Rhétorique grecque

sont sots, ils méritent leur sort. o Il dit un paradoxe(Vous leur fîtes, Seigneur, / En les croquant, beaucoup d'honneur.) - l’âne o Il est naif, il s’accuse réellement et donc il est choisi comme le bouc émissaire. o Il manque de maîtrise rhétorique et donc la gradation de son accusation aboutit à son condamnation(La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense / Quelque diable aussi me poussant) ce qui est au contraire avec le comportement des autres. Son péché est minimal comparant aux celui

l’action avec des références au passé comme : « Depuis plus de six mois » au vers 1, le temps de l’Antiquité est bien marqué par des allusions mythologique : Le fleuve des enfers « L’achéron » au vers 8 ou encore au personnage Icare de la mythologie grecque. Maintenant, que le cadre spatio-temporel nous est connu, nous allons pouvoir aborder dans un premier temps les actions présentes et passées puis l’annonce du conflit à venir. Au début de l’acte, il se passe une rétrospection puisque Théramène

niveaux : des écrits de conversion ; des écrits pour les juifs ; des écrits pour les autres chrétiens (schismatiques). Il n’écrit que pour convertir au christianisme. - La littérature grecque La deuxième sophistique, critiquée par Socrate. N’est pas pareille que la première. Une conception de la rhétorique dans la littérature. Plutarque, rhéteur par excellence. Parallèle dans ses textes entre romain et grec. Il donne des exemples de ce que l’on doit faire et ce que l’on ne doit pas faire.

poésie et d´autre part la rhétorique. On croit inconciliable un art qui puise dans l´imaginaire et un art qui au contraire s´appuie sur le réel et cherche à convaincre un auditoire critique par une argumentation bien structurée. Il est vrai que le philosophe grec Aristote consacre deux ouvrages différents à chaque domaine, un à la Poétique et un à la Rhétorique pour y énoncer les bases théoriques des deux arts. Pourtant il y a un lien entre les deux: La rhétorique s´attache, selon Aristote

renvoient à cette activité « titre », « livres » et également « soigneuse lecture ». D'autre part, le choix du discours (énoncé et ancré) et donc de la proximité avec ses lecteurs s'accompagne d'une habile recherche de séduction. Les questions de rhétorique à la ligne 1 attirent l'attention ; le choix du registre comique voire burlesque perceptible grâce aux titres des oeuvres énumérés aux lignes 4 et 5 et au champ lexical représenté tout au long de l'extrait du rire « joyeux » aux lignes 3, 7 et 18

réalité, notre environnement et notre époque. Et souvent cela permet de soulever des problèmes de société comme dans Germinale ou Les Misérables de Victor Hugo. Les auteurs antiques grecques comiques comme Aristophane avec l'Assemblée des femmes, dans la Grèce cela faisait rire tout les hommes. En effet les grecques étaient sexistes. Pourtant derrière pour ce qui ressortait de l’imaginaire pour eux cela soulevé une réflexion chez le spectateur. Également la fiction est lisibles par tous, il est toujours

tradition poétique, spécialement celles d'Homère. D'où l'élaboration de gloses, scolies et paraphrases, auxquelles s'ajoutent bientôt les analyses de la rhétorique. Cet ensemble de recherches et de spéculations, dont les sophistes établirent les fondements, reçut le nom de ϕιλολογ́ια dérivé de ϕιλ́ολογος, proprement « amateur de mots ». La Rhétorique et surtout la Poétique d'Aristote peuvent être considérées comme des produits de cette première « philologie ». La doctrine y prend corps. Elle sera

La notion de genre littéraire ne fonctionnerait-elle pas d’autant mieux que l’œuvre est de mauvaise qualité Réflexion sur les genres vient de l’antiquité : Platon, Aristote La catégorisation des productions littéraires vient de la philosophie grecque ⇨ Genette, Figure II « Frontières du récit » ⇨ Platon, La République, livre III ⇨ Aristote, La Poétique /=> catégories différentes, conclusions différentes Mimésis => imitation ; Diégésis => diégèse Platon est le premier à théoriser

s'inspirent, semble-t-il, des œuvres d'Euripide, les suivantes sont de libres adaptations de légendes grecques: Médée, les Troyennes, ou encore Phèdre. Ces tragédies ont exercé une profonde influence sur le développement du théâtre ita, fr et angl, à l'époque de la Renaissance, et jusqu'au XVIIe s. Les dramaturges qui ont succédé à Sénèque ont souvent été séduits par son style raffiné, riche en figures de rhétorique, par la forme rigoureuse de son discours comme par ses choix thématiques (il affectionnait des

plus grandiose (« tristesse majestueuse ») car fondé sur la retenue des personnages, sur la rhétorique des larmes ; - préférer le récit au spectacle de la mort, surtout quand elle est atroce (mort d’Hippolyte dans Phèdre), permet de jouer avec l’imagination du spectateur, susciter sa pitié plutôt que son effroi. Vers la dissertation Pour préparer le sujet, on peut puiser dans les tragédies grecques telles que Les Troyennes et Médée d’Euripide. L’extrait d’Anouilh (abordé en classe dans le