Réduire La Morale Au Moeurs

protestants. Il déplore que la conquête de l'Amérique apporte des souffrances à ceux qu'on tente de réduire en esclavage et il est horrifié par la torture infligées aux indiens. Il se refuse à toute spéculation sur sa nature parce que le « moi » se manifeste par ses contradictions et ses variations. Il pense que le mariage est une nécessité à l'éducation des enfants. Il reconnaît que les lois, les morales et les religions des différentes cultures, souvent diverses et éloignées ont toutes quelque fondement

les systèmes de règle moral et religieux. Ces systèmes ne sont pas identiques mais ils entretiennent une relation étroite. I) Le droit et la morale Moral : pas de véritable définition. C'est la science du bien et du mal. Ensemble de règles de conduite qui sont considérées comme bonnes. (exemple : il ne faut pas tuer quelqu'un). La morale édicte également des normes de comportement. Elle a pour objet de dire ce qui est bien et ce qui est mal. A la différence du droit, a morale relève du for intérieur

représenterait pour lui un grand danger. Enfermée dans un carcan de fausses vérités, la victime est à ce point manipulée, qu’elle a l’impression d’user encore de son libre arbitre. Cette tutelle est funeste pour Kant, qui exhorte l’homme à ne pas se réduire lui-même en esclavage, en déléguant son pouvoir de juger : « Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! » Le second piège est plus subtil, dans la mesure où il ne s’agit même plus d’être trompé par autrui, mais d’être

hommes s'entendent sur des valeurs universelles, il y a risques de contradiction, des résultats différents, car chacun peut trouver le droit naturel en raisonnant. D'où une démarche individuelle. De plus tous les individus sont influencés par une morale, un pays, une époque. Le contenu du droit naturel est incertain: on peut se demander s'il existe dans certaines matières des fondements ressentis de manière identique dans tous les temps et dans tous les lieux. Exemple: donner la mort à quelqu'un

des désirs car ceux-ci sont justement ce qui ne cesse de venir perturber tout « repos » dans un état déterminé. En ce sens, le bonheur serait plutôt la conséquence d’une maîtrise des inclinations, voire d’une faculté (souvent dite morale) de supprimer ou de réduire au silence les désirs qui viendraient troubler cette « paix ». Mais la possibilité d’exercer un empire sur tous nos désirs ne semble pas moins hors de portée que celle de tous les satisfaire. La problématique du bonheur se situe au

atteinte à la cohésion sociale et aux bonnes mœurs mais aussi par la répression de l’atteinte à la sûreté de l’Etat. Les articles 18, 103 en sont très illustrateurs à côté des articles 87, 88, 89. En effet l’article 18 dit qu’ « Aucune publication spécialisée ou d’information générale ne doit comporter ni illustration, ni récit, ni information ou insertion qui porte atteinte à la vie privée du citoyen ou contraire à la morale publique, aux bonnes mœurs et à l’éthique civique ou faire l’apologie

du contexte, il faut signaler, que cette démarche a fait l’objet d’une pluie de critiques autant au niveau de l’occident qu’entre les chercheurs africains eux-mêmes. La principale critique formulée en ce sens est que qu’elle est susceptible de réduire les représentations et les pratiques de management à à des formes de particularismes qui ne rendent pas suffisamment compte des aspects universels qu’on retrouve au-delà des variations et des singularités temporelles et/ou spatiales. D’où la position

capitaliste. Il s’agit notamment de Adam SMITH, Jean Baptiste SAY et John Stuart MILL.   1- Adam SMITH : la père de l’économie moderne et tête de file du courant des classiques. Hormis son ouvrage philosophique de 1759 (« théorie des sentiments moraux »), Il publie en 1776 un célèbre ouvrage intitulé « recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » ou «  richesse des nations ». Il entre dans le débat sur la valeur,  l’origine de la croissance économique et du développement.

de l’expansion de l’Europe vers le Nouveau Monde. Le texte est un extrait du chapitre « Sur les Cannibales », chapitre dans lequel sont exposées la relativité des jugements et la critique de l’ethnocentrisme européen. L’auteur observe, compare les moeurs et tente d’acquérir une objectivité optimale et de se libérer de ses préjugés. Ainsi, lorsque l’on est sensible aux barbaries qui sévissent dans son pays, quel regard peut-on porter sur celles que l’on considère comme le fait des barbares ? Le débat

importe l'objet de la menace (menace de mort, coups et blessures...). II/ Le caractère illégitime de la violence Menace ne doit pas être autorisée par le droit, 2 types de menace sont légitimes: première hypothèse via article 1114 du CC, autorité moral des ascendants est légitime. La seconde est la menace d'exercer un droit, exemple la menace de grève ou d'une action en justice. Il doit y avoir un rapport direct entre le contrat conclu et le droit que l'on a menacé d'exercé, donc la menace ne doit