Récit Tragique

occupant une place à part dans l'ensemble de la production romanesque de Marguerite Duras, le récit de "Moderato Cantabile", étroitement lié aux thèmes exploités par la romancière, se situe "par les techniques utilisés et les recherches particulières qu'[il révèle], un peu à l'écart de cette production". Une femme, un homme, un enfant et de l'alcool sont à première vue, les ingrédients habituels des récits durassiens. Cependant, l'œuvre nous attire par sa composition savante autour d' "un réc it mince

locuteurs (auteur, personnages) et plusieurs destinataires (public, personnages), permet de jouer sur des décalages d'informations: dans un quiproquo comique, dans un malentendu tragique, le spectateur sait ce que les personnages ignorent. C'est un ressort essentiel de l'intérêt dramatique. La structure dramatique Comme un récit, une pièce de théâtre développe une action transformatrice, qui conduit d'un état initial à un état final. Au théâtre, on distingue traditionnellement trois phases successives

plus fort. Le thème touche à l’injustice. I) La teneur de la fable : 1) la préambule La fable s’ouvre sur une référence historique, « Thèbes » qui rappelle les récits mythologiques, « Thèbes » est ici ravagée par la peste et on recherche le coupable de cette épidémie. La peste est nommée, le registre est dramatique voire tragique, les allitérations en « R » accentuent cette impression de fatalité, de mort par l’épidémie: « répand, terreur, guerre ». Nous pouvons souligner les rimes masculines

exprime un besoin nécessaire de visionner la fin de son romain ou du moins une idée de fin. Cette idée de finalité du roman va le guider tout au long de l’écriture. Il ne se détournera pas dans son idée originelle afin de créer une cohérence dans le récit. L’idée de finalité est donc nécessaire pour l‘auteur. L’idée de finalité, qui va guider le roman, est visible tout au long de l’œuvre. De nombreux romans, par le biais du narrateur, des personnages, ou de signes, promulguent des avertissements pour

Lecture analytique : « La jeune veuve » de Jean de La Fontaine : Introduction : La Fontaine, fabuliste du 17ème siècle, s’est inspiré des fabulistes de l’Antiquité Phèdre et Esope mais aussi de certains récits orientaux. Le but des fables est de fournir des éléments de réflexion. Le récepteur des visées didactiques est le dauphin du roi, c’est donc à un enfant appelé à gouverner plus tard que La Fontaine entend, grâce au monde animal, fournir une vision sur la morale, la justice. Cette dimension

comme dans Le Cid de Corneille en 1636. * Le siècle du classicisme voit l’apogée d’un genre tragique qui devient extrêmement codifié. * En vers * Cinq actes * Présente des personnages de haut rang * S’inspire de sujets antiques (Cinna, Rodogune de Corneille), mythologiques (Phèdre, Andromaque, Bérénice de Racine), biblique (Esther, Athalie de Racine). * Le sujet tragique par excellence est le conflit de la passion avec la raison. Au XIXème siècle : * La tragédie

doute pas nécessaire de démontrer la cohérence du corpus : un auteur unique, une circonstance historique très délimitée, une conception et une manifestation de la poésie explicites. L’intérêt de la confrontation entre les deux textes de Hugo - le récit en prose, le poème - apparaît d’emblée. La comparaison entre les deux pages permet en effet de travailler sur deux versions d’un même épisode douloureux, de confronter deux moyens d’expression différents, de travailler sur la spécificité de chacun

sina linea » : Pas un jour sans une ligne (phrase de Zola) Genres littéraires : roman, nouvelle, apologue, théâtre, poésie, genre biographique, genre épistolaire, l’essai, genre documentaire. Roman : histoire feinte écrite en prose. Apologue : récit généralement court ayant une visée argumentative. Genre épistolaire : roman par lettres. Mouvements littéraires : L’Humanisme XVIe Baroque XVIe et XVIIe Classicisme

NON * Étranger au tragique | NON * Ni frayeur, ni pitié | Pour Aristote, le meilleur retournement est celui de l’homme intermédiaire qui passe du bonheur au malheur. L’ homme « intermédiaire » doit être bon ou posséder des qualités afin que son malheur ne soit pas déclenché par le vice, mais par une erreur. Il ne peut être totalement juste ou totalement méchant car le public ne pourrait s’identifier à lui ; il se situe donc entre les deux. L’erreur ou la faute tragique montre donc que le personnage

fond de réalité. Or, elle n’apparaît pas forcément comme la plus susceptible de nous renseigner sur ce que nous apprend le mythe. C’est pourquoi il faudrait davantage s’attarder sur celle propre aux mythes grecs par exemple qui se définit comme un récit populaire ou littéraire mettant en scène des êtres surhumains et des actions remarquables. Aussi, il serait intéressant de s’interroger sur le fait de savoir si le mythe n’a que pour fonction la narration d’une histoire quelconque ou s’il peut avoir