Rôles Maîtres Valets

Commentaire littéraireI. Un retournement de situationA- La fin de l'illusion- Don Salluste rappelle à Ruy Blas son statut social => "maître" => ironie (inversion volontaire des rôles)- Don Salluste est explicite : "De vous autres, mon cher, on fait tout ce qu'on veut."- "Je vous ai fait seigneur" -> Ruy Blas subit l'action- Costumes : Don Salluste en laquais et Ruy Blas en Premier ministre. L'illusion est rompue à la fin de la scène : Ruy Blas traîne aux pieds de Don Salluste.- Don Salluste

Résumé - la fable Deux maîtres, Iphicrate et Euphrosine échouent après un naufrage dans une île gouvernée par des esclaves fugitifs. Les lois de cette nouvelle république imposent aux esclaves de devenir maîtres et aux maîtres de devenir esclaves dans un but de rééducation de ces derniers. Trivelin, responsable de l’île et garant de ses lois, explique le processus de rééducation des naufragés. Les maîtres vont perdre leurs noms et leurs habits qu’ils doivent céder à leur valet et servante, Arlequin

paroles d'un autre personnage, à savoir Maître Blazius) + texte D (la voix off brosse le double portrait des dictateurs). − paragraphe 2 : La présentation du cadre saptio-temporel • rôle rempli par la didascalie initiale : textes A, B et C • rôle rempli par la voix off qui joue un rôle de prologue : texte D (« Quelque part dans le monde »). − paragraphe 3 : La présentation des enjeux / thèmes / sujets de l'intrigue à venir • Rapports maîtres / valets et / ou intrigue amoureuse : textes A –

et comédiennes ayant créé les rôles | Personnages | Comédien ou comédienne | Harpagon, père de Cléante et d'Élise, et amoureux de Mariane | Du Croisy | Mariane, fille d'Anselme, amante de Cléante, aimée d'Harpagon, sœur de Valère | Mlle de Brie | Cléante, fils d'Harpagon | | Valère, amoureux d'Elise, fils de Anselme | | Elise, fille d'Harpagon | | Anselme, père de Valère et de Mariane | Baron | Frosine, femme d'intrigue | Madeleine Béjart | Maître Simon, courtier | René Berthelot

étapes du renversement des rôles ?Dans la scène 2, on assiste à trois étapes du renversement des rôles entre maîtres et valets qui sont :· Iphicrate est dépouillé de son épée, symbole de son pouvoir, par ordre de Trivelin et il est contraint de la céder à Arlequin ( p. 16, l. 5-7) « Prenez cette épée, mon camarade, elle est à vous ». Notons qu’Iphicrate avait perdu son gourdin dans la chaloupe (scène 1). Le gourdin et l’épée ces objets symboliques des rapports entre maître et esclave est perdu.· L’échange

EXTRAIT 1 Dom Juan , Molière Acte I, Sc 1 lectures analytiques 4 questions : 1. A quoi sert l’éloge du tabac ? 2. En quoi est-ce une scène d’exposition ? 3. Quel est le rapport entre maîtres et valets dans cette scène ? 4. Est-ce une scène comique ou tragique ? I-Eléments d’introduction : Faites des phrases courtes et soyez précis. Conditions de parution : Dom Juan = Cette pièce a été jouée en 1665 après les déboires de

notre auteur excelle : la peinture de la psychologie amoureuse, qui, nous le verrons, ne saurait être réduite à un badinage futile, ainsi que l'on définissait le marivaudage *. Cette première approche sera le marchepied pour l'étude des relations maîtres-serviteurs. * Marivaudage : prenons la pensée même de son créateur : J'ai guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer, et chacune de mes comédies a pour objet de le faire sortir

interlocuteurs et les spectateurs entendent sans qu’il soit formulé et vise les motivations et les intentions cachées. Pour conclure, dans l’analyse linguistique on doit prendre en compte des termes censés définir l’univers du théâtre: rôles, scène d’énonciation, acteurs du discours, mise en scène, même acte de langage. Le théâtre peut être étudié sur deux plans : comme étude de la parole telle qu’elle se déroule sur la scène, nommée énonciation théâtrale ou comme parole qui se donne en

l'église.     L'argument est repris au paragraphe 4 et utilisé pour justifier le seul type de soumission que Diderot reconnaît.     C'est parce que l'homme ne s'appartient pas qu'il ne peut pas appartenir à un autre homme : l'homme appartient à Dieu, " maître aussi jaloux qu'absolu ".     Diderot légitime l'autorité par consentement en passant par Dieu. L'accord par lequel " les hommes établissent entre eux un ordre de subordination, obéissent à l'un d'eux " est la seule soumission que Diderot ne qualifie

personnage.) Aujourd’hui la comédie est jouée sous tous ses genres et les personnages que l’on retrouve dans les pièces de théâtre sont souvent d’une classe sociale plus basse que celle des personnages de la tragédie. De plus il y a souvent une relation maître valet qui y est mise en place dans les œuvres. La comédie ne sert-elle qu’à faire rire ? C’est ce qui va être étudié dans les trois parties qui suivront. La première partie comprendras les arguments contre, la seconde les arguments pour et la troisième