Réflexion Le Misanthrope

et revendique l'amour d'un homme pour les bêtes (72). Morel est recherché par Schölscher dubitatif, mitigé... Ch 12 Ornando, star des médias américains, est lui aussi blessé par Morel. Le gouverneur s'exprime sur Morel (75) : Une espèce de fou misanthrope a décidé de changer d'espèce, par dégoût de l'Humanité. Ses supérieurs parisiens expriment un état de mauvaise conscience à propos de la colonisation. Le Gouverneur s'interroge au cas où les évènements dégénèreraient : soit il s'agit d'un véritable

célèbre séducteur et sa fin tragique, il dénonce à travers cette intrigue les travers de la société de l’époque, provoquant ainsi la morale : la preuve est que certains passages furent censurés. En effet, avec Dom Juan, Molière développe surtout une réflexion sur le libertinage et l’amour au sens plus général, ses codifications, l’hypocrisie propre à certaines personnes, les tromperies. Mais également la quête d’un séducteur libre et pourtant condamné à l’insatisfaction perpétuelle, ce qui renvoie également

cités interdites » que les chauffeurs de bus n’osent plus fréquenter… C’est assez pour que l’on s’interroge sur l’évolution de nos sociétés, sur les modalités des conditions sociales d’existence. Et nous ne pouvons guère faire l’économie d’une réflexion sur ce qui est désirable, sur la société où il ferait bon vivre : une société dite policée. Mais si l’on demande ce qu’est qu’une société policée, on saura qu’elle appelle la mise en oeuvre d’une construction politique qui rende possible la paix

difficultés rencontrées, les maladies, le difficile accès aux secours, etc. Ensuite sont développées des réflexions sur quelques évènements marquants du voyage : les Jésuites en Uruguay, la déstabilisation des Patagons, ou encore la question des « sauvages ». Enfin, Aotourou est introduit ; B rappelle qu’il s’agit d’un Tahitien qui a accompagné Bougainville à Paris, permettant une véritable réflexion sur les différences de mœurs entre sociétés. Le Chapitre I se clôt sur la levée du brouillard, qui permet

LECTURE 7 La structure du roman Des influences esthétiques diverses Le romantisme Le réalisme Le roman noir Le gothique Une analyse de l’amour Du réalisme au naturalisme : Balzac anthropologue ? Une étude des mœurs Une réflexion sociale Une réflexion politique PISTES DE RÉFLEXION 11 POUR ALLER PLUS LOIN 12 Rendez-vous sur lePetitLittéraire.fr et découvrez :   plus de 1200 analyses   claires et synthétiques   téléchargeables en 30 secondes   à imprimer chez soi Honoré de Balzac Écrivain français

effet sous nos yeux deux vies que tout oppose, en fonction de causes initiales radicalement opposées. D'un côté le clochard, le caporal à la | | |Croix de fer, le dirigeant du parti national-socialiste fan de l'opéra wagnérien Rienzi, le dictateur misanthrope dément dont le romancier développe une biographie dûment | | |renseignée. De l'autre, Adolf H., jeune homme soigné par Freud pour ses troubles, peintre de l'école surréaliste du légendaire Montparnasse parisien, ardent défenseur du |

Caractères de Th, philosophe grec, disciple d’Aristote et son successeur à la tête du Lycée, et présente son propre ouvrage comme un simple appendice > 420 « remarques » qui s’apparentent à un recueil de maximes, pensées et réflexions, dont le grand modèle semble être les Maximes de La Rochefoucauld, publiées une quinzaine d’années auparavant. Il n’y a alors que 12 portraits : ceux-ci seront considérablement augmentés par la suite (IV) et la forme achevée

joseph-ngouwaSOMMAIRE 1. RÉSUMÉ 4 2. ÉTUDE DES PERSONNAGES 6 Jean-Jacques Rousseau Thérèse Levasseur Mme de Warens Les « comploteurs » 3. CLÉS DE LECTURE 7 Promenade et rêverie La solitude de l’auteur Le rapport à la nature Le travail autobiographique 4. PISTES DE RÉFLEXION 10 5. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES 11 Licence cant-13-593079-LIQ1046008 accordée le 24 mars 2023 à joseph-ngouwa3 LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE JEAN-JACQUES ROUSSEAU Rédigée par Agnès Fleury, licenciée en Histoire (Paris I) Jean-Jacques

idées. La double-énonciation, qui est sans cesse présente au théâtre, accentue ce procédé ; le personnage, sur scène, ne s´adresse pas seulement aux autres personnages, mais également aux spectateurs. Les monologues et apartés permettent aussi une réflexion plus profonde du personnage car il se retrouve face à lui même et au public. Ils sont ainsi l´occasion pour l´auteur de préciser sa critique, en incluant ses opinions dans le discours des on personnage. Cela est parfaitement illustré dans le monologue

tient sa saveur de son intrigue et de son action dramatique à peine esquissées qui lui permettent d'être direct et efficace. Il va plus loin en écrivant que si l'on croit qu'il y ait beaucoup plus d'hommes capables de faire Pourceaugnac que le Misanthrope, on se trompe »( Œuvres, Tome IV, Paris, Robert Laffont, page 1287). Il souligne et va ainsi dans le sens de Jean Claude Aubailly, que la farce va droit au but et vise nos sens pour provoquer cette « chaleur au dépend de la vérité et de la bienséance »