Rupture épistémologique

science qui a pour objet le vivant, et l’histoire des sciences nous apprend que sa naissance comme science est tardive : il faut attendre le XIXme pour que la biologie se constitue comme science. Deux questions : - Quels sont ses obstacles épistémologiques ? Qu’est-ce qui a empêché sa naissance ? - Pourquoi une connaissance du vivant et non de la vie ? Qu’est-ce qui rend possible une science du vivant ? I. La connaissance du vivant et non de la vie. A proprement parler, la biologie

l’objet que nous étudions, d’user d’une méthodologie pertinente par rapport à notre problématique et d’accepter la discussion de nos résultats. Il est l'important que lors de notre recherche nous nous intéressions à la question du positionnement épistémologique du chercheur. Il me semble nécessaire de souligner que ce positionnement ne peut être indépendant de l'environnement social et de ses pressions. Mais avant de chercher il faut tout d’abord savoir ce que l’on cherche. Il est important de souligner

la recherche scientifique : a) Chercher la vérité pour éviter l'erreur et les tromperies des sens : Cf. Descartes et son Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences (1637) et la tradition épistémologique autant que métaphysique poursuivie par Malebranche dans La recherche de la vérité où l'on traite de l'esprit de l'homme et de l'usage qu'il en doit faire pour éviter l'erreur dans les sciences (1712) La recherche de la vérité est d'abord orientée

scientifiques sont des "théories matérialisées" "phénoménotechnique"). Et donc toute théorie est une pratique 2. toute étude épistémologique doit être historique 3. il existe une double discontinuité : d'une part entre le sens commun et les théories scientifiques ; d'autre part entre les théories scientifiques qui se succèdent au cours de l'histoire. C'est la fameuse "rupture épistémologique" 4. aucune philosophie (traditionnelle), prise individuellement (ni l'empirisme ni le rationalisme, ni le matérialisme

mais aussi de la représentation du corps. Cette représentation est aussi influé par la science. Lors de cette première partie en considérant ces paramètres nous allons donc voir d'un point de vue historique, quels sont les apports des réflexions épistémologiques ou des sciences sur l'EP, ce qu'elle en a fait et ce qu'elle peut en faire. Globalemment en ce qui concerne les représentations du corps, on peut remarquer, qu’un passage s’est opéré d’un corps abstrait et utilitaire, anatomique et physiologique

préciser le contenu épistémologique du paysage, qui resta flou et polysémique. Ceci eut deux conséquences majeures : D’une part la géomorphologie, dominée par la personnalité du gendre de Vidal de La Blache Emannuel de Martonne, « confisqua » le terme qu’elle contribua à « appauvrir » et même à « évacuer », selon J-R Pitte, qui signifie par là que le paysage n’en vint plus qu’à désigner le milieu naturel. D’autre part et dans un second temps, avec le renouveau épistémologique et les débats houleux

considérés comme des processus similaires dans leur façon de rejeter les hommes hors de ce que la société moderne détient de plus enviable : la sphère des biens et des privilèges économiques. Cette première forme de l'exclusion consiste donc bien en une rupture du lien économique qui attache fidèlement ou normati­vement les acteurs sociaux au modèle de la société. Les autres formes de l'exclusion soulignent de la même façon un rejet, hors des autres représentations normalisantes de la société moderne. Il

des faits avant d'aborder le reste de la démarche. Aujourd'hui toutes les sociétés ont été étudiées. Nous sommes dans une époque où le découpage disciplinaire est en train de s'estomper. * La rupture épistémologique Entre chaque étape, il est nécessaire d'effectuer cette rupture épistémologique. Réflexion sur le bien-fondé de ce qu'on fait, de ce qu'on trouve, de la problématique que l'on a adoptée. Doute systématique et méthodique par rapport à tout ce qu'on fait. On doit faire abstraction

DUPLESSIS Pascal. « L’objet d’étude des didactiques et leurs trois heuristiques :épistémologique, psychologique et praxéologique ». Séminaire du GRCDI, Didactique et culture informationnelle : de quoi parlons-nous ? 14 septembre 2007. A paraître L’objet d’étude des didactiques et leurs trois heuristiques : épistémologique, psychologique et praxéologique Pascal Duplessis IUFM des Pays de la Loire GRCDI – séminaire du 14 septembre 2007 « Didactiques et culture informationnelle : de quoi

Popper annonce ainsi que ce n’est pas une science, mais une pseudoscience. On se pose alors la question : qu’est ce qui différencie une science d’une pseudoscience ? Et quelles en sont les limites ? Gaston Bachelard va lui, définir des obstacles épistémologiques, un concept désignant ce qui vient se placer entre le désir de connaître du scientifique et l'objet qu'il étudie. Cet obstacle l'induit en erreur quant à ce qu'il croit pouvoir savoir du phénomène en question. Il est pour Bachelard interne à