Rembrandt

peintres de la contre-réforme qu'en Hollande chez l'exubérant Van Hals, le chatoyant Rembrandt ou le méditatif Vermeer. Né au XVIIe siècle en Italie, la peinture baroque se caractérise par l’emploie de couleurs riches et particulièrement profonde. La lumière et les ombres y sont travaillés avec attention, ce que l’on appelle le clair-obscur, technique qui apparait notamment dans les toiles de Vermeer ou Rembrandt. Ce travail de lumière a généralement pour but de dramatiser une scène. L’angle de

actuellement attribués avec certitude — trois autres faisant encore l’objet de discussions —, La Jeune Fille à la perle et La Laitière comptent désormais parmi les œuvres les plus célèbres de l'histoire de la peinture, et Vermeer est placé, avec Rembrandt et Frans Hals, au rang des maîtres du Siècle d'or néerlandais. Cette fortune tant critique que populaire est confirmée par l'affluence des expositions qui lui sont consacrées, et est alimentée par l'utilisation publicitaire de ses œuvres, ainsi que

Goya et donc une rupture avec les anciennes traditions mais il est toujours possible de retrouver une certaine réminiscence des portraits de Rembrandt mais surtout de Velázquez, ses deux plus grands maîtres. Ils s’expriment comme lui à travers leurs portraits même s’il s’agit de tableaux à sujet mythologique ou historique comme dans le tableau de Rembrandt, Le mariage de Samson (1638) Il s’agit de portraits très émouvants, dans lesquels la finesse psychologique est toujours représentée dans une

tous les sens, dessinés aux trois crayons sur le papier chamois, d’innombrables sourires.» page 75. La Ronde de nuit de Rembrandt. (gauche) Portrait des Régentes de l’hospice de vieillards de Frans Hals (droite) «Ça a l’air fait avec rien, reprit le peintre, pas plus moyen de découvrir le truc que dans la Ronde ou les Régentes et c’est encore plus fort comme patte que Rembrandt et que Hals. Tout y est, mais non, je vous jure.» page 93. L’Apparition de Gustave Moreau. «comme une apparition de Gustave

l'histoire des arts, sont visibles sur son tableau : - Durer (XVI siècle) qui fut le premier à réaliser un autoportrait (dont il était le seul sujet). Sa technique était d'assombrir son tableau pour attirer les regards sur un élément clair. - Rembrandt (XVIIème siècle) qui fit un autoportrait de lui-même étant plus jeune. Sa technique se basait sur le chair/obscur. On ne le voit pas très bien et la lumière vient du centre du tableau comme si c'était son visage qui illuminait l'œuvre. - Picasso

temporaires sont payantes, l'accès aux collections permanentes reste quant à lui gratuit[3]. La bâtiment ouest abrite les collections d'art européen, qui s'étendent du Moyen Âge au XIXe siècle. On peut y apprécier des chefs d'œuvre de Vermeer, Rembrandt, Monet, Van Gogh, ainsi que la seule peinture de Léonard de Vinci sur le sol américain. La partie est expose diverses réalisations de l'art moderne et contemporain : Picasso, Matisse, Jackson Pollock, Andy Warhol et Alexander Calder sont les principaux

amplifié par le coussin rouge, pieds légèrement en dedans. Accrochée à gauche une feuille d’esquisses de l’autoportrait lui-même (quatre têtes et une main tenant une pipe) et à droite, les reproductions de quatre autoportraits célèbres : Dürer, Rembrandt, Picasso, Van Gogh. DESCRIPTION ET ANALYSE ARTISTIQUE DE L’OEUVRE Aux pieds du peintre gisent pinceaux et tube de peinture. A droite, une corbeille à papier d’où s’échappe de la fumée. Cette fumée semble une référence à une anecdote autobiographique

Renaissance, lorsque l’individu devient en soi un centre d’intérêt majeur : l’humanisme. L’autoportrait est présent dans la peinture, la sculpture mais aussi dans la littérature (œuvres autobiographiques). Certains artistes en ont même réalisé plusieurs (Rembrandt au XVII, Van Gogh au XIX…). Au XXème siècle, les artistes suivent l’exemple de Vincent Van Gogh dans la volonté d’exprimer dans leur autoportrait leurs états d’âme, leur mal de vivre, misère, pauvreté, maladie… leur vie comme un livre ouvert

qui dominait la peinture italienne dans la première moitié du XVI siècle. De plus il met en place un véritable style artistique qu'on le nomme le Caravagisme et qui se diffusera et inspirera de nombreux peintres après lui , notamment Velázquez ou Rembrandt (diapo) . Ce que l'on retrouve aussi dans le style de Caravage c'est cette utilisation du clair-obscur, qui donne à ses tableaux un aspect très particulier et vite reconnaissable. Caravage a aussi tendance à ne pas faire de dessin préparatoire

miroir, observe un détail qu’il reproduit immédiatement sur la toile posée sur un chevalet face à lui. En haut à gauche, une feuille d’étude est punaisée sur le châssis. À droite, plusieurs autoportraits sont groupés ; on y reconnaît Dürer, Picasso, Rembrandt et Van Gogh. Rockwell fait ici référence à l’histoire de la représentation de soi en affirmant son héritage culturel européen, mais c’est en Américain qu’il se peint, comme en témoignent l’aigle et le blason des États-Unis au-dessus du miroir dans