Réflexions Sur L éducation Kant

une éducation artistique : on peut apprendre a mieux voir et mieux entendre. La sensibilité se développe et peut apprendre à être raffiné.   Il y a bien des normes du gout qui permettent de hiérarchiser les œuvres  d’art. Peut on trouver des normes du gout à partir du sentiment ?   Kant hérite en quelque sorte du problème de Hume sur le gout. La première partie de "la faculté de juger" est une réflexion sur les gouts. Le début de la première partie s'intitule "Analytique du beau". Kant va essayer

penchants de l’enfant; le petit garçon qui jette des pierres dans le torrent et admire les ronds qui se forment dans l’eau, admire en fait une œuvre où il bénéficie du spectacle de sa propre activité. Pascal: «  Penser fait la grandeur de l'homme. » Kant: «  Le fait de dire « je » nous élève au dessus de toutes les créatures vivantes ». Conscience psychologique: Immédiate: Lien avec le monde ( se saisir comme appartenant au monde). Prendre conscience de son monde intérieur. Juger mon

vraie chaque fois que je l'a prononce ou que je l'a conçois en mon esprit" Méditations métaphysiques. Le cogito est souvent associé à l'idée de l'autonomie de la conscience. Kant lui disait qu'il "doit nécessairement pouvoir accompagner toutes mes représentations" et qu'il qualifie le transcendal. En effet, le transcendal chez kant signifie que toute connaissance qui, en général, s'occupe moins de ce que sont les objets en eux-mêmes que des règles d'après lesquelles se forment les représentations que

Fichte qui gardera le plus fidèlement l'idée d'une tension constitutive de l'homme. Le point de vue adopté par sa méthode bouleverse considérablement les cadres de la philosophie critique, mais, à l'intérieur d'une méditation trinitaire (que refusait Kant), il retrouve, avec une nécessité absolue (plus proche, dans ce sens, du monisme spinoziste) cette fois, l'idée d'une eschatologie, tension indéfinie du Moi fini vers le Moi absolu, fin dernière de l'Histoire. En tant que finalité active1, la finalité

comment la pensée d’un homme pourrait-elle être libre si elle n’a pas été éduquée ? L’histoire de la liberté de penser commence donc sous le joug des maîtres qui répètent la tradition, peu soucieux d’originalité. C’est le paradoxe que note bien Kant dans ses réflexions sur l’éducation : l’éducation à la liberté passe par la contrainte, l’autonomie repose d’abord sur une longue phase de conditionnement. L’homme est un animal qui a besoin d’un maître. C’est le 2e paradoxe, le paradoxe de la liberté et de

vous reporter à ces extraits sous la rubrique " Textes et citations ". Voilà les premières indications que nous pouvons vous donner en espérant qu'elles vous seront utiles. N'hésitez pas à nous contacter pour nous faire part de l'évolution de votre réflexion. Bon courage Qu'est-ce que le doute cartésien ? Il s'agit là simplement d'une question un peu technique d'histoire de la philosophie. Au sens courant douter consiste à remettre en cause une affirmation ou plutôt sa vérité au nom d'un manque de

ne pouvons pas atteindre car une résistance nous y oppose. Au sens plus large que la théorie de Freud, l'inconscient est l'ensemble de phénomènes psychiques inaccessibles à la conscience mais qui influe largement sur elle. La morale, elle, est la réflexion sur nos pratiques, nos actes, à savoir s'ils sont bien ou mal. Elle a pour valeur le bien, et donc, on appelle la « morale », les règles prétendant à nous y rapprocher. La question est donc, ici, de savoir si cette morale à la possibilité de solliciter

semblent contrevenir à cette idée ; - art n’est pas sérieux, il n’est qu’un délassement de l’esprit, - il n’est qu’un luxe qui amollit les coeurs (allusion Rousseau) - Et même s’il n’amollit pas les coeurs, et a un but sérieux (➝ cf Schiller, éducation esthétique de l’homme = art a un but; il sert d’intermédiaire entre raison et sensibilité et permet ainsi de concilier ces deux poles apparemment inconciliables de la nature humaine) = même alors, souligne Hegel, on ne peut pas dire que l’art

acquerrons des connaissances, tel que la culture, l'éducation, l'enseignement, … Ainsi nous nous demandons si les sens peuvent nous fournir à eux seules des connaissances, ou alors ils ont besoins d'une aide extérieure . Nous mènerons notre réflexion à travers trois idées. Tout d'abord nous présenterons dans quelles mesures et de quelles manières les sens nous fournissent nos connaissances. Ensuite nous montrerons que les sens ne suffisent pas, que nos connaissances proviennent également de nos

questions sensibles comme la peine de mort, l'euthanasie, la protection de l'environnement, les mœurs sexuelles etc. Toutes ces opinions sont guidées par une certaine idée du bien et du mal, par des convictions intimes, héritées certes de notre éducation, de notre milieu, mais que nous avons fait nôtres. L'ensemble de ces opinions, que nous estimons sincèrement justifiées, qui guident et structurent notre vie, constitue une philosophie. A ce titre, tout homme est philosophe et fait de la philosophie