt, Autoportrait et Ecole de Fontainebleau, La Toilette de Vénus. Je remercie l'école de nous avoir organisé cette visite car j'ai put acquérir de nouvelle connaissance dans le domaine de l'art et surtout je vous remercie Mme, de nous avoir partagé

mauvaise cravate de soie noire . L'ombre cachait si bien le corps à partir de la ligne brune qui décrivait ce haillon , qu'un homme d' imaginations aurait pu prendre cette vieille tête pour quelque silhouette due au hasard , ou par un portrait de rembrandt , sans cadre. Les bords du chapeau qui couvraient le front du vieillard projetaient un sillon noir sur le haut du visage . Cet effet bizarre quoi que naturel , faisait ressortir , par la brusquerie du contraste , les rides blanches , les sinuosités

exclusive ». Chez Rembrandt, dont on connaît le foisonnement d’autoportraits, le cryptoportrait se maintient comme une taquinerie de l’artiste, comme pour mieux souligner l’importance que pouvait avoir un peintre à ces époques où lui seul produisait et transmettait les images de son temps et de ses contemporains. Le film que Peter Greenaway fera sur La ronde de nuit (1642) de Rembrandt montre bien cette influence du peintre. Suivant la littérature émise sur cette œuvre, Rembrandt apparaît caché, tout

Beaux-arts à Besançon. En 1839, à Paris, il suit des études de droit mais se consacre entièrement à la peinture en 1840. Courbet se rend plusieurs fois par semaine au musée du Louvre pour étudier les maîtres et s’inspirer en élève libre, il copie Rembrandt, Hals, Rubens, Caravage et Titien. Il admire les grands peintres romantiques tels que Géricault et Delacroix. Entre 1841 et 1846, il peint plusieurs autoportraits comme Le désespéré, L’homme au chien noir, L’homme blessé, L'homme à la ceinture de

L'image de l'homme de pensée est un thème qui obsède Rembrandt. On le voit clairement dans ce tableau « Le Philosophe en méditation », peint par le maître néerlandais Rembrandt et datant de 1632, exposé  au musée du Louvre. Bien avant son exposition, ce tableau fait son apparition sur le marché de l'art parisien vers le milieu du XVIIIe siècle et fait le tour des grandes collections aristocratiques. Peint sur un panneau de chêne mesurant 28 x 34 cm, ce tableau représente en perspective deux figures

oublié durant près d’un siècle, Vermeer fut redécouvert en 1866 lorsque le critique d’art Théophile Thoré-Burger lui consacra une série d'articles. Depuis cette redécouverte, la réputation de Vermeer s’est amplifiée, et il est à présent reconnu, avec Rembrandt, comme l’un des plus grands peintres du siècle d'or néerlandais.

maitres des écoles du Nord comme Van Dyck, Rubens, Vermeer nous laissent beaucoup d’autoportraits. Malgré tout Rembrandt est sans doute un des plus marquants autoportraitistes de l’histoire, il fait des centaines d’autoportrait de lui qui nous permettent de suivre son évolution, il se peint sans aucune complaisance de manière très réaliste. Rembrandt, autoportrait au chevalet. 1660 Rembrandt a peint ce tableau dans la dernière partie de sa vie, il avait à 54 ans. Il se représente sous une lumière tombante

sous-classement ; ainsi, pour définir le baroque allant de 1590 à 1650, parlera-t-on de « plein-baroque » ou de « baroque primitif », et de « classicisme » pour désigner le baroque des années 1650-1750. Les principaux chefs de file du mouvement baroque sont Rembrandt (Hollande), Rubens (Flandres) ou encore Andrea Pozzo (Italie) sans oublier Vermeer même si ce dernier est parfois classé dans les artistes « classiques » par la tradition. II- Le Baroque dans la littérature : Selon Jean Rousset, les critères de

gardiens, donne libre cours à son génie. Il rompt alors avec ses débuts impressionnistes pour donner à ses œuvres une note plus personnelle, caractérisée par ce dessin souple et cette matière picturale très dense, aux couleurs saturées. Comme Rembrandt, Vincent a besoin de regarder son propre visage dans un miroir pour le reproduire en peinture. Il a réalisé trente-cinq autoportraits qui permettent de suivre à la fois les signes de sa maladie et l'évolution de son style. Le premier a été réalisé

à travers des tableaux franchement caravagesques par des peintres qui ne le furent pratiquement pas, on ne comprend pas bien ce que Guerchin, Michiel Sweerts, Leonaert Bramer ou même Zurbaran et Velázquez ont de caravagesque. Quant à Rembrandt, l’exposition Rembrandt-Caravage d’Amsterdam, il y a quelques années, avait suffi à montrer qu’il n’y a absolument rien de commun entre les deux peintres. Le réalisme, même agrémenté d’effet luministe, n’est pas synonyme de caravagisme. Si l’on veut comprendre