Résumé Les Contemplations

musique elle-même bouleversante. En écoutant cette musique, plusieurs sensations se dégagent notamment celle de la mort : ainsi il est difficile de ne pas être ému par une telle puissance émotionnelle. « La musique est la langue des émotions » : Kant résume très bien cette musique ainsi que la musique en général. On peut dire que l’art éveille des sentiments endormis : il agit en remuant dans leur profondeur et leur richesse les sentiments de l’âme humaine. Cependant ceci n’est pas le cas de l’art abstrait

jamais être comblé, à l'image du tonneau des Danaïdes. Cela crée un état passionnel où rien d'autre ne compte mais où ce qui est compté ne suffit pas. 3. La vertu contre le plaisir S'en remettre aux plaisirs, c'est aussi prendre le risque, comme le résume Sénèque dans De la vie heureuse, de dépendre du cours des choses extérieures, puisqu'il faut que ce dernier nous soit toujours favorable. Souhaiter accumuler les signes extérieurs de réussite et de « bonheur » par exemple, fait dépendre de l'opinion

intimes du poète, à la Renaissance, comme par exemple chez Pierre de Ronsard, qui exacerbe sa souffrance liée à son amour dans ses Sonnets pour Hélène. Plus récemment, à l'époque du Romantisme, Victor Hugo nous livre son cœur dans son recueil Les Contemplations, faisant part de ses amours de jeunesse comme de ses peines les plus noires. Alfred de Musset également, expriment son admiration pour le monde qui l'entoure et les femmes. Ce lyrisme est donc tout à fait sensé, le lecteur peut s’identifier à

question. Il est donc souhaitable que cette phase de problématisation adopte la forme interrogative. Cela m’évitera de tomber dans plusieurs pièges : répondre au sujet avant de l’avoir traité, et reformuler l’évidence avant d’en être certain résumer ma pensée avant de l’avoir développée, ce qui m’empêchera de la prouver. Cette partie doit plonger le lecteur dans le doute et inciter à réfléchir. Après l’avoir lu, il doit être convaincu que cette question, évidente ou sans intérêt au début, remet

effets qui produisent tous les événements sur la scène du Monde. • Le Monde est donc, quant aux objets qui le constituent et aux événements qui se passent en son sein, la manifestation de la Raison interne à la matière elle-même, à la Nature. En résumé, les stoïciens disent que le Monde, la matière, est animé par l'action causale d'une Raison/Nature universelle qui est un Feu (énergie qui organise) Intelligent (selon une logique, une raison) et Artiste (pour le bien et l'harmonie du tout).

» L’art du génie doit paraitre naturel, il doit paraître couler naturellement, le génie parait naturel alors qu’il est travaillé. La critique de la faculté de juger aboutit à une triple émancipation : - Emancipation de l’amateur qui dans sa contemplation de la beauté ne sera guidé par aucun canon, aucune règle, le goût de s’apprend pas. - Emancipation du créateur (le génie), l’artiste sera un créateur solitaire et original qui cherchera sa liberté dans les paysages de la nature (romantisme),

Édité pour la première fois en 1829 SOMMAIRE I- Victor Hugo, romancier de génie II- Le dernier jour d'un condamné, œuvre réaliste et fantastique III- Contexte historique du XIXème siècle IV- Portraits des personnages principaux V- Résumé de l'histoire VI- Présentation des différents thèmes abordés dans l'ouvrage VII- Étude d'un extrait de l’œuvre VIII- Avis personnel à propos du dernier jour d'un condamné I- Victor Hugo, romancier de génie Victor Hugo naît en 1802 en

angoisse se cristallise tout particulièrement sur Don Salluste : « Ce marquis est pour moi comme le mauvais ange » « Cet homme redoutable » (acte II, sc. 1). Elle souffre de l'étiquette qui règne dans ce palais où elle se sent prisonnière, ce que résume parfaitement l'antithèse qui organise le vers 129 : « Aujourd'hui je suis reine. Autrefois j'étais libre. » Le tableau représentant une figure de sainte, « Santa Maria Esclava », mentionné dans le discours didascale au début de l'acte II, propose

son procès ‘documents officiels’ (l. 18) en les citant textuellement comme le montre l’utilisation des guillemets ‘« travaillait pour vivre, et volait »’ (l. 19). Le raisonnement de l’auteur est donc un raisonnement par induction qui pourrait se résumer de la manière suivante : ce qui est vrai chez Cosette l’est aussi chez les autres enfants dans la même situation, Dumolard en est la preuve. Et pour illustrer ce raisonnement, il nous montre la déchéance de Cosette : ‘elle [sa mère] n’eût point reconnu

permet de distinguer différents modes de connaissances et degrés d'être. L'allégorie de la caverne vise, elle, à décrire le passage, que doit effectuer l'âme, d'un niveau de connaissance à un autre, par le moyen de l'éducation. On peut alors résumer l'allégorie comme suit : l'âme, d'abord plongée dans l'ignorance (vie dans la caverne), franchit progressivement différentes étapes avant de parvenir à la connaissance (sortie de la caverne). Enfin, au terme de son éducation, le philosophe doit tenter