Requisitoire Jean Valjean

L’indication la plus précise sur l’endroit où habite Jean Valjean se fait au travers de la fermière qui était de « l’autre côté de la ruelle » alors qu’il nous décrit juste après la façon dont les enfants buvaient le lait et le fait qu’elle « s’en répandaient sur leur tablier et dans leurs goulottes » ainsi ici par l’absence de précision volontaire sur le domicile de Jean Valjean. Il montre ici une partie de l’inexistence sociale Jean Valjean. Puis au lieu de nous donner des précisions sur les

républicaines de Paris en juin 1832. Le roman est également épique par la description des combats de l’âme : les combats de Jean Valjean entre le bien et le mal, son rachat jusqu’à son abnégation, le combat de Javert entre respect de la loi sociale et respect de la loi morale. Les Misérables est aussi un hymne à l’amour : amours déçues de Fantine et Éponine, amour paternel de Jean Valjean pour Cosette, amour partagé de Marius et Cosette, amour de l’humanité et des valeurs de justice, de liberté, d’égalité

Bonne lecture ! Jean Valjean été envoyé au bagne pour avoir volé du pain. À sa libération, son passeport jaune d'ancien forçat le rend partout suspect. Farouche et hagard, le voilà réduit à l'état de bête errante, et prêt à devenir un vrai criminel. Accueilli avec une charité évangélique par l'évêque de Digne, Mgr Myriel, il lui vole de l'argenterie. Les gendarmes l'arrêtent, mais le saint prélat le disculpe en affirmant qu'il lui avait donné ces couverts, auxquels il joint deux chandeliers

critiquant la société, composée de trois tomes et qui fut de nombreuses fois adaptée au cinéma. Victor Hugo y décrit la vie de misérables, en France, au XIXème siècle. Le récit s'organise autour de Jean Valjean, ancien forçat, depuis sa sortie de prison en 1815 jusqu'à sa mort, en 1833. Autour de Jean Valjean, apparaissent aussi les destinées d'autres misérables : Fantine, ouvrière obligée de confier sa fille, Cosette, à des inconnus, des êtres monstrueux et cruels, les Thénardier qui la traiteront comme

Jean Valjean est un mythe moderne. Il est un mythe parce qu'il porte, dans sa conscience, nous l'avons vu, la lutte éternelle du bien et du mal. Il est à la fois coupable et victime et porte dans l'intensité de ses contradictions intérieures le destin même de l'humanité, partagée entre la tentation de l'égoïsme et l'espoir du progrès. Même s'il n'agit pas au nom d'un Dieu supérieur, Hugo l'assimile à une figure christique en multipliant les références à l'Ancien et Nouveau Testament : Jean Valjean

a raconter » (incipit), je pensais réellement que la fiction était mise en route, mais le personnage principal du roman, Jean Valjean, apparait seulement dans le livre deuxième. Cette longue description de la vie et des la routine de l’évêque me paraissait passionnante sur le moment, mais j’ai rapidement remarqué que ça vie n’est d’aucune réel importance comparé à celle de Jean, Fantine et Cosette, qui sont les misérables.   Hugo évite les sous entendu lorsque l’on remarque qu’il critique un aspect

quel est le véritable prénom de Cosette (qui n’est qu’un surnom) ? Réponse : Euphrasie. Oui, Euphrasie. Qui parmi nous le savait ? C’est là tout le paradoxe des Misérables, sans doute le plus grand roman français, dont tant de personnages – Jean Valjean, Javert, Gavroche… – imprègnent profondément l’inconscient collectif (combien de fois n’a-t-on pas entendu que les époux Balkany étaient les « Thénardier des Hauts-de-Seine » ?) : on croit l’avoir lu (bien souvent ce n’était qu’une version abrégée)

écrit : Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal de mon œuvre. Cette œuvre est bâtie en cinq parties et le récit s'organise au tour de Jean Valjean, ancien forçat, depuis sa sortie de prison en 1815 jusqu'à sa mort, en 1833, dans les bras de Cosette et de Marius. Mais autour de Jean Valjean, apparaissent aussi les destinées d'autres misérables ; Fantine, ouvrière obligée de confier Cosette, sa fille, à des inconnus, les Thénardier qui la traiteront comme un esclave

INTRODUCTION : Nous nous situons au 19ème siècle, le romantisme domine la littérature française. Ce mouvement met en évidence les sentiments et est principalement basé sur la sensibilité et l’opposition à l’idéal classique. Victor Hugo est le chef de fil de ce mouvement littéraire. Lorsqu’il part en exil, il écrit de nombreux ouvrages comme « Les misérables » en 1862. Nous allons parler du portrait des Thénardier, deux personnages décrits de manière caricaturale, notamment par une description physique

l’inspecteur des routes qui laisse l’eau croupir et le bourbier se former » Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830  Le roman peut ainsi devenir l’histoire d’une rédemption: ainsi lorsque Victor Hugo écrit les Misérables (1862): le parcours de Jean Valjean se veut exemplaire: progrès moral, ascension sociale, dévouement aux autres. Site: http://lewebpedagogique.com/asphodele/2012/04/29/1s-corrige-du-bac-blanc-le-personnage-de-roman-doit-il-etre-un-modele/ Autre site: http://www.dissertationsgratuites